Langue sauce piquante
Le blog des correcteurs du Monde.fr
Une affiche apposée par une organisation qui signe « Front de gauche » (logo en haut à droite), de format rectangulaire, présente, sur fond rouge, le portrait d’un homme cravaté de rouge également, regardant à gauche et légèrement au-dessus de l’horizon, avec cette phrase impérative, en caractères bas de casse blancs, mais d’un corps important : « Prenez le pouvoir » (sans point d’exclamation). En bas de l’affiche, également en caractères blancs plus petits, et centré, figure un nom dont on imagine que c’est celui du personnage scrutant l’horizon : Jean-Luc Mélenchon.
Un portrait, une phrase, le tout formant un ensemble énigmatique : à qui s’adresse l’injonction de se saisir du pouvoir ? A l’homme affiché ou au(x) passant(s) ?
Dans la première hypothèse, il pourrait s’agir d’une supplique de ses partisans, dans le mode respectueux, vu le voussoiement – la phrase et le nom formant un seul ensemble : « Prenez le pouvoir, Jean-Luc Mélenchon » (nous avons ajouté une virgule, mais le changement de corps typographique peut en tenir lieu). « Prends le pouvoir » aurait été plus direct et plébéien, nettement moins respectueux.
Dans l’autre hypothèse, l’affiche prend une tournure comminatoire : le passant se voit intimer l’ordre de s’emparer du pouvoir, ce qui n’est pas une mince affaire. Est-il aussi voussoyé ou les passants sont-ils censés être au moins deux, l’injonction passant ainsi au pluriel ? Mais, « prendre le pouvoir », n’est-ce pas illégal, à quels périls s’expose-t-on et faut-il le rendre après ? que d’inconnues pour une seule affiche !
Ne nous sentant pas encore prêt à nous saisir du pouvoir et n’en ayant pas encore mesuré toutes les implications, par lâcheté finalement, nous préférons privilégier la première hypothèse et laisser ce M. Mélenchon se débrouiller tout seul.
Pour vous y retrouver dans la galaxie des partis de gauche :
les noms des partis de gauche ;
les noms des partis… (2) ;
les noms… (3).
Je dois dire que, dans son efficace simplicité formelle * et son ambigüité sémantique, cette affiche me paraît réussie **.
* Vous auriez pu ajouter que, si le regard est tourné vers la gauche du personnage (ce qui est cohérent avec le logo qui estampille l’affiche), cela signifie qu’il se dirige vers la droite de l’affiche elle-même : or pour un public occidental, la droite d’une image représente l’avenir.
** En dehors du fait que je n’en veux pas, de son pouvoir.
Et si nous tous inséparément (ce M. Mélenchon compris) prenions le pouvoir ? nous pourrions privatiser ce qui reste à privatiser, éducation nationale et sécurité sociale par exemple et pour commencer, et nous remplir les poches. À nous la belle vie !
Prenez les mèmes
[ Accent grave de rigueur ! ]► Jacques C (tribun notoire)
Allô, non mais allô, quoi ! T’es toujours Preum’s et t’as plus le pouvoir ? C’est comme si tu me dis chuis Grand-Maire de M… et j’ai pas de plateau sportif !
♪♪♪♪♪♪♪♪♪♪♪♪♪♪♪♪♪♪
Affiche surprenante tant M. Mélenchon y affiche de sérénité pensive.
Quels filtres, et peut être même quels philtres ont pu effacer le perpétuel rictus de l’histrion fatigué (coyright Olihoud) ? Combien de secondes M. Mélenchon qui ces temps-ci éructe beaucoup au lieu de penser a-t-il gardé la bouche fermée ?
Le photographe s’est-il fait insulter avant ou après la prise de vue ?
Le plus qualifié pour nous faire une explication d’affiche ne serait-il pas un proclamé prolétaire, censément proche « du front de gauche » par nature ? (Quoique le monsieur qu’on nous montre ici affiche un air très bourgeois)
Prenez les mèmes
[ Accent grave de rigueur ! ]Ne nous sentant pas encore prêt à nous saisir du pouvoir et n’en ayant pas encore mesuré toutes les implications, par lâcheté finalement, nous préférons privilégier la première hypothèse et laisser ce M. Mélenchon se débrouiller tout seul.
► Gardons-nous d’apparenter ce sanguin au SANGLIER* — GLIERE ** !
Singulier, n’est-il pas ?
* Du latin singularis porcus, porc solitaire
** ou Glier auquel on doit « Le Pavot rouge (son ballet révolutionnaire populaire op. 70, 1927) »
(à suivre…)
>"Prends le pouvoir" aurait été plus direct et plébéien, nettement moins respectueux
Le tutoiement est parfois plus noble que le vouvoiement ; depuis quelques décennies, on tutoie Dieu.
L’affiche et son vouvoiement sont donc néoplébéiens, c’est rassurant.
(si le nombre est pluriel, on ne sait plus !)
Ce tribun de cabaret, plus proche de Bedos et de Jean Roucas que de Mirabeau, donnerait sans doute une explication alambiquée et goguenarde à la rhétorique de l’affiche de propagande de SON parti.
Allons-y Alonzo :
1/ «à qui s’adresse l’injonction de se saisir du pouvoir ? A l’homme affiché ou au(x) passant(s) ?» Voilà une question vaine ; qui a déjà vu une affiche s’adressant à celui qui est représenté sur l’affiche?D’autant plus que la mention en petites lettres tout en bas est une signature, renforcée par l’indication du site internet du signataire.
2/–«Prenez le pouvoir, Jean-Luc Mélenchon »– cette interprétation ne sert qu’à dévoiler une intention parfaitement vicieuse, c’est à dire dénoncer un Mélanchon susceptible de vouloir prendre le pouvoir, pour lui.
3/«Dans l’autre hypothèse, l’affiche prend une tournure comminatoire : le passant se voit intimer l’ordre de s’emparer du pouvoir». La qualification «comminatoire» est tout aussi vicieuse. Pourquoi ne pas admettre une intention simplement démocratique : prendre le pouvoir, c’est ce que demande chaque candidat à chaque élection.
Supplicatoire ou comminatoire ? pourquoi pas adjuratoire .
Bref, dois-je le redire, je suis plutôt pour Mélanchon.
» supplicatoire ou comminatoire, l’affiche ? » Juste dérisoire, la photo d’un aliboron.
> lamiduratoire
Salut
Bonjour,
puisque nous sommes dans les conjonctions ambiguës, puis-je vous soumettre une question sur l’accord du verbe avec un sujet en « ou » ? on trouve un peu partout que l’accord se fait au pluriel sauf si les termes du « ou » sont exclusifs, mais que fait-on si ces termes exclusifs appellent des conjugaisons différentes ? par exemple, en accordant au singulier :
– un ami ou une ennemie viendra vous voir
– un ami ou une ennemie est venu(e) vous voir
– ma fille ou votre fils héritera de ces biens
– ma fille ou vos fils héritera/ont de ces biens
– NKM ou Copé sera désigné(e) à ce poste…
merci de m’éclairer sur le bon usage.
« Juste dérisoire, la photo d’un aliboron. » (Arcadius, 17h03)
Oui, peut-être… mais Mélenchon a avoué posséder en son patrimoine bien des œuvres, par lui peintes et d’inestimée valeur.
Iriez-vous jusqu’à dire qu’il les a exécutées avec sa queue… à l’instar du fameux Boronali ?
Ce serait un scoop et j’alerte le chroniqueur ès beaux-arts de Médiapart.
« S’étioler » ou s’étoiler ?
Le plus qualifié pour nous faire une explication d’affiche ne serait-il pas un proclamé prolétaire, censément proche « du front de gauche » par nature ? (Quoique le monsieur qu’on nous montre ici affiche un air très bourgeois)
Rédigé par : zerbinette | le 29 avril 2013 à 13 h 12 min
« Alors, là bravo ! »
Coquecigrue ! Euh… Dites, à quoi tu joues Zerbie en coq * ?
Tu t’es vue quand t’abuses de la coqueluche d’un Gus ** telle une Lavérie T qu’alimente buzz et buses ?
Ah, l’ex…emplarité ! Pourquoi tendre de nouveau le micro à un prolo qui n’est pas tendre avec le bobo ?
« Il sont où » vos bons conseils prodigués à notre leveto ?
* et l’insecte d’oser s’accorder une star…
[ Saviez-vous que la colère colore le caméléon en noir ? Si si, c’est pas une blague…](à suivre…)
Erratum :
« Alors là, je dis bravo ! »
SLounac
Dans ce cas j’oublie » l’exclusif « , je raisonne avec l’un comme l’autre et je mets le pluriel.
N.B. : Est venuse règle par un passé simple.
Contrairement à l’opinion couramment répandue, le caméléon ne change pas de couleur selon son milieu, certes il se camoufle parfaitement dans les arbres avec sa robe naturelle plutôt verte. Mais le changement de couleur est du à son état émotionnel ! Peur ou agressivité, modifient l’aspect de cet étonnant lézard. Ainsi, le caméléon devient noir ou bleu de colère.
Mais jamais rouge vif !
vous êtes sûr(e) ?
Dérouillée
[ bidon ]éreutomane : vous êtes sûr(e) ?
Bien sûr !
Avez-vous songé au traitement antirouille ? votre créature martiale le mérite…
Des noms qui fâchent
« Bref, dois-je le redire, je suis plutôt pour Mélanchon. » [sic !]Rédigé par : lamiduratoire | le 29 avril 2013 à 16 h 58 min
Marre des Mélanchonistes « à la gomme » !
Qui le métingue du Gremlin du Kremlin avait déjà rendu dingue il y a un an presque jour pour jour ?…
( Plouf Plouf )
Reprenez la rame !
De là à dire qu’ il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, il y a un chasme que le phasme etc.
