Publié le 20 septembre 2022 Mis à jour le 21 septembre 2022

La crise économique est mondiale et tout part en morceaux partout dans le monde car nous sommes tous interreliés. Et, le problème est la survie humaine et urbaine. Aujourd’hui, les prix explosent pour tout et c’est une situation plus que sensible quand on parle de l’alimentation et de l’énergie. 
STABILISER LE COURS DES MONNAIES ET CRYPTOMONNAIES semble être l’objectif à atteindre pour enrailler l’explosion des prix et en particulier le prix de l’énergie, mais est-ce que la solution n’est pas plutôt de revenir à l’origine de la monnaie et de reformater une économie stable de survivance ?
“Une cryptomonnaie, dite aussi cryptoactif, cryptodevise, monnaie cryptographique ou encore cybermonnaie, est une monnaie numérique (actif numérique) émise de pair à pair, sans nécessité de banque centrale, utilisable au moyen d’un réseau informatique décentralisé. Elle utilise des technologies de cryptographie et associe l’utilisateur aux processus d’émission et de règlement des transactions.»
Au 16 juin 2022, selon CoinMarketCap, il existe 19 893 cryptoactifs, ou cryptomonnaies, pour une valeur de 941,7 milliards d’euros…
Parmi les cryptomonnaies stables notables, on peut citer :
Les cryptomonnaies stables sont considérées par les banques centrales comme pouvant affecter la stabilité financière, mais aussi porter atteinte à la souveraineté monétaire. Le Forum de stabilité financière propose d’encadrer et de réguler les cryptomonnaies stables, tout au moins celles qui, de par leur nature globale et universelle, posent un problème en termes de risques financiers. Cette recommandation fait suite à la position du G7 en 2019.
Les règles du comité de Bâle exigent des banques qu’elles attribuent des « pondérations de risque » aux différents types d’actifs qu’elles détiennent pour déterminer les exigences en matière de fonds propres. Les stablecoins relèveraient des règles existantes et seraient traités de la même manière que les obligations, les prêts, les dépôts, les actions ou les matières premières.”
Source : Wikipedia Cryptomonnaies : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cryptomonnaie

Dans le contexte actuel de crise économique, les crypto-monnaies sont mises en avant surtout celles dites et pensées comme stables. Mais, malheureusement, elles sont influencées négativement par la situation mondiale. Pourquoi ?  Car à l’arrivée de la nouvelle technologie Blockchain, celle-ci était tellement novatrice que les innovateurs qui ont développé les premières crypto-monnaies comme celle du Bitcoin n’avaient pas la maturité scientifique pour créer un nouveau système économique. Ils se sont raccrochés à ce qu’ils connaissaient et donc ont dupliqué le concept initial des monnaies traditionnelles et ont développé ce concept sur la trame de cette nouvelle technologie.
Par exemple, le concept de transparence complète du grand livre comptable qu’est la Blockchain a été complètement contourné afin de protéger l’anonymat des détenteurs de crypto-monnaies. L’arrivée de ces cryptomonnaies fut un premier pas nécessaire qui a re-formaté notre vision du monde monétaire. Par exemple, avec les émissions sans limites des planches à billets pendant la crise du COVID pour maintenir les économies associé à l’arrivée de ces monnaies digitales reposant sur les communautés seules, chacun a redécouvert qu’une monnaie n’est basée en fait que sur la confiance et rien d’autre. 
Les monnaies traditionnelles vont mal ? Alors toutes les crypto-monnaies indexées sur les monnaies traditionnelles vont mal aussi. De plus, ces monnaies qui vont mal, ne sont pas prêtes à se faire remplacer par une crypto-monnaie comme le Bitcoin. Elles résistent. Résultat, au lieu de trouver des solutions conjointement, elles se font la guerre entre elles.
Que faire ? Peut-être faut-il aller voir dans l’histoire. Ce n’est pas la première fois que cette situation arrive. C’est la première fois que cela arrive mondialement, mais pas la première fois que des solutions alternatives ont été mises en place. Allons voir ce que nous dit Wikipedia au sujet des monnaies.
«La monnaie est définie par Aristote par trois fonctions : unité de compte, réserve de valeur et intermédiaire des échanges. À la période contemporaine, cette définition ancienne persiste mais doit être amendée, entre autres par la suppression de toute référence à des matières précieuses (à partir du IVe siècle en Chine) avec la dématérialisation progressive des supports monétaires, et les aspects légaux de l’usage de la monnaie — notamment les droits juridiques qui sont attachés au cours légal et au pouvoir libératoire —, qui sont plus apparents. Ces droits sont fixés par l’État et font de la monnaie une institution constitutionnelle et la référence à un territoire marchand sous la forme d’un marché national (lié par une unité monétaire, de compte commun).»
La monnaie est l’instrument de paiement en vigueur en un lieu et à une époque donnée :
La monnaie est censée remplir trois fonctions principales :
Une monnaie se caractérise par la confiance qu’ont ses utilisateurs dans la persistance de sa valeur et de sa capacité à servir de moyen d’échange. Elle a donc des dimensions sociales, politiques, psychologiques, juridiques et économiques. En période de troubles, de perte de confiance, une monnaie de nécessité peut apparaître.

