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Il y a tout juste dix ans, la zone euro essuyait une terrible tempête financière. La crise de la dette grecque avait entraîné par contagion une envolée des taux d’emprunt dans les pays d’Europe du Sud, menaçant de les conduire tout droit vers un défaut de paiement. Les jours de la monnaie unique semblaient même comptés quand, le 26 juillet 2012, quelques mots prononcés par le président de la Banque centrale européenne de l’époque, Mario Draghi, avaient suffi à stopper net la vague de défiance et de panique chez les grands investisseurs internationaux. « La BCE est prête à faire tout ce qu’il faudra pour préserver l’euro. Et, croyez-moi, ce sera suffisant. » Les taux italiens, espagnols, portugais avaient comme par enchantement reflué, l’euro était sauvé, Mario était devenu Super Mario.
C…
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@nominoe
Bonjour nominoe
Vous portez des jugements de valeur gratuits sur les banques et les banquiers en oubliant qu’ils répondent à des demandes comme un tailleur confectionne un costume sur mesure.
C’est d’autant plus gratuit que toutes les parties prenantes en ont profité, les gouvernants, les Etats, leurs fonctions publiques, les syndicats et finalement peu les entreprises qui sont restés en Grèce.
Pour mémoire, la BNP seule a un total bilan comparable au PNB français, et ils n’ont pas 40 ministères et savent gérer.
cdt
Le requin Draghi veut revenir à la BCE
Vire de l’Italie, notre maestro du Goldman Sachs manipulateur des données sur l’entrée de la Grèce dans l’euro veut se faire parachuter de nouveau à la BCE pour nous vendre son expertise prétendue. Alors les médias sont en train de nous faire croire qu’il est incontournable dans ces articles réhaussant son rôle et que l’euro en crise a forcément besoin de lui, et une belle claque à Lagarde. De qui se moque t’on ? La crise de l’euro ne se résoudra qu’avec l’arrêt des combats Russo ukrainiens ou une restauration des capacités de raffinage européens perdues avec les sanctions inefficaces contre la Russie. Car ce qui fait défaut en Europe ce n’est pas le pétrole brut mais bien le raffinage. A cause des Khmers verts, les investissements ont été stoppés dans ce secteur, les compétences perdues et on ne remet pas en route une nouvelle capacité dans ce domaine du jour au lendemain. Voilà le dilemme qui explique la chute de l’euro et ce n’est pas un banquier véreux comme Draghi qui pourra, du coup de sa baguette magique changer les choses.
Une analyse pertinente de la situation économique
Pour qui veut une analyse pertinente de la situation économique, je signale le point de vue de Christopher Dembik, Saxo Bank sur Allnews, le site suisse d’analyses économiques.
“Retour de la crise en zone euro”
Et cette crise n’est pas facile à resoudre à court et moyen terme, ne serait-ce que pour des raisons matérielles.
exemple : “nous ne consommons pas de pétrole brut, mais plutôt la partie raffinée de celui-ci. Il y a toute une infrastructure construite pour raffiner le pétrole russe en Europe, mais nous ne pouvons plus l’utiliser. Nous devons la remplacer, mais il faudra des années pour construire une toute nouvelle infrastructure. Entre-temps, les coûts continueront d’augmenter. ”
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