Euh… pas très heureux ce « du du« …
Merci de bien vouloir lire : « d’un Gremlin de Kremlin«
J’avoue que j’étais resté tout aussi perplexe devant un autre slogan aristérométopique: « On lâche rien ». S’adressait-il au patronat pour l’inviter à ne plus laisser tomber usines et salariés, au gouvernement soupçonné de brader notre souveraineté nationale, au prolétaire tenté de balancer marteau et faucille par-dessus les moulins? Était-ce le même « on » qu’un slogan de l’autre bord apostrophait par « On est chez nous »?
Pour celui-là, j’y verrais plutôt une référence lyrique incontestablement de gauche:
http://www.dailymotion.com/video/x8dswb_appel-du-komintern_music#.UX69l0ocBvU
L’évangile selon Jean-Luc
http://www.lejournaldepersonne.com/2013/04/levangile-selon-jean-luc/
Parce qu’il est temps de reparler d’évangile
Pour dire qu’il y a une nouvelle bonne nouvelle…
Attention, rien n’est encore écrit… c’est à nous de l’écrire!
Pas avec l’encre de nos beaux yeux… Mais avec notre rouge sang
Imprimer un tout autre sens de l’avenir sur tous les fronts
Parce que le soleil se lève surtout pour ceux à qui on a crevé les yeux
Il suffit de refaire l’état des lieux, sans le moindre dicte religieux
Parce qu’on ne peut pas aller de l’avant en regardant derrière
D’autant plus qu’il n’y a plus personne à bord pour assurer nos arrières.
Pour ne pas figurer sur le mur des cons, il ne faut pas faire bonne figure
Mais abattre le mur !
Comme mieux vaut parfois, à gauche, afficher le mot gauche dans l’intitulé du parti, Рейнгольд Морицевич Глиэр, Artiste du peuple de l’URSS en 1938 et trois [fois] Prix Staline, ne lésinait pas sur les motifs révolutionnaires,
mais un post-romantique peut-il être révolutionnaire ?
(très heureux de découvrir cette musique)
Ah! Ils me font rigoler ces auto-proclamés gens de gauche ( là je suis gentil, mais je ne promets pas de tenir jusqu’au bout) avec leurs slogans qu’ils voudraient percutants et révolutionnaires et dont ils confient la rédaction à des publicistes ( ou pubeux ou pubards ou pubiens ?) qui œuvrent ( oui, eux ils ne travaillent pas, ils œuvrent) plus pour leur compte en banque que pour le bien commun. Ils inventent, disent-ils, des concepts — « prenez le pouvoir!, c’est too much nouveau, coco! » — et se prennent pour des demi-dieux qui vont façonner le Monde pour au moins le temps que durent un ou deux tweets …
Non, vraiment… une affiche politique officielle, un slogan officiel, un candidat officiel ( ancien sénateur et député européen), c’est tout sauf révolutionnaire!
Et puis ce slogan : « prendre le pouvoir» ! Pour imposer sa politique aux autres ? Et ainsi les les soumettre ou leur promettre le bonheur contre leur gré? Jusqu’à ce qu’à leur tour ils réclament le pouvoir ? Faut-il toujours avoir le pouvoir des uns sur les autres ?
Un autre slogan : partager le pouvoir.
(très heureux de découvrir cette musique)
Rédigé par : st | le 29 avril 2013 à 22 h 31 min
Mercis pour ces liens. J’y suis vraiment sensible…
Ah leveto, à vos heures perdues (s’il vous en reste), relisez-donc Les Dieux ont soif d’Anatole France.
Je sais que c’est une référence désuète, mais après toutes ces années (celles qui nous séparent de l’époque à laquelle se situe le récit, celle à laquelle écrit France, celles aussi que j’ai accumulées sans voir le temps passer… ), j’en suis venu à penser qu’on n’a pas encore fait mieux dans la description de l’arrivisme, de la bêtise, de la lâcheté et de la violence des tribuns et de ceux qui les suivent…
Hugo à gogo
[ Esprit es-tu la(s) ? ]Retrouvons, si vous le voulez bien, le pitre qui avait orné son pupitre du même slogan comminatoire, un 7 février à Villeurbanne…
» (…) « Je vais faire quelque chose qu’on ne fait jamais dans un meeting : vous lire un passage du plus grand roman populiste, celui de Victor Hugo, Les Misérables. » Et voilà que, devant ce public enchanté, les mots du grand écrivain ont fait renaître les émeutiers de 1793, « ces hommes hérissés qui, dans les jours génésiaques du chaos révolutionnaire, déguenillés, hurlants, farouches, le casse-tête levé, la pique haute, se ruaient sur le vieux Paris bouleversé… »
Le lendemain, à Montpellier, Jean-Luc Mélenchon convoqua à nouveau Hugo. Cette fois le poète, mais toujours sur la Révolution :
« France ! à l’heure où tu te prosternes, Le pied d’un tyran sur ton front, La voix sortira des cavernes Les enchaînés tressailleront »…
Jean-Luc Mélenchon aime mêler l’écrivain à sa propre prose. Il le reconnaît d’ailleurs : « Cet homme qui a commencé sa vie en monarchiste et l’a finie en ardent républicain nous a laissé des milliers de vers à utiliser dans nos discours… » Déjà, en 2005, lors du référendum sur la Constitution européenne, il évoquait les militants du « oui » comme ces bourgeois nantis et conservateurs que Victor Hugo qualifie dans Les Misérables de « belles personnes » face aux « révolutionnaires effrayants mais farouches ». Pour cette présidentielle, il en a fait sa marque de fabrique, affichant sa volonté de mener autant un combat politique qu’une campagne d’éducation populaire »
(à suivre…)
Hugo à gogo
[ Esprit es-tu la(s) ? ]
► JLM : « Cet homme qui a commencé sa vie en monarchiste et l’a finie en ardent républicain nous a laissé des milliers de vers à utiliser dans nos discours… »
Damned ! Le charitable hôte de la Haute aurait-il fait tourné la tête et la table de Mélenchon ?
((( Toc Toc Toc )))
Pour s’en convaincre, il suffit de convoquer dare-dare l’inimitable Ponchon qui se fera sans doute un plaisir de rappeler l’esprit dudit Hugo —spirite s’il en fut :
« Nous étions autour d’une table
Dix idiots, après dîner,
Mais de bonne foi véritable,
Qui voulions la faire tourner ;
Nos mains se touchaient, le fluide
S’échappait du bout de nos doigts
Et courait dans ce meuble vuide
Comme la sève dans le bois.
Après un temps de complaisance,
Un esprit ?… plus qu’évidemment,
Y manifesta sa présence
Par un très léger craquement.
« Je vis dans un pays funèbre,
Mettons… entre cour et jardin,
Qui pour n’être pas la Ténèbre
N’est pas pour cela plus badin ;
« Pays mixte, vague, saumâtre,
Intermédiaire, déteint,
Aussi folâtre qu ‘un théâtre
Vide, une fois le gaz éteint.
« Pays de brumes, de grisailles,
( que j’aimerais mieux Charenton ! )
Pays absurde où les volailles
Ne sont même pas en carton.
« Les femmes… c’est du… clair de lune ;
Et si, – dame, on n’est pas de bois –
Il m’arrive d’en palper une,
Elle me filtre entre les doigts.
« Aussi loin que mon œil découvre
Je ne vois que formes sans corps
Flottant comme ballons du Louvre ;
Autant de gagné pour mes cors.
« De quelque côté que je vire,
C’est la même toile de fond ;
Ce serait mon pire martyre,
Si ça n’était pas si bouffon.
« Quelle faute ai-je donc commise
Lorsque je respirais au jour,
Pour que ma pauvre âme soit mise
Dans un aussi dolent séjour ?
« Et cependant, j’y pourrais vivre
Si ce n’était monsieur Sardou le Mélenchon…
Seigneur, que sa mort me délivre !
Cet homme-là me rendra fou c...
« Depuis qu’il fait du spiritisme
Il va m’évoquant nuit et jour,
Et me condamne avec cynisme
Au plus cruel des hard labour.
« Je retape ses [ patati patata ] et caetera…
« N’est-ce point le dernier des pleutres
De faire travailler encor
A des besognes aussi neutres
Un pauvre homme, quand il est mort ?