La monnaie a pris au cours de l’histoire les formes les plus diverses : bœuf, sel, nacre, ambre, métal, papier, coquillages, etc. Après une très longue période où l’or et l’argent (ainsi que divers métaux) en ont été les supports privilégiés, la monnaie est aujourd’hui principalement dématérialisée : les espèces, ou monnaie fiduciaire, ne constituent plus qu’une petite partie de la masse monétaire.
Chaque monnaie est définie, sous le nom de devise, pour une zone monétaire. Elle y prend la forme principalement de crédits qui font les dépôts et accessoirement de billets de banque et de pièces de monnaie. Les devises s’échangent entre elles dans le cadre du système monétaire international.
En raison de l’importance de la monnaie, les États cherchent très tôt à s’assurer le maximum de pouvoir monétaire. Ils définissent la devise officielle en usage sur leur territoire et font en sorte que cette devise soit le symbole et la marque de leur puissance. Ils s’arrogent progressivement le monopole de l’émission des billets et des pièces et exercent un contrôle sur la création monétaire des banques via la législation et la politique monétaire des banques centrales”.
Source : Wikipédia – MONNAIE : https://fr.wikipedia.org/wiki/Monnaie

Au départ, la monnaie servait de valeur d’échange. D’abord le troc, puis les coquillages qui ont dématérialisé le troc, puis la monnaie indexée sur souvent la valeur de l’or. Elle a simplifié la vie de ses usagers, mais elle s’est complexifiée, elle s’est détachée de sa valeur réelle pour devenir aujourd’hui un concept de crédits. Aujourd’hui toute l’économie repose sur un consensus selon lequel nous dépendons des jeux d’accords monétaires internationaux. Du jour au lendemain nous pouvons tous devenir pauvres si, par exemple, toutes les dettes étaient annulées ou irrécouvrables ou encore que les actifs principaux étaient noyés ou disparaissaient. La machine s’est emballée. Que faire ? 
En écrivant cet article, je suis tombée sur la définition de la monnaie de nécessité. Je suis contente, car cela rejoint un projet que j’ai écrit il y a 4 ans qui s’appelle REED et qui a été imaginé pour un Xprize. REED a pour but de sortir de la misère les gens qui gagnent moins de 2 dollars par jour au fond des campagnes africaines. Au coeur de ce programme, une monnaie : le SOLAR TOKEN en référence au Soleil, l’énergie de la vie. Mon inspiration était celle des systèmes de Libres échanges. Mais qu’importe les visions se rejoignent. 
L’argent est surtout une énergie qui permet de faire avancer le moteur économique. Trop d’énergie le moteur s’étouffe et crée des biais sociaux, urbains, mondiaux, pas assez d’énergie le moteur s’arrête et c’est la famine et la misère économique. Cette monnaie a été pensée pour stabiliser la situation financière des plus pauvres et les mettre dans une bulle économique, hors du système spéculatif.
Et, j’ai utilisée plus tard le SOLAR TOKEN pour un concours avec Open Geneva pour un projet qui s’appelle SMILEY imaginé en partie pour distribuer des jetons digitaux aux familles et personnes âgées les plus pauvres de Genève pour faire face à la crise COVID qui avait fait monter en un an le coût de l’alimentation de 17%. C’est le retour du principe du coquillage que l’on donnait en échange de graines et de produits de premières nécessité. Aujourd’hui digitalisé sous forme de bons d’échanges.

