Erreur d'authentification
Votre compte a été clôturé.
Vous êtes authentifié. Nous chargeons votre espace membre.
Pour des raisons de sécurité et pour continuer à accéder à votre espace membre, nous vous remercions de bien vouloir valider votre compte membre en cliquant sur le lien suivant : Je valide mon compte membre
Vous allez recevoir un email à l’adresse indiquée lorsque vous aviez créé votre compte.
Cliquez ensuite sur le lien présent dans le mail. Vous pourrez alors de nouveau accéder à votre compte membre.
Si vous n’avez pas reçu cet email, contactez-nous
Un email de confirmation vient de vous être adressé.
8 caractères minimum
1 majuscule
1 minuscule
1 chiffre
1 caractère spécial
Différent de votre pseudo
Les deux mots de passe sont identiques
Bénéficiez gratuitement de fonctionnalités et de services additionnels. Devenez membre
Nouveau sur Boursorama ? Devenez membre
L'inflation ne freinera pas les achats de Noël pour la plupart des Français-iStock-bernardbodo
L'inflation ne freinera pas les achats de Noël pour la plupart des Français-iStock-bernardbodo
L’Insee vient tout juste de révéler que l’inflation se stabilise en novembre à 6,2% sur un an. Elle s’envole à 12,2% pour l’alimentation et 12,5% pour les produits frais. Chapon, foie gras, huîtres, saumon fumé…. Le repas de Noël risque de coûter plus cher cette année, sans parler des cadeaux. Mais après deux années marquées par le Covid-19, les Français comptent bien profiter des fêtes de fin d’année, et ne pas laisser l’inflation gâcher leur 25 décembre. Selon une étude NielsenIQ, 64% des Français comptent allouer le même budget qu’en 2021 pour leurs achats de Noël. Et 26% des Français prévoient de diminuer leurs dépenses. À l’inverse, 11% prévoient d’augmenter leurs dépenses. Si le 25 décembre est synonyme de bon repas en famille, où les mets les plus exquis viennent ravir les papilles, c’est aussi un moment de partage où l’on aime s’échanger des cadeaux. Ainsi, concernant la répartition des dépenses, elles seront destinées à 46% pour l’achat des cadeaux, et 30% pour l’achat de la nourriture. Puis 19% du budget sera destiné aux diverses sorties et enfin 14% pour les transports et les festivités.
Effectuer ses cadeaux de Noël à la dernière minute est le meilleur moyen de payer plus cher. En effet, les prix ont tendance à augmenter quand la date approche. Et toujours selon cette même étude, 22% des Français ont déjà commencé leurs achats en s’y prenant depuis la mi-octobre. Un pourcentage en hausse de 8 points comparé à l’année 2021. L’année précédente, 21% effectuaient encore leurs achats à la dernière minute contre 14% cette année. Le mois de novembre est idéal pour faire des bonnes affaires puisqu’il y a le Black Friday. Et cela n’a pas échappé aux Français dont un tiers mise sur ce jour pour acheter leurs présents. Parallèlement, 38% prévoient de bien scruter les promotions dans les magasins. Une étude Groupon rejoint ces résultats en indiquant que pour 93% des interrogés, le prix sera le critère le plus déterminant dans le choix de leurs achats.
En cette période de crise inflationniste, l’étude a souhaité interroger les Français concernant leur priorité. Et 57% d’entre eux estiment que la chose la plus importante est de fêter Noël avec ses proches ou de profiter du moment présent, malgré la hausse des prix. Un chiffre élevé qui prouve que le sens de la famille est ce qui prime dans le cœur des Français. D’autres sont plus préoccupés par leur porte-monnaie puisque 12% ont indiqué que la chose la plus importante sera de réduire les dépenses. Et enfin 6% ont pour priorité de diminuer leur consommation d’énergie ou de carburant.
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Wall Street: le Dow Jones clôture à l'équilibre, Nasdaq et S&P en baisse, le marché reste crispé
Wall Street termine sur une note indécise
La Bourse de Paris en berne
Investir dans les forêts avec le GFI Vatel Capital
Prime de Noël : pourquoi certains bénéficiaires ne la toucheront qu'en janvier
Copropriété : leur facture a augmenté alors qu'ils n'étaient pas chauffés
Copyright © 2022
Boursorama Banque, SA au capital de 51 171 597,60 € – RCS Nanterre 351 058 151 – TVA FR 69 351 058 151 – 44 rue Traversière, CS 80134, 92772 BOULOGNE BILLANCOURT CEDEX