« Et pour comble, ce merluche*
– Ce serait pourtant un chrétien –
Ne met pas mon nom sur l’affiche,
« Ca fait que je ne touche rien. »
Raoul Ponchon
le Journal
15 février 1897
* Et non, je ne l’ai pas inventé…
(« l’affiche » pouvait le laisser penser…)
« aurait-il fait tourner »
Je me sers depuis assez longtemps du même ordinateur pour poster les messages adressés à la saucière. J’ai découvert un jour que cet ordinateur a gardé, dans la case Nom* (mais je ne sais dans quel tréfonds) tous les pseudos dont je me suis servi, soigneusement rangés dans l’ordre alphabétique. Cela constitue une importante collection d’hapax ; chacun peut être retrouvé sur Google :
lamid lamida lamidabè lamidabine lamidables lamidabu lamidac lamidaccio lamidache lamidacre lamidad lamidada lamidadais lamidadam lamidades lamidae lamidAFP lamidage lamidhadi lamidaigne lamidaigner lamidaignes lamidail lamidailleurs lamidaine lamidaise lamidaison lamidaïl lamidal lamidale lamidalement lamidalère lamidali lamidalins lamidalisme lamidaliste lamidallacieux lamidalo lamidalysme lamidam lamidamba lamidameux lamidamies lamidamique lamidance lamidanceur lamidanche lamidane lamidangle lamidango lamidant lamidante lamidaos lamidapon lamidaponte lamidarcel lamidard lamidadot lamidariantes lamidarine lamidarité lamidarmes lamidaron lamidarques lamidarreaux lamidarrivé lamidarteau lamidaslamidasme lamidasque lamidasse lamidassel
lamidata lamidatias lamidation lamidatman lamidature lamidauce lamidaumier lamidaution lamidautres lamidave lamidavenne lamidavier lamidax lamidaxe lamidaxo lamiday lamidayler lamidazade lamidâbord lamidbou lamidchadnezzar lamide lamidec lamidecher lamidecime lamideck lamidecte lamiddecteur lamidection lamidecton lamideetwood lamidefrain lamideiffel lamideille lamidel lamidelin lamidelix lamidelle lamidelon lamidelone lamidelville lamidember lamidement lamidemi lamidence lamidens lamidensile lamidensor lamident lamidephale lamideret lamiderots lamiderr lamiderre lamiderriman lamiderry lamidertés lamidery lamides lamidesde lamidesque lamiderots lamidesse lamidesseux lamidestion lamidetripes lamidétaire lamidetc. lamideth lamidetro lamidette lamideuille lamideus lamidex lamidêque lamidéa lamidébrides lamidécimes lamidégété lamidélas lamidenin lamidéon lamidépé lamidération lamidérèse lamidéro lamidéros lamidène lamidèque lamidète lamidfuit lamidgaga lamidha lamidhol lamidhus lamidhyrse
lamidi lamidia lamidiable lamidian lamidibou lamidices lamidich lamidici lamidiclop lamidicon lamidiculairement lamididé lamidieds lamidieris lamidieuse lamidière lamidif lamidigitte lamidigma lamidignon lamidigo lamidil lamidile lamidiler lamidilité lamidill lamidillie lamidillon lamidilmer lamidilon lamidimate lamidiment lamidimonade lamidin lamidina lamidnation lamidinet lamidinettes lamindington lamidinise lamidinsjy lamidintentionné lamidio lamidional lamidionnaires lamidiplication lamidiques lamidiquettes lamidir lamidira lamidiratoire lamidirène lamirée lamidiron lamidiscret lamidision lamidisme lamidisse lamidissement lamidissu lamidistes lamiditesse lamidité lamidition lamiditre lamidittré lamiditure lamiditz lamidium lamidius lamidivan lamidives lamidkaksus lamidlague lamidlane lamidlas lamidlavie lamidlay lamidle lamidlettes lamidlété lamidlion lamidlit lamidlong lamidlou lamidmac lamidmoi lamidnick lamidnoix lamido lamidobster lamidocca lamidocktail lamidodder lamidode lamidoebius lamidof lamidog lamidoie lamidoignement lamidoigt lamidoine lamidoir lamidoire lamidois lamidoiseau lamidoiselles lamidoissant lamidoisson lamidoix lamidola lamidolage lamidolat lamidolette lamidoli lamidolisson lamidolithe lamidollock lamidolock lamidologie lamidoluthe lamidomamé lamidome lamidomel lamidomie lamidomis lamidomizer lamidon lamidonard lamidonbon lamidond lamidonde lamidone lamidong lamidongle lamidonia lamidonne lamidonneau lamidonnere lamidono lamidons lamidontce lamidood lamidoop lamidopatra lamidophore lamidoquet lamidor lamidora lamidord lamidore lamidoret lamidoré lamidorée lamidorgia lamidorgue lamidorille lamidoring lamidornes lamidorser lamidorte lamidortie lamidoscar lamidossible lamidot lamidoth lamidotl lamidotos lamidouais lamidouat lamidouen lamidouette lamidoué lamidouf lamidoui lamidouillage lamidouille lamidouillis lamidouir lamidouise lamidouk lamidoule lamidoult lamidoupe lamidourpe lamidourge lamidouris lamidournal lamidourquoi lamidous lamidoutan lamidoute lamidouvert lamidoux lamidoù lamidovisses lamidowstone lamidox lamidôtes lamidpain lamidpo lamidraison lamidrien lamidrière lamidroitier lamidrome lamidron lamidrottoir lamidrouet lamidrue lamidsol lamidchouc lamidu lamiduaire lamiduance lamidublique lamidubrick lamiduche lamiduck lamiducorps lamiduculante lamidud lamiduda lamidude lamidue lamidueck lamiduffaut lamiduffeau lamiduhuhu lamiduke lamidula lamidule lamidull lamidulma lamidulte lamidum lamidume lamidun lamidunisme lamiduplat lamidure lamidus lamidusée lamiduston lamiduzanne lamidvan lamidver lamidway lamidwitt lamidyme lamidystère lamidyvapas lamidza lamidzan lamidzipzap lamidzo lamidzog lamidzy lamidzy! lamidœ lamidœil lamidœu lamidœuf lamidœuil lamidέα lamidώνῃ .
votre réflexion en deux temps nous conduit au troisième : c’est la même chose.
(merci à Anoup 20:40, dans la vidéo mise en lien, à 01:20, qui contient les mots et le sens exact et my(s)thique de la citation)
(et jusqu’à la cravate rouge de Lénine. JLM n’ose pointer l’index — seulement le regard — vers l’horizon).
((Quand le sage désigne la lune, l’électeur regarde le doigt))
(…qui contient à 01:20…)
> lamiduratoire : dans l’ordre alphabétique
un ordre alphabétique sui generis !
« France ! à l’heure où tu te prosternes, Le pied d’un tyran sur ton front, La voix sortira des cavernes Les enchaînés tressailleront » doit-on à Hugo, Mélenchon ou Phasme (pas de prénom pour les illustres) ce tressailler qui fait tressaillir Robert et mon oreille pourtant déclinante ?
Je suis frappé par la photo du tribun. Le visage a été lifté par photoshop et donne à JLM dix ans de moins. Du Berlusconi virtuel? Cette pratique du faux-semblant n’est-elle pas l’apanage des candidat(e)s traditionnel(le)s [candidat/e/s traditionnel/le/s]?
ce tressailler qui fait tressaillir Robert et mon oreille pourtant déclinante ?
Là où l’ Académie s’est repentée au gré des versions successives de son gros dico (1762, futur, cond. en -ir*; 1798, en -er*; 1832, retour vers le passé, à nouveau formes en -ir*), Grevisse, quant à lui, convoque un gros bataillon d’inconditionnels des formes en -er* : Sand et Musset, qui souvent saillirent de conserve et conséquemment tressaillèrent, mais aussi Laforgue ou Barrès. Que du lourd, donc.
Comme le père de Guitry, Hugo avait donc raison, si tant est qu’il s’appuyât sur la pénultième édition, au moment où il écrivait les Castigations (1853).
Quant à Merluche, tout ça doit lui paraître de la sottise bêtement bourgeoise.
Comme tressaillir, mieux vaut, de même, ne défaillir qu’à l’infinitif !
« Case Nom* »
Crénom de nom ! Autant de « salopards »** partisans de « Mélanchon » !
* J’observe qu’il vous en manque une (pas la case, l’étoile…)
** Enfoncé Bigard !
[ Calembredaine (le 29 avril 2013 à 14 h 53 min) est-ce à dessein que vous n’avez pas cité les fils de Bedos et Roucas ? ]
Littré, saillir : je n’ai pas sailli de la journée.
Des noms illustres
[ Ouvrez la parenthèse ! ]« France ! à l’heure où tu te prosternes, Le pied d’un tyran sur ton front, La voix sortira des cavernes Les enchaînés tressailleront » doit-on à Hugo, Mélenchon ou Phasme (pas de prénom pour les illustres) ce tressailler qui fait tressaillir Robert et mon oreille pourtant déclinante ?
Rédigé par : plumacier | le 30 avril 2013 à 11 h 23 mi
« — Vos aïeux ont dû tressaillir en leur sépulcre.
— Qu’ils tressaillent à leur aise ! Quand ils auront bien tressailli, ils ne tressailliront plus .
À mon tour, je me nommai.
Une très visible moue vint aux lèvres de Job’ Har.
— Votre nom ne m’est point ignoré ; mais je n’ai rien lu de vous… Cependant, dans les crèmeries où nous passions, j’ai parfois entendu des gens de basse culture intellectuelle qui s’éjouissaient de vos facéties.
Je n’eus l’air de rien, mais je me sentis abominablement vexé. »
Des noms illustres autour de « la Table »
[ « Interview fallacieuse » ]
Et l’insecte de profiter de cette parenthèse pour rappeler qu’Allais inhalait (ou inspirait) du Ponchon à tire-larigot (lot of laughs)…
Retrouvons le, si vous le voulez bien, à la terrasse du Café Julien :
« Après avoir abordé différents sujets dont la sèche nomenclature indifférerait le lecteur :
— Je crois me souvenir, cher maître, dit le jeune homme, que (…) le directeur du Théâtre-Libre, avait annoncé (…) une pièce de vous en collaboration avec M. Raoul Ponchon et intitulée la Table.
— Le fait est parfaitement exact, mais la pièce ne pourra passer qu’au cours de la saison prochaine.
— Pas finie, probablement ?
— Si, elle est finie, mais avant de la livrer, nous avons besoin de nous mettre d’accord
(…)
— Question de droits d’auteurs ?
— Non pas ! Nous sommes parfaitement d’accord, M. Raoul Ponchon et moi, sur cette question. M. Raoul Ponchon entend toucher la totalité des droits, et c’est aussi ma prétention de toucher tout. Vous voyez que, sur ce point, nous ne différons pas sensiblement.
— Mais alors ?
— Voici : notre pièce comporte deux personnages, Victor et Gustave. Nous nous partageâmes la besogne : M. Raoul Ponchon écrirait le rôle de Victor et moi le rôle de Gustave. Malheureusement, nous ne songeâmes point, avant de nous mettre à l’ouvrage, à nous entendre sur le choix du sujet, de sorte que notre pièce, telle qu’elle est, présente de rares qualités d’incohérence qui semblent la désigner au théâtre national de la Ville-Evrard.