Mesuré comme la variation d’une année sur l’autre de la composante alimentaire de la consommation d’un pays), l’indice des prix à la consommation (IPC)) reste élevé. Informations du dernier mois entre mai et août 2022 pour lesquels des données sur l’inflation des prix alimentaires sont disponibles montrent une inflation élevée dans presque tous les pays à faible revenu et les pays à revenu intermédiaire ; 93,3 % des pays à faible revenu, 90,9 % des pays à revenu intermédiaire inférieur, et 93 % des pays à revenu intermédiaire supérieur ont connu des niveaux d’inflation supérieurs à 5 %, et de nombreux pays connaissent une inflation à deux chiffres.
La part des pays à revenu élevé connaissant une forte inflation a également augmenté fortement, avec environ 85 pour cent connaissant une forte inflation des prix alimentaires. Les pays les plus touchés sont en Afrique, Amérique du Nord, Amérique latine, Asie du Sud, Europe et Asie centrale (Figure 2). En termes réels, l’inflation des prix alimentaires a dépassé l’inflation globale (mesurée comme la variation d’une année sur l’autre de l’IPC global) dans 78,8 % des 156 pays pour lesquels les indices IPC alimentaire et IPC global sont tous deux disponibles (Figure 3)”.
Source : Banque Mondiale – FOOD SECURITY UPDATE : 15 septembre 2022 : https://thedocs.worldbank.org/en/doc/40ebbf38f5a6b68bfc11e5273e1405d4-0090012022/related/Food-Security-Update-LXIX-September-15-2022.pdf
Dans ce même rapport, l’inflation des coûts alimentaires du Zimbabwe est de 353%, celle du Liban de 240%, celle du Zimbabwe de 68%, du Venezuela de 131%… chaque chiffre est une catastrophe annoncée. Et, la communauté mondiale laisse faire et réagit peu alors que tout ceci n’est en réalité que consensuel. C’est maintenir un équilibre mondial qui s’est déjà cassé la figure. Alors que tout est là, depuis des siècles à portée de main.

“Une monnaie de nécessité est un moyen de paiement émis par un organisme public ou privé et qui, temporairement, complète la monnaie officielle (pièces et billets) émise par l’État quand celle-ci vient à manquer. Ce type de monnaie fiduciaire prend place généralement durant des périodes économiquement troublées : guerre, révolution, crise financière, etc., ou de transition géopolitique (colonisation, annexion, indépendance, etc.).
On parle également de « famine monétaire » pour qualifier les périodes de troubles durant lesquelles la monnaie divisionnaire vient à manquer.
C’est aussi une expression générique pour qualifier des outils de paiement prenant des formes et utilisant des matériaux variées : bon, jeton, carton, timbre postal, porcelaine, verre, etc. …
Plusieurs monnaies de nécessité ont ainsi été retrouvées sous la forme de pièces de monnaie coupée généralement en deux, plus rarement en quatre. À titre d’illustration, le Dupondius de Nîmes a été coupé en 2 ou 4 dans l’empire romain, particulièrement dans les provinces qui manquaient de monnaie divisionnaire telles que la Germanie et la Gaule…
apparaissent à la fin du XVIIe siècle et tendent à se confondre avec la protomonnaie officielle d’un pays où les conditions économiques et politiques ne sont pas encore stabilisées : l’offre de l’institut monétaire est alors suppléée par différentes initiatives privées.
Dès 1685, sous Louis XIV, en Nouvelle-France, fut créée la monnaie de carte, qui consistait à déclarer cours légal des cartes à jouer afin de pallier l’absence de numéraire métallique. Plus tard, en 1837, l’Empire britannique autorise quatre banques du Bas-Canada à émettre des « jetons habitant ».
En Suède, entre 1715 et 1719, 42 millions de pièces de 1 daler furent frappées par le gouvernement non pas en argent mais en cuivre. Qualifiées de nödmynt (« monnaie d’urgence ») et garanties par les autorités, elles permirent à l’État suédois de conserver en ses coffres l’argent métal durant la Grande guerre du Nord.
En France, durant la Révolution, parallèlement à l’émission des assignats qui avaient cours forcé, fleurirent des monnaies de nécessité comme les monnerons et les « bons de confiance ».
La production de monnaies de nécessité va exploser pendant la Première Guerre mondiale en Europe et dans les territoires coloniaux. La principale raison est que les stocks de cuivre et de nickel servant à la fabrication des monnaies divisionnaires, vont désormais aux usines d’armement, d’où l’apparition de bons en papier ou de pièces en métaux pauvres non stratégiques (fer, aluminium) à cours forcé. Après ce conflit mondial, les États vont mettre un certain temps à réorganiser leurs finances et leurs politiques monétaires, les monnaies de nécessité perdurent alors, tandis que l’hyperinflation sévit.
En Argentine, des monnaies provinciales et privées furent émises durant la Crise économique de 1998-2002”.
Source : WIKIPEDIA – MONNAIE DE NECESSITE : https://fr.wikipedia.org/wiki/Monnaie_de_n%C3%A9cessit%C3%A9