— Oh ! comme c’est curieux, ce que vous racontez-là !
— Attendez, ce n’est pas tout. M. Raoul Ponchon s’était dit : « M. Alphonse Allais a l’habitude d’écrire en prose, je vais donc écrire le rôle de Victor en prose. » Moi, de mon côté, je n’avais pas manqué de me faire cette réflexion : « M. Raoul Ponchon parle la langue des dieux * aussi bien que si c’était la sienne propre (as well as if it is his own) ; il ne manquera de la faire parler à son héros, faisons de même. » Et je mis dans la bouche de Gustave mes plus lapidaires alexandrins. Il se trouva donc que nous nous étions trompés tous les deux. D’où mille remaniements à opérer, portant sur le fonds de notre œuvre et aussi sur la forme. »
* clin d’ommatidies à (?)
« Il sont où » vos bons conseils prodigués à notre leveto ?
Comment MiniPhasme du 29 avril 2013 à 18 h 08 min , vous que le mégalo encense régulièrement, ne sauriez-vous donc point ce que la sottise bourgeoise fait à l’homme ? Alors imaginez ce qu’elle peut faire et faire faire à la femme !
Zerbinette se révèle incapable de suivre les niais conseils qu’elle prodiguait niaisement à l’infortuné Leveto.
Cependant, dans les crèmeries où nous passions, j’ai parfois entendu des gens de basse culture intellectuelle qui s’éjouissaient de vos facéties.
Ah que les sots sont périlleux !
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Quant à Hugo à gogo ce n’est pas plus pire que Ponchon à chonchon, et on y retrouve des connaissances :
ℒℰℬÅℕℕℐ , debout sur la grève,
Contemplant l’étoile et le flot,
Comme ceux qu’on entend en rêve,
Parlera dans l’ombre tout haut ;
Et ses paroles qui menacent,
Ses paroles dont l’éclair luit,
Seront comme des mains qui passent
Tenant des glaives dans la nuit.
Elles feront frémir les marbres
Et les monts que brunit le soir,
Et les chevelures des arbres
Frissonneront sous le ciel noir ;
Elles seront l’airain qui sonne,
Le cri qui chasse les corbeaux,
Le souffle inconnu dont frissonne
Le brin d’herbe sur les tombeaux ;
Elles crieront : Honte aux infâmes,
Aux oppresseurs, aux meurtriers !
Elles appelleront les âmes
Comme on appelle des guerriers !
Sur les races qui se transforment,
Sombre orage, elles planeront ;
Et si ceux qui vivent s’endorment,
Ceux qui sont morts s’éveilleront.
« Ah que les sots sont périlleux ! »
Périculeux, Zerbinette, périculeux.
et bien sûr il faut lire :
Le souffle inconnu dont frissonne
Le brin d’zerb sur les tombeaux ;
Ah non René, ça c’est Verlaine :
Où sont les nuits de grands chemins aux chants bachiques
Dans les Nords noirs et dans les verts Pas-de-Calais,
Et les canaux périculeux vers les Belgiques
Où, gris, on chavirait en hurlant des couplets ?
Hugo peut être franchement assommant 🙁
déclamatoire, incantatoire, jaculatoire.
chonchon : et flagorneur des puissants !
Et Ponchon est tout simplement jubilatoire.
lamiduratoire : « qui a déjà vu une affiche s’adressant à celui qui est représenté sur l’affiche ? »
Personne.
Jacques C : « pour un public occidental, la droite d’une image représente l’avenir. »
Vous croyez ?
Pauvre Victor, y a plus que Mélanchonchon pour le soutenir !
Alors un peu de Pynchon pour changer ? Droite, gauche…
Right and left; the hothouse and the street. The Right can only live and work hermetically, in the hothouse of the past, while outside the Left prosecute their affairs in the streets manipulated by mob violence. And cannot live but in the dreamscape of the future.
J’ai appris que nos chers correcteurs allaient avoir encore plus d’économie à corriger (lancement d’un « cahier » quotidien sur l’économie et l’entreprise) mais n’auraient plus à se soucier de la planète (suppression des pages « planète »).
Comme le travail au Monde va devenir passionnant ! Comme la lecture du Monde va devenir enthousiasmante ! Supprimés, les tristes articles signalant les dangers des pesticides ou donnant espoir en témoignant des initiatives des paysans africains ou des luttes des femmes amérindiennes ! Augmentés, les joyeux articles glorifiant l’entreprise et l’économie de marché !
Désormais, la seule ouverture du Monde sur le monde consistera en des considérations sur les guerres, les attentats et, bien sûr, la compétition économique. Les sujets de société à travers la planète, l’environnement : dehors, pas de ça ici.
Ah, bien sûr, les gestionnaires du « quotidien de référence » nous expliqueront que l’environnement et la planète seront traités de façon transversale, dans les autres thèmes du journal. C’est-à-dire qu’ils nous prendront pour des crétins, puisque cette suppression signifie qu’il n’y aura plus de responsable « planète » pour siéger en comité de rédaction, et que cette ouverture planétaire et environnementale ne sera donc porté par personne.
Il restait UNE rubrique qui permettait au Monde de prétendre encore être une référence. Elle est supprimée. La conclusion s’impose…
Désolé, cela déborde largement de l’objet de ce blog. Mais il fallait que ça déborde.
► Jacques C, il me semble que vous vous enflammez un peu vite…*
Dans l’article « Nominations au Monde » paru dans l’édition du 16.04.13 je lis ceci:
Le service International est dirigé par Christophe Châtelot, avec Christophe Ayad, Jérôme Gautheret et Benoît Vitkine, chefs adjoints, ainsi que Marie-Béatrice Baudet, responsable du pôle Planète, et Cécile Chambraud, responsable du pôle Europe.
Le « pôle Planète » existe donc toujours : aura-t-il autant de moyens et de place qu’actuellement ? C’est une autre histoire …
* À moins que vous n’ayez des infos en avant première ( comme ils disent maintenant au Monde.fr ce qui nous évite, et je les en remercie, un scoop rutilant et clignotant).
Eh! Au fait … se pourrait-il que cet « avant-première » soit une idée de nos correcteurs auxquels on aurait soumis un article chapeauté d’un scoop?
« prendre un amant », n’est-ce pas illégal, à quels périls s’expose-t-on et faut-il le rendre après ?
@ leveto :
Je ne peux pas révéler mes sources (qui ne sont pas nos chers correcteurs), mais :
— les pages « planètes » sont supprimées,
— il n’y aura personne pour représenter le service « planète » en conférence de rédaction.
Je suppose que la brève que vous citez signifiait, très factuellement, dans quel service les anciens responsables des pages « planète » allaient être recyclés. Qu’ils constituent un « pôle » ne veut rien dire : cela s’appelle un placard. Leur service n’existe plus, ils ne sont plus représentés en conférence de rédaction, il n’y a plus de pages « planète ».
Je ne sais pas quelles sont ses sources mais Laure Daussy en a parlé sur Arrêt sur Images dès le 26 avril : La colère gronde au service Planète du Monde : les pages dédiées au thème de l’écologie devraient être supprimées dès lundi 29 avril, selon nos informations, et dispatchées dans d’autres rubriques du journal.
http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=5795
Jacques C et Zerbinettte
Merci pour vos infos!
Il semble bien en effet que les articles estampillés « Planète » ne formeront plus un ensemble cohérent et qu’ils seront noyés dans les autres rubriques…
Il y a là effectivement de quoi s’alarmer…
S’indigner.
S’insurger.
Se révolter … etc.
Premier Mai fête du Travail!
C’est donc la saint Travail aujourd’hui.
Malheureusement monsieur Travail est moribond, en phase terminale et on lui demande de prendre le pouvoir. Le métastasé qui n’en peut mais est secouru par le professeur F. Hollande qui trouve in extremis le remède miracle: « Stimuler l’esprit d’entreprise dans notre pays, c’est d’abord le rôle de l’école. Il sera prévu de la sixième à la terminale un programme sur l’entrepreneuriat » . Ouf on sait maintenant où pointer le doigt; M et Mme Travail si vous êtes malade c’est que vous n’avez ni couilles ni ovaires. Aaah ça va mieux en le disant!
Le lendemain le professeur JLM rétorque et retoque « un gouvernement qui veut enseigner la cupidité. »
A ce moment des doutes m’assaillent: y a-t-il moins de patrons en France qu’ailleurs? les hexagonaux sont-ils moins courageux et volontaires que les autres? Vouloir être patron ce serait donc d’abord de la cupidité?Doit-on se réjouir que les Français ne soient pas cupides? Ou le contraire?
« Ya quek choz qui cloche là d’dans, j’y retourne immédiatement »
Que d’idées reçues faute d’en avoir de novatrices! Ça vaut pour H&M.
Tout d’abord il y a autant d’entrepreneurs que dans les autres pays européens. (quand on parle d’entrepreneurs on parle bien sûr des PME pas de grands groupes). Alors pourquoi cette volonté de FH de stimuler l’entrepreneuriat?
Depuis les années 80 et jusque avant la crise les PME françaises créaient les deux tiers des emplois. Les années 80 marquent la rupture d’avec le monde industriel au profit du monde financier ce qui a touché les grands groupes et peu les PME. Si l’on ajoute à ce phénomène mondial le fait que les politiques français (droite et gauche) ont toujours privilégié les groupes importants , on arrive à une Allemagne plus performante qui a fait des choix inverses et soutenu ses PME qui exportent massivement alors que les rares PME françaises qui exportent le font au travers de sous-traitance des groupes.
Favoriser les PME correspond à une logique des chiffres certes. Pourtant suffit-il benoitement de décréter qu’il faut plus de PME? non bien sûr car la France est le pays où les échecs sont parmi les plus fréquents: au bout de 10 ans il ne reste qu’un infime pourcentage d’entreprises (autre grande différence avec l’Allemagne). Les petits patrons français sont-ils plus bêtes que les autres? Bien sûr que non. C’est pourtant ce que suggère en partie le hollandais flottant. Le goût d’entreprendre s’apprend-il à l’école? Je crains que non dans la mesure où ce goût vient de dispositions psychologiques particulières diverses.
Maintenant ces dispositions particulières sont-elles la cupidité comme le prétend JLM? Là encore les chiffres contredisent ce discours. Le revenu moyen des petits patrons est de 4200€ et le médian dépasse un peu les 3000€/mois. Soit près de 10 fois moins que ce que ces gens pourraient gagner dans un grand groupe car ils sont très diplômés et sortent parfois des mêmes écoles. La différence vient surtout de l’origine sociale: les petits patrons viennent souvent des classes moyennes et populaires, les cadres sup de familles aisées. Il y a malheureusement peu d’études sur le sujet. Mais il est certain que la cupidité est loin d’être le moteur principal.
Et pour finir sur le sujet du billet, les correcteurs nous ont posé la question de savoir à qui s’adressait ce slogan, n’y aurait-il pas une question préalable à savoir de quel pouvoir s’agit-il. Politique, économique … et par quels moyens? et pour mettre quels pouvoirs en lieu et place?
Je pourrais rebondir sur la question de l’héritage (argent mais aussi entreprises) en tant que facteur principal d’inégalités mais aussi de catastrophe économique et industrielle (Lagardère, Bouygues, Pinault …) mais j’en reste là pour le moment.
Premier mai oblige, j’ai ce matin acheté en même temps que le Canard et ma baguette, un brin de muguet à un jeune homme dûment estampillé Front de Gauche, c’est du moins ce qu’indiquaient quelques auto-collants sur son parasol ( qui servait en l’occurrence de parapluie). Il a été assez aimable pour m’expliquer ce slogan « Prenez le pouvoir !». Poussé au bout de son raisonnement il a fini par admettre qu’il s’agissait d’inciter le peuple à voter pour le Front de Gauche à toutes les élections pour, in fine, élire Mélenchon à la présidence de la République. Quand je lui ai donc fait remarquer que son « Prenez le pouvoir! » n’était qu’un « Donnez-moi le pouvoir! » déguisé, il n’ a pas été très content. Moi, si.
@ leveto : vous n’avez pas honte, de faire souffrir ce pauvre jeune homme un 1er mai ?
Bon, par ailleurs, pour ceux et celles qui s’indignent de la disparition des pages « planète » du Monde, de la dilution des journalistes concernés dans les autres services, et de l’absence de cette thématique dans les conférences de rédaction (faute d’être représentée par un journaliste), il est possible d’agir en cliquant ici.
J’ai hésité à indiquer ce lien parce que j’aime pas faire le « rabatteur » vers un autre sujet, mais… finalement ce n’est pas un autre sujet. Il s’agit bien de défendre une certaine tenue du journal Le Monde, hôte de LSP.
@ SLounac.
« Bonjour,
puisque nous sommes dans les conjonctions ambiguës, puis-je vous soumettre une question sur l’accord du verbe avec un sujet en « ou » ? on trouve un peu partout que l’accord se fait au pluriel sauf si les termes du « ou » sont exclusifs, mais que fait-on si ces termes exclusifs appellent des conjugaisons différentes ? par exemple, en accordant au singulier :
– un ami ou une ennemie viendra vous voir
– un ami ou une ennemie est venu(e) vous voir
– ma fille ou votre fils héritera de ces biens
– ma fille ou vos fils héritera/ont de ces biens
– NKM ou Copé sera désigné(e) à ce poste…
merci de m’éclairer sur le bon usage.
Rédigé par : SLounac | le 29 avril 2013 à 17 h 21 min | »
Je dirais que c’est à vous de voir selon le sens de la phrase. « L’un ou l’autre héritera de ces biens » si vous êtes sûr qu’il n’y aura qu’un seul héritier (c’est possible en Common Law, mais le code Napoléon est beaucoup plus partageur); « L’un ou l’autre gaspilleront ces biens » si vous êtes sûr que parmi vos feignants d’héritiers, il y en aura au moins quelques-uns pour jeter l’argent par les fenêtres. Le plus sûr, à mon avis, est de les gaspiller vous-même. Si les ayant-droit sont des deux genres, c’est le masculin qui l’emporte, même quand c’est une femme qui décide pour les 27, comme dans certaines associations d’États à but lucratif. Si une ennemie vient vous voir, offrez-lui un canapé et mettez de la bonne musique. Au mieux, elle finira par s’adoucir, et au pire, la musique couvrira le bruit des coups de feu quand elle sortira son flingue.
@ Jacques C. J’ai envoyé mon message de soutien au service Planète. Nous verrons si Mme Nougayrède ou son médiateur en tient compte.
Laissant les indignés à leur occupation favorite je ne trouve pas malséant pour ma part que des pages d’un journal « de référence » soient régulièrement consacrées à l’économie.
Je ne sais pas ce que le Monde en fera, mais dans un pays où l’ignorance économique est la règle, même pour ceux qui se targuent de pouvoir diriger un gouvernement*, ça ne peut pas être totalement mauvais.
* : Mélenchon : au dessus de 300 000 je prends tout ! Mais bien sûr cher monsieur, et en dehors de la satisfaction bien légitime d’avoir « puni les riches » ça produit quel résultat sur l’économie du pays ?
@ JMJ qui suit le courant dominant :
Vous me surprenez. Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais les pages économie, les suppléments économie, etc., cela fait belle lurette qu’ils sont omniprésents dans la presse française — y compris dans Le Monde.
En outre, que lisons-nous dans ces pages économies ultra-envahissantes ? Des analyses critiques et contradictoires ? Le détail de la démarche qui conduisent tel ou tel économiste à proférer leurs sempiternelles affirmations ?
Que nenni ! Nous y lisons, journal après journal, jour après jour, les mêmes analyses convenues. Sans jamais la moindre bribe permettant la critique constructive : toujours l’argument d’autorité de « ceux qui savent » (et qui pourtant se trompent en permanence !). Sans jamais de débat clair permettant de s’approprier l’analyse : et pour cause, car s’ils nous donnaient les moyens de nous l’approprier, nous verrions à quel point elle est indigente et bancale, à quel point elle est construite sur du sable.
Alors, rassurez-vous : vous n’avez pas besoin de ramer pour défendre cette évolution du journal Le Monde. Il vous suffit de vous abandonner tranquillement au courant.
Ah, et juste un petit « détail » : une vision planétaire, les questions environnementales, la crise alimentaire, la crise climatique, tout ça, c’est négligeable ? Ça vaut vraiment la peine de supprimer cette rubrique et de supprimer toute présence de ces thèmes en conférence de rédaction, pour ajouter deux pages de plus sur l’omniprésente « économie » consensuelle ?
(en fait, à contre-contre-courant, et donc, son adversaire, à contre-contre-contre-courant)
@ JMJ à contre-courant : Laissant les indignés à leur occupation favorite je ne trouve pas malséant pour ma part que des pages d’un journal « de référence » soient régulièrement consacrées à l’économie.
« Nul ne ment autant qu’un homme indigné. »
« sinon un qui ne l’est pas. »
“hervé patron donc bourgeois capitaliste ”, ça tombe bien que vous ayez écrit ça, car à part un allumé qui vomit du bourgeois à longueur de ligne, cela ne fait plus vraiment partie du vocabulaire des “catégories socio-professionnelles” et j’aimerais bien qu’on me définisse précisément ces termes qui me paraissent bien galvaudés.
Patron : je comprends ; celui qui possède son entreprise, qui a du personnel sous ses ordres.
Patron donc bourgeois : là c’est déjà moins clair, qu’est-ce qu’un bourgeois dans la société actuelle ? Parce que dans la ‘France profonde’, le patron artisan par exemple, ressemble comme deux gouttes d’eau à ses ouvriers, il vit comme eux, il travaille comme eux (même parfois plus), se paye sur ce qui reste après les charges diverses et a en plus tous les emm… de gestion, de trésorerie, d’impayés etc. Idem pour les patrons commerçants. Pas vraiment enviables.
Patron capitaliste : reprenons les mêmes et qu’on me dise où est leur capital, leur entreprise ne vaut que par leur travail car ils ne trouvent plus de repreneur à l’heure actuelle et leur entreprise finit avec eux quand elle ne finit pas avant et qu’ils se retrouvent sans le sou.
Et quid du chômeur, qui se met à son compte et essaie de devenir son ‘propre patron’ ? Un bourgeois capitaliste encore ?
Quoi ? J’ai rien compris ? Ils font travailler la main d’œuvre au noir, ne font pas de factures, se mettent la TVA dans la poche et leurs billets en Suisse pour acheter des tableaux qu’ils revendront ensuite au prix fort ? Mais pauvres de nous, par ici, il y a plus de personnel aux services des impôts que de contribuables, dur dur de frauder. Tout le monde connaît tout le monde et on est trop loin de la Suisse pour faire l’aller et retour dans la nuit (d’ailleurs les banques suisses sont fermées la nuit et même les marchands de tableaux, alors !)
Oui, c’est sûr, je me suis un peu noyée dans les gouttes…. Prenez-en une à ma santé (du limoncello bien frappé) et n’en parlons plus.
zerbinette : » Mais pauvres de nous, par ici, il y a plus de personnel aux services des impôts que de contribuables, dur dur de frauder. »
Par ici ?