Une monnaie de nécessité ne va pas remplacer les autres monnaies. En tout cas, pas dans un premier temps. Une monnaie de nécessité doit prendre place dans un écosystème positif par rapport aux problèmes à resoudre. Ici, il y a 2 problèmes principaux, la nourriture et le coût de l’énergie. 
“Prenons l’exemple de la nourriture. Les usagers de cette monnaie ont besoin que le coût de la nourriture soit ou du moins reste abordable pour leurs portefeuilles. Ces usagers habitent sur un territoire défini, une ville, une région, un pays. Cette région, soit elle est autosuffisante et elle subit une inflation externe, soit elle se fournit à l’extérieur selon des prix qu’elle ne maitrise pas. 
Prenons le cas le plus simple de l’autosuffisance. Si cette région est autosuffisante, la première chose qu’elle peut faire, c’est déterminer que sur son territoire les prix des denrées alimentaires produites localement sont bloqués. C’est une décision politique en accord avec les corporations paysannes et autres interlocuteurs concernés. 
C’est un travail collectif qui nécessite d’avoir une vision bienveillante du monde et l’espoir dans l’avenir.  Mettre en place ce genre de projet nécessite un monitoring des bénéficiaires quant à leurs besoins au mois le mois afin d’affiner et d’ajuster la balance entre les commandes et la production.
Pour être certain qu’aucune spéculation, corruption, détournement ne peut être mise en place, la traçabilité (physique, digitale via Blockchain ou/et AI) est essentielle. Car, d’un côté, il faut être certain que chaque bénéficiaire sera servi et  de l’autre mettre en place un système d’identification par personne et par famille afin d’avoir des actions d’aides justes.
Il peut y avoir plusieurs systèmes nécessaires, mais dans ce cas les flux des données doivent être conçus pour être contrôlés selon le principe de l’interopérabilité (connexions par différents services de contrôles). Car, d’un côté, une nouvelle monnaie ou un nouvel écosystème de monnaies est mis en place, avec des risques dont celui du blanchiment d’argent par exemple. 
Ce type de monnaie peut prendre plusieurs formes. La première, celle d’une cryptomonnaie dont l’usage est réservé à des achats précis comme la nourriture. On achète cette cryptomonnaie avec des maximums par individus et par famille qui seule peut nous permettre d’acheter certains produits, ici des produits alimentaires. C’est une économie alimentaire protégée. 
Une deuxième sorte de nouvelle monnaie peut être aussi l’émission de bons alimentaires. Dans ce cas, c’est la Ville, la Région, le Pays qui les achètent grâce aux impôts par exemple ou des fonds d’aides et qui les distribuent aux ayants droits sous forme papier ou numérique. Ça a été fait dans plusieurs villes à travers le monde.  Le problème sous la forme papier, c’est le contrôle de la nature des achats.
Souvenons-nous de CARITAS à Genève lors du premier été du COVID qui a distribué des bons qui ont été dépensés en partie en alcool et en cigarettes. Pour limiter ce problème, il faut que toute la chaîne de vente fasse les choses sérieusement sous peine d’être exclue des ventes ou d’avoir à gérer des retour de produits dans les rayons à la sortie des caisses. 
Une autre solution est de briser la chaîne de valeur actuelle pour les produits de nécessité et de créer autour de ces produits une toute nouvelle économie basée par exemple sur la valeur de la vie humaine. Par exemple, un humain c’est telle quantité d’eau, telle quantité de nourriture, telle quantité d’énergie et toutes ces quantités ne sont plus achetables ni échangeables sur le marché économique standard”. 
Source : Laboratoire de Recherches Abundance REGENERATION MATRIX university

Chaque problème a une ou des solutions. Certaines sont radicales, d’autres plus en demie teintes. Il va falloir que les différents territoires choisissent avec les citoyens pour les citoyens. Et, si nous voulons enrayer les pénuries majeures qui sont face à nous, il faut agir maintenant. On annonce les coûts d’augmentation de l’énergie par 2 ou par 4. Ce ne sont pas toutes les familles qui peuvent se le permettre.

Certains disent que nos problèmes sont complexes, inextricables. Peut-être parce qu’on leur a appris à être des experts super doués dans leur domaine mais incapables d’en sortir.
La complexité, c’est la compréhension des écosystèmes, de la systémique, des effets des décisions à 360° d’une réalité. C’est là que l’école a un rôle à jouer en formant des champions de la complexivité qui pourront anticiper ces crises et sortiront des habituels remèdes non effectifs qui rassurent les foules.

Source IMAGE : Pixabay MABELAMBER
Nouvelles pratiques commerciales
Auteur Virginie Guignard Legros Contacter l’auteur

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