« 36,44 millions, c’est le nombre de contribuables en France qui remplissent une déclaration, un peu moins de la moitié seulement (45%) paie l’impôt sur le revenu. »
La Cour des comptes évalue le nombre de fonctionnaires à 5,2 millions. Fonctionnaires des impôts : 130 000
On ne dira jamais assez les ravages du limoncello.
Eh oui, trop tard Ph. H, vous n’auriez jamais dû boire à ma santé !
pour un public occidental, la droite d’une image représente l’avenir.
mais quid du haut et du bas ? Le sens de lecture n’est pas assuré. L’œil lit de haut en bas tout ce qui est page ou y ressemble, certes, mais de bas en haut ce qui est nature.
Avec quelque confusion pour les arbres généalogiques.
Zerbinette
Vous avez parfaitement compris mon propos en filigrane.
Le donc était une figure ironique qui concluait mon texte.
Les définitions qui avaient cours ont pris un coup de vieux et il n’est pas du tout évident de définir ce qu’est un bourgeois, un prolétaire ou un capitaliste tant les rôles peuvent s’interpénétrer.
A PHILIS
Ton corps est un jardin impérial.
Toutes les fleurs s’y donnent rendez-vous,
Les roses qu’on rêve et les oeillets fous,
C’est Floréal, Germinal, Prairial.
Dans ce jardin d’amour tout embaumé
Et plein du gai tumulte du Printemps
Il est des nids perdus et palpitants
Pour les baisers ces beaux oiseaux de Mai.
Sur tes seins blancs voici les lys éclore,
J’entends tinter des muguets dans ta bouche
Et dans tes yeux où le faste se couche
S’épanouit une lointaine flore.
Et de tes pieds aux doigts de sucre rose
A tes cheveux qui passent l’hyperbole
Se mariant à mainte fleur mi-close
L’on voit grimper la grâce, vigne folle.
Du people
Je suis frappé par la photo du tribun. Le visage a été lifté par photoshop et donne à JLM dix ans de moins. Du Berlusconi virtuel? Cette pratique du faux-semblant n’est-elle pas l’apanage* des candidat(e)s traditionnel(le)s [candidat/e/s traditionnel/le/s]?
Rédigé par : hervé | le 30 avril 2013 à 11 h 41 min
Marre des candidat(e)s « à la gomme »** ?
Tout le monde n’a pas la [mal]chance d’être né avec une jolie frimousse ***
[ moustachue ] !
( …) Mais l’idéal serait des coups de saber
Ou même de rasoirs nous faisant glabres.
Voyez de Banville et voyez Lecon-
Te de Lisle, et tôt pratiquons leur con-
Duite et soyens; tells que ces deaux preux, nature.
Et quand dans Paris, tells que deux preux,
Nous irons, fleurant de literature,
Le people, ébloui nous prendra pour eux.
Paul Verlaine à Raoul Ponchon
* du latin apanare, donner du pain, nourrir
** mie de pain, sans Lipton (Private joke à l’adresse de lamid que le Gremlin continue de griser… )
*** Enantiosémie ? Oxymore ?…
« Pop., vieilli, souvent péj. Visage, mine, trogne. Synon. arg. Frime2.
«[G. Michon] tendit vers elle sa frimousse édentée d’arsouille»
(Huysmans, Sœurs Vatard,1879, p. 54).
« Sa tête à gifles, sa sale frimousse qui gode, ses yeux pochés »
(Cendrars, Dan Yack,Plan de l’Aiguille, 1929, p. 19).
[ à suivre ]( Duite et soyens; tells que ces deaux preux, nature.
Et quand dans Paris, tells que deux preux,
Admettons que literature soit la graphie anglaise, mais pour les deux vers cités, vous êtes bien peu correcteur/trice (dans ce blog !) et un peu trop nature ! — en laissant de rectifiables erreurs (soyons,…), mais surtout un couple de moutons à 11 et 9 pattes (échanger les deux preux ?) Bon, c’était le 1ᵉʳ mai…)
Cassez les casseuses !
[ Mépris(e) ?]Admettons que literature soit la graphie anglaise, mais pour les deux vers cités, vous êtes bien peu correcteur/trice (dans ce blog !) et un peu trop nature ! — en laissant de rectifiables erreurs (soyons,…), mais surtout un couple de moutons à 11 et 9 pattes (échanger les deux preux ?) Bon, c’était le 1ᵉʳ mai…)
Rédigé par : beau_doux_preux | le 2 mai 2013 à 9 h 04 min
« Laissant les indignés à leur occupation favorite » [casser du sucre ], l’insecte reprend le jeu de la cacoquille (dont il s’est cru, à tort, l’inventeur) et son bonhomme de chemin :
« Années de revendication et de grèves… pour l’amélioration du travail des femmes. L’exemple le plus flagrant est le calvaire enduré par les ouvrières, courbées pendant dix heures dans les raffineries de sucre : les casseuses ont les doigts râpés par le sucre, les porteuses doivent transporter chaque jour sept à huit cents caisses de plaquettes de sucre pesant chacune seize kilogrammes. »
– Je vous jette par la fenêtre
S’il vous arrive d’oublier,
Jean, encore une fois de mettre
Du sucre dans le sucrier ;
Hurlai-je à mon valet Baptiste
Que j’ai déjà vingt fois chassé.
A quoi cette fleur d’anarchiste
Répondit : » Y en a plus d’cassé. »
(…)
Puis, me calmant un peu : Pécore,
Explique-moi pourquoi celui
Qui le cassait hier encore
Ne le casse plus aujourd’hui ?
– Parce que ce sont des bergères
Dont c’est proprement le métier
De casser le sucre ; naguères,
Elles le cassaient volontier (1),
(1) « Je ne mets pas d’s à volontier parce que j’en ai mis à naguères. Je ne peux pas non plus mettre des s partout ». dixit Ponchon himself…
De là à en conclure que le phasme se prête volontier aux sarcasmes, il y a un chasme etc.
What else ?
Dédicace décoquillée à MiniPhonchon :
Vous aviez des cheveux terriblement ;
Moi je ramenais désespérement ;
Quinze ans se sont passés, nous sommes chauves
Avec, à tous crins, des barbes de fauves.
La Barbe est une erreur de ces temps-ci
Que nous voulons bien partager aussi ;
Mais l’idéal serait des coups de sabres
Ou même de rasoirs nous faisant glabres.
Voyez de Banville, et voyez Lecon-
Te de Lisle, et tôt pratiquons leur con-
Duite et soyons, tels ces deux preux, nature.
Et quand dans Paris, tels que ces deux preux,
Nous irons, fleurant de littérature,
Le peuple, ébloui, nous prendra pour eux.
Exit les coquilles, exit le ‘sabir’, exit le people ?
Exit les cheveux :
« Il [Ponchon] ne supportait pas la contradiction. Un soir, au café du Delta, établissement alors couru du bas de la Butte, il soutint contre tous que le Gringoire de Théodore de Banville était en vers, ce qui donna lieu à une violente dispute où il insulta jusqu’à la caissière qui s’était permis de prendre parti. A bout d’arguments il lança un défi collectif à « l’honorable société », jurant de se faire couper les cheveux ras si on lui démontrait le contraire. … Le lendemain on lui mit la pièce sous les yeux : « Elle est en prose ! Regarde ! » … Il courut sur-le-champ chez le coiffeur qui lui passa le crâne à la tondeuse double zéro, et reparut la tête aussi lisse qu’une boule de billard.
– Mes cheveux se sont vengés, me racontait-il, avec une pointe d’amertume. Jamais plus ils n’ont repoussé. » Préface de Roland Dorgelès à la Muse frondeuse
Prenez votre pied !
[ Si l’ombre vous sied… ]Verlaine ayant rappelé certains ascendants littéraires de Raoul Ponchon (Villon et Marot, La Fontaine), j’ai cru –à tort– qu’il avait commis ces grossières coquilles* à son escient…
Pour comble de coquasserie, je retrouve la version corrigée sur le même site…
Site remarquable mais pas infaillible comme en témoignent certaines répétitions…
( Esprit es tu la(s ?)
L’auteur n’a manifestement pas lu mon commentaire –à mille lieues d’une « interpellation comminatoire » …
.
* concentrées dans les deux dernières strophes, par-dessus le marché…
(à suivre ?)
« Dédicace décoquillée à MiniPhonchon » dixit zerbaïonnette sempiternelle ronchonneuse*…
« Exit les coquilles, exit le ‘sabir’, exit le people ? »
« Exit les cheveux »
Un exeunt aurait fait bien joli.
Rédigé par : olimalia **| le 15 mars 2010 à 12 h 16 min
* pour comprendre le choix de ce terme il suffit de cliquer sur l’unique lien qui pollue mon commentaire (et vlan, encore un reproche dont l’insecte s’efforce de tenir compte, Ô dictatrice…)
** classe, n’est-il pas ? Vous faire profiter de la « leçon », trois ans plus tard…
Reprenez le jeu !*
L’insecte a glissé, ce jour, dans sa propre prose, un pléonasme jamais évoqué en ces lieux…Top chrono !
* non, rien…
Comment MiniPhonchon, j’ai pris la peine de rechercher le bon poème, celui que vous aviez cité étant vraiment trop coquilleux (et cela m’étonne de vous) et je vous ai offert en bonus une citation sur votre cher Ponchon et voilà comment vous me remerciez !
« Il ne supportait pas la contradiction…. » Qui donc déjà ?
Quant à l’exeunt effectivement “plus joli”, j’ai craint en l’employant de passer pour une bêcheuse (de mauvaises herbes of course) ou pire encore pour une coupeuse de cheveux en quatre étant donné le contexte, car le dictionnaire m’avait indiqué : exit : inv.
De zerbaïonnette au phasme à la dure mandibule.
(Et comme je suis foncièrement gentille, je vous évite les crêpes.)
Catégorisez !
« Il ne supportait pas la contradiction…. » Qui donc déjà ?
Euh… Laquelle ? Dois-je ajouter que j’ai envoyé le commentaire du le 2 mai 2013 à 17 h 50 min sans avoir pris connaissance du vôtre ? Dois-je préciser où et comment vous avez fait montre de contemnement envers ledit Ponchon* ?
* Auteur que vous avez cru bon ranger parmi les « mini poètes » (?) Remarquez, plus rien ne devrait m’étonner ; Césaire n’a-t-il pas été lynché en ces lieux ?
« du 2 mai »
Dans le rouge, le vert ?
[ ou le monde à l’envers ]► hervé,
Où en était-on ?
Ah, oui… Pour terminer en beauté, l’insecte avait prévu de vous soumettre cette Joly frimousse*…
Quid de l’évanescence d’Éva ?
* coquille volontaire…
[pour rappel, l’ex-juge d’instruction, fut élue miss Norvège en 1962 (?)]
Gulps. Il manquait un lien…
► Jacques C : Désolé, cela déborde largement de l’objet de ce blog. Mais il fallait que ça déborde.
► leveto : Jacques C, il me semble que vous vous enflammez un peu vite
A propos de débordement et de flamme, je n’ai pas posé cette affiche par hasard…
J’en connais un qui a dû se retourner moult fois dans sa tombe…
Un « exutoire » , la Paix ?
PS : Jacques C, soit dit sans zigzaguer, j’ai trouvé votre débordement salutaire…
Baste !
MiniPhasme : » l’ex-juge d’instruction fut élue miss Norvège en 1962 »
Non, non, non.
Ne pas confondre la dauphine avec la miss véritable (Julie Ege). Verte de jalousie, Eva.
> Miniphasme (18h58)… et puisque j’ai un moment et l’humeur un peu ponchoniaque :
….
Et Ponchon ponchonnait
Comme le fait un brave homme,
A douc’ment pétuner
Havane de bon arome.
Foutrecul ! La colère
S’empara du poète.
Il en oublie sa bière :
V’là qu’i peste et tempête.
– Et quoi ?.. Qu’ois-je ?… et que lis-je
Dans les propos d’Huffasme* ?…
Faut-il qu’à tant de piges
On m’inflig’ pléonasmes !
Et sa voix de rogomme
Monta haut, parla fort :
– Pléonasmes à la gomme,
A la mie d’pain encore !
Et que n’ai-je vécu
Que pour cette infamie
Et pour ce trou du cu**
Resservant de la mie ?!
Ah, comme me débecquettent
Les redites évidentes
Ressassées par l’Insecte,
Frivole et dilettante !…
Il n’est mie que de pain
Et a-t-on déjà vu
Mie d’un autre machin ?
Ce serait malvenu !
…
Extrait des Chroniques boulangères (Pauvre Lélian , Editions du Fournil & de la Brasserie réunies)
______________
* Raoule Huffasme, dite l’Insecte : chroniqueuse people et effarée de l’époque. Son habitat habituel – ou du moins à mi-temps – était sis aux escaliers.
** La graphie « cu » du cul est là pour le plaisir de l’œil et conforme aux usages du temps. Une telle portion anatomique ne doit pas s’encombrer de voilage en forme de L et inaudible.
« Des dauphin(e)s et des rames »
[ suite ]► Ph.H, arbitre
Besoin de lunettes, l’arbitre à la gomme ?
En éliminant le « (?) » que l’insecte avait bien pris soin d’ajouter à la phrase incriminée, vous n’avez fait rien moins que tomber dans son piège…
((( Rhââ … le pied ! )))
Pour preuve, ce flash-back :
« Voici la réponse au Test* dont vous n’avez même pas été capables de cocher les cases …
► À quelle porte Éva Joly devrait-elle se rendre ?
☒ Maillot*
☒ Dauphine**
* que notre candidate kayakiste ne craint pas de mouiller…
** pourquoi faire mystère de cette première expérience électorale ? »
Rédigé par : ma pomme en campagne, porte Dauphine | le 3 avril 2012 à 14 h 42 min
J’ai retrouvé la photo non retouchée de l’affiche en question !
Voici :
http://s1.lemde.fr/image/2013/05/02/312×156/3170150_3_9630_jean-luc-melenchon_c6f9604c7990f715d6bc6a001f4defb5.jpg
♬ LA ♫ note nouvelle ? Alors c’est la récré :
Mes hommages d’un astre neuf.
NIh ! Ah ! Oh ! J’ai eu une vision, de “rot schild” (“de” signe rouge) de “riot shield” (“en” bouclier anti-émeute) et d’autres “patriot” (alignés comme des misss île d’oeuf rance), pour exciter les saints Guy nerfs et aller se chicorer le citron.
Hillary Clinton Exposing American Hand Behind Wahabi/Deobandi Terrorism
Voici venir les commentaires désultoires dans cette note déhortatoire
Ainsi donc font front, les petites Marinettes (pour la mélodie : un autre komintern sect)
Ainsi donc f’ront front, les Jean-Luc Mélenchons
— du verbe mélencher : mettre les manchons d’un Suisse (CH) dans le désordre ; le Roi dit « nous voulons » —
http://www.placeaupeuple2012.fr/
Fr. ont 2 gauche mais pas de maladroite.
Prenez le pour voir… Preux nez pour voir… ou voir… (Quilès ce Rene entre pre-nez ?)
ouvrir les Français dès le plus jeune âge au monde de l’entreprise de la classe de « sixième à la terminale » dans tous les établissements du pays
du temps de la microentreprise j’étais plutôt favorable à un certificat multi-niveaux
d’aptitude à l’entrepreneuriat, une sorte de permis, avec « conduite accompagnée » pour les plus jeunes pour connaître les statuts de base, le minimum indispensable pour une relation commerciale, une gestion comptable correcte et quelques connaissances fiscales. Aux niveaux supérieurs des règles d’administration (le « management »), jusqu’à l’accès aux marchés internationaux et les introductions en bourse.
On pouvait proposer dès l’âge de 14 ans et avant les 16 ans « obligatoire », la possibilité de passer ces certificats donnant accès à la création d’entreprises (avec un accompagnement d’un sénior certifié en attendant la majorité du junior-entrepreneur).
Ce même certificat serait accessible (fortement recommandé) aux chômeurs.
Mais n’oublions pas que ce type de proposition doit toujours s’intégrer dans un système plus vaste, économique et social, l’humain doit donc y trouver un mode de vie (on peut imaginer des statuts d’entreprises itinérantes pour les « travellers » et même les vagabonds ne devraient pas devenir des clochards mais des gens du voyage pouvant avoir une activité économique journalière, une boîte aux lettres et donc une adresse…), la nation une coordination d’ensemble, la synergie apportant son surcroît de pouvoir démocratique. Et il ne faut pas oublier ceux qui existe déjà et font tourner la “marmite” depuis longtemps, donc un allègement de charge pour les premiers euros gagnés d’une micro-entreprise doivent aussi correspondre à un coût social moindre pour toutes les autres entreprises (grossièrement : [salaire annuel – 12 fois RSA]×charges%. On peut aussi faire un surplus léger de taxe au-dessus du salaire médian etc… En fonction des émoluments ayant cours en France.)
Un jour je vous raconterai aussi mes pépinières d’entreprises améliorées, ma fiscalité conditionnelle (qui devient plus proche d’une comptabilité déclarant tout avec des contreparties pour les aides sociales, avec des déclarations acheteurs/vendeurs pour amener automatiquement des déductions aux bons et gros consommateurs et faire reculer certaines déclarations de vols frauduleuses…), mon dopage de PME-PMI pour l’élargissement des marchés, la transformation de la répartition des charges sociales entre la part obligatoire et celle volontaire, le retour des gens de maison hautement qualifiés, une taxe de luxe puisque ce sont surtout les étrangers qui en profitent (avant c’était la Française dont on voulait copier la mode, il faudrait donc lui permettre d’en être le haut-modèle et la fiscalité peut y encourager), le CV centralisé avec une validation plus rapide des certificats de qualification obtenus à l’étranger… Et quand je vous parlerai de mes lignes de fret léger à très grande vitesse pour s’adapter au commerce dématérialisé les doubles tournées postières, et le repeuplement des campagnes grâce à cela…
Pour l’éducation, l’apprentissage des règles civiques pratiques devraient être au programme, pour savoir comment porter plainte, savoir ses droits dans le monde du travail ou commercial ou le comportement civique en générale, l’enseignement du Secourisme (passage du BNS pour les plus assidus) de la médecine et pharmacie basique (il y a des principes généraux, des numéros d’urgence pour le centre antipoison par exemple des gestes simples à faire…), les bonnes manières (on ne fait pas comme le petit président un baise-main à l’extérieur, ni à une jeune fille, un homme entre devant les personnes de sexe féminin dans un lieu public, dans un escalier ou sur une échelle aussi, pour la vaisselle de luxe notre célèbre baronne aurait beaucoup à dire aussi…) cela peut faire des jeux de rôles divertissants permettant l’accès à d’autres milieux sociaux pour sa vie privé comme professionnelle et cette formation, peut être longue, car l’extension vers les autres cultures est une évidence (on peut manger avec les mains parfois mais pas n’importe laquelle, on ne place pas ses baguettes sur un bol de riz sauf dans le cas d’une offrande à un mort…).
Je pourrais encore vous faire une longue liste (et vous aussi probablement) pour l’apprentissage des langues par la visioconférence avec une partenaire de son âge sur des sujets moins littéraires (si elle est mignonne je vous garantis la métamorphose des cancres), la diffusion des cours à l’international la modification de la répartition des années d’enseignement, des heures et semaines de cours ; l’éducation à devenir des parents puisque le modèle familiale semble souvent précaire me paraît être un bon moyen d’avoir un recul par rapport à sa propre situation et ainsi mieux la juger et ne pas reproduire les mauvais exemples et savoir dire je t’aime comme Kalthoum Sarraï… Casser le modèle pour que l’école ne soit pas qu’un lieu de bourrage de crânes mais un lieu de plaisir où on apprend à devenir indépendant, savoir où chercher les informations, comment les manipuler, pour inventer les métiers de demain en se disant qu’il n’y a pas toujours la réponse à ses propres questions dans les manuels et chez les professeurs, mais on nous a donné les moyens de chercher et trouver, pour ajouter un savoir à la collectivité mondiale. L’apprentissage de l’émancipation, pour être autonome (donc libre dans une collectivité dans le respect de la liberté des autres) tout en ayant le sens du groupe et la reconnaissance de la transmission d’un savoir, qu’il faudra à son tour partager.
Votez Lebanni, après, vous lui direz merci… ou mer**
Comme toute les espèces rhéophiles, le tendanceur marque le pas et donne le thon :
S’il fait de la « place au peuple », on va bientôt connaître la Démocratie ?!
La France serait alors très pré-occupée : Ja-t-il un pouvoir pour sauver l’État ?
Oui cette fabuleuse cigale d’Europe et le f.m.i. ?
Maintenant qu’on sait que le peuple Francs (peuple germanique) peut choisir des représentants nationaux ayant moins de pouvoir que les Eurodéputés.
La confédération est une quasi réalité, donc que doit être la VIᵉᵐᵉ ? Une chose privé pour le public ? C’est comme pour cette histoire de loi du 3 janvier 1973, sans elle peut-on imaginer la monnaie unique et un certain contrôle de l’inflation ?
P.S. On n’a toujours pas retrouvé la boîte noire de la nuit de noce des faux époux vantant le mariage pour tous (peut-être a-t-il conter fleurettes à sa môme mimine ?!).
Je propose un autre procès à savoir : que notre chef soutenu par les tribus continentales, demande l’envoi d’émissaires de l’ONU pour tenter de libérer l’union fédérale du nord Amérique du joug de ces gens qui déclenchent des guerres sous l’accusation de détention d’armes de destructions massives (qu’ils leur ont vendues) sans aucunes preuves afin de conserver une hégémonie qui n’a pas lieu d’être dans une gouvernance de plus en plus mondialisée ; ensuite ce ne sera qu’une formalité de prouver les crimes contre l’Humanité.
Que les races impures reprennent leur pouvoir avant que les Massive Ordnance Penetrator GBU-57A/B (MOP) bombe massive (13 600 kg dont 2 700 d’explosif à fort pouvoir détonant) anti-bunker s’ajoutent à l’arsenal des Homing All the Way Killer, pour nous refaire un autre Vietnam, Afghanistan, Irak…
De fausses ambitions humaniste ont pris un caractère hyperthéliques.
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[com’ déplacé, portant sur un billet interdit de com’)] > Le héros, un membre de l’intelligentsia (mot russe)
… ou polonais ?
wiki.fr : Intelligentsia (du polonais inteligencja, en russe : интеллигенция)
Le terme a été popularisé par le philosophe polonais Karol Libelt après la parution de son livre O miłości ojczyzny en 1844,
en Pologne, en 1844, c’est à dire nulle part (depuis… le Grand Frédéric et la Grande Catherine).
Reste que l’orthographe est russe, et que la seconde vie du mot est bien postérieure.
Quand arriva la Pentecôte, ils se trouvaient réunis tous ensemble.
Soudain il vint du ciel un bruit pareil à celui d’un violent coup de vent : toute la maison où ils se tenaient en fut remplie.
Ils virent apparaître comme une sorte de feu trollesque aux noms d’auteur variés, aux filandreux contenus et qui se posa sur chacun d’eux.
Alors ils furent tous vidés de l’Esprit Saint : ils se mirent à parler en d’autres langues, chacun s’exprimait sans plus aucun don de l’Esprit, et nul ne put désormais laisser le moindre commentaire.
Actes II, 2-4 saint-Gus
Amen.
(> Deux poids, deux mesures.
Le billet note dans la qualification une certaine dépréciation de la liberté d’une femme, mais
1. « mœurs dissolues » était l’expression de l’AFP de l’époque, ce rouleau compresseur de la langue, et donc vouée à un universel polycopiécollage par les gazettes et encyclopédies.
2. Plus dépréciative encore, l’appellation de guerre des trois jupons. La situation eût-elle été inverse, parlerait-on de guerre des trois… des trois quoi, au fait ?)
>Gus
Il faut y aller à la Genèse (la Tour de Bavbel):
« Tout le monde avait une seule langue et les mêmes mots. Comme ils étaient venus voir l’herbe, ils trouvèrent un blog au pays du Monde, et ils y habitèrent. Ils se dirent l’un à l’autre: Allons! Faisons des briques avec les mots. Et la brique leur servit de pierre pour la jeter. Ils dirent encore: Allons! Minons ce blog, et faisons-nous des pseudos, afin que nous ne soyons pas reconnus sur la face de toute la terre. Les correcteurs descendirent pour voir le blog qu’abattaient les trolls. Et les correcteurs dirent: Voici, ils forment un seul peuple et ont tous une même langue vipérine, et c’est là ce qu’ils ont entrepris; maintenant rien ne les empêcherait de faire tout ce qu’ils auraient projeté. Allons! Descendons, et là fermons-leur la porte, afin qu’ils n’entendent plus la langue, les uns des autres. Et Martinoli les dispersa loin de là sur la face de toute la terre pour aller voir ailleurs si l’herbe y est plus à son goût; et ils cessèrent de bâtir LSP. »
Par pitié ! Est-il dieu possible de passer à un autre sujet? 😥
>Ange perplexe
Pardon ! Cela n’était qu’une blague « herméneutique » pour Gus ; je n’ai pas pu me réprimer.
« Par pitié ! Est-il dieu possible de passer à un autre sujet? 😥 »
( ange perplexe, le 19 mai 2013 à 12 h 14 min)
N’oubliez pas que nous sommes le cinquantième jour après Pâques! Vivement lundi! Ah! Ben non, raté… allez, vivement mardi !
Comme disait le poète :
O Notre Père qui êtes
Je ne sais où… quelque part,
Inaccessible rempart
Pour nos âmes inquiètes ;
Notre règne arrive un jour,
Voire le plus tôt possible,
Le Vôtre est inadmissible,
Et puis, c’est bien notre tour.
Quel poète ? Ah, oui … ce poète. 🙂
Le lecteur attentif de ce blog aura remarqué que Raoul Ponchon comme Victor Hugo et le professeur Rollin ont toujours quelque chose à dire, quel que soit le sujet, le verbe et le complément.
« ô pâte exquise sans levain »
Tout le contraire d’un riche pain ?
Bon. Je constate que le blog LSP fait l’objet d’une attaque minable, d’ une vengeance puérile … Nul doute à propos de qui en est l’auteur.
Les copiés-collés de mon blog ne sont bien entendu pas de moi et Martinoli peuvent faire le ménage
Que se passe-t-il ? quel séisme fait remonter le temps par petits morceaux tout chamboulés ? Mais en tout cas, ce poème de RP, celui 14h 19 et du 27 janvier 1888 est plus sûrement de la poésie, poignante, que pas mal d’autres qu’on a vus et qui étaient plutôt des chroniques rimées. (Peut-être est-ce cette faculté d’employer la même forme pour dire des choses si différentes qui impressionnait Apollinaire.)
zerbinette
Seriez-vous la dernière fée ?
Hélas René, il paraît qu’elle était « exécrable » ! et que Balzac la considérait comme une « cochonnerie littéraire »…
Les copiés-collés de mon blog ne sont bien entendu pas de moi et Martinoli peuvent faire le ménage (leveto)
Oh ça, du ménage, nous en avons par-dessus la tête, car si les copiés-collés ne concernaient que vous, cela irait encore, mais hélas….
16/08/2012, le ministre des Relations extérieures du pays, M. Ricardo Patiño, annonça que l’Équateur accordait l’asile politique à Julian Assange malgré des pressions insistantes du Royaume-Uni. Julian Assange est sous le coup d’une extradition demandée par la Suède, il vit actuellement dans l’ambassade d’Équateur à Londres depuis juin 2012.
24/08/2012 il accepte l’invitation du Parti de Gauche et de Jean-Luc Mélenchon qui décida de lui offrir la tribune en direct via Skype en meeting de clôture du Remue-Méninges du Parti de Gauche sans que les chaînes de télévision chargées de retransmettre le meeting en direct (LCI notamment) eussent été averties. Une interprète assurait la liaison. Julian Assange profita de cette occasion pour décrire sa situation et expliquer les enjeux à venir quant aux négociations diplomatiques, se fit le porte-parole des médias « libres et indépendants » et en profita pour remercier publiquement les gouvernements d’Amérique latine
06/12/2012 Le Front de Gauche est le seul parti français à avoir manifesté publiquement son soutien à Julian Assange. Jean-Luc Mélenchon a demandé publiquement à la Suède de renoncer à le faire extrader vers les États-Unis.
08/04/2013 Le site Internet WikiLeaks publie plus de 1,7 million de documents diplomatiques secrets américains datant des années 1970.
25/04/2013, Le seul satellite (1,2 kg) de l’Équateur vient d’être endommagé après une collision avec des débris d’une ancienne fusée russe.
Un si petit satellite, au milieu de débris moins nombreux que des voitures à la surface de la Terre, répartis sur plusieurs couches à différentes altitudes (représentant donc un volume plus grand), allant parfois dans le même sens que le satellite victime mais à des vitesses très supérieures, a eu moins de chance que les constellations de satellites d’autres nations plus présentes dans cet espace.
Hasard des calendriers !
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