Langue sauce piquante
Le blog des correcteurs du Monde.fr
Merci Closer et Nabilla, grâce à vous nous allons pouvoir réviser la grammaire !
En effet, cet hebdomadaire qui s’efforce d’améliorer la culture générale de ses lecteurs consacrait plusieurs pages en mars à la téléréelle Nabilla, dont un article titré ainsi :
« Sur Les Anges, tout le monde la déteste… mais personne n’ose lui dire ! »
Selon la norme, il aurait fallu écrire « personne n’ose le lui dire ». Mais ce pronom disparaît à l’oral et même souvent à l’écrit, comme dans notre exemple, par un phénomène que les grammairiens nomment aplologie (ou haplologie, à ne pas confondre avec apologie).
« Par ce phénomène d’haplologie, certains pronoms disparaissent d’une manière formelle, sans que pourtant la signification dont ils sont porteurs soit absente de la communication » nous apprend le Bon Usage. Les pronoms le, la, les s’effacent donc souvent devant lui, leur. Et cela depuis fort longtemps. Nous faisons tous chaque jour de l’aplologie sans le savoir.
Le Bon Usage ajoute que cette disparition ressortit à la phonétique et s’apparente à l’élision, ou comment n’exprimer qu’une fois des sons ou groupes de sons identiques. Et les pronoms ne sont pas les seuls à s’effacer. Deux exemples fréquents d’aplologie donnés par les grammaires sont « jusqu’à présent » pour « jusqu’à à présent » et « tragicomique » pour « tragico-comique ».
Ladite Nabilla étant une référence dans la téléréalité (et même une it-girl !)  pour cette phrase : « Allô quoi. T’es une fille, t’as pas de shampooing ? », notre titre devient clair.
Amis blogueurs, qui tombez fortuitement sur Langue sauce piquante (LSP), il n’y a pas que Nabil(l)a dans la vie et nous avons déjà publié trois notes depuis celle sur cette dame, qui parlent de zeugme, d’épicène et de Shadoks ! 
Hal-lo? Du bist ein Mädchen und hast kein Shampoooooo ??
Question à Nabilla : « Considérez-vous qu’ un Applaus soit une haplologie de ces applaudissements nourris et triomphaux que déclenche le moindre son sorti de vos jolies lèvres ? »
Réponse de la belle linguiste : » Allo, nan mais allo quoâ ! T’es sur LSP et t’as pas tout compris ? »
j’ai rien compris
…allo nan mais t’es une fille et tu connais pas la roploplologie ?
Oui. Mais, et sous les anges ?
Tragi-coco-mique ?
ni la minéralologie ?
Voisin, sous les anges c’est l’angélologie.
Au salon des refusées
Puisque tout le monde y va de son envolée …
— Allô, nan mais allô quoi, t’es
Apolo et tu connais pas le décollement de racine ?
Zerbinette, mais Ph.H. affirme qu’il s’agirait d’un jeu de dupes ?…
Qui c’est Nabilla ?
René, il s’agirait, semble-t-il, d’une vedette de la radio-télédiffusion française.
http://www.youtube.com/watch?v=U2Q9KNIMYbQ
— Allô nan mais allô quoi, t’es correcteur au Monde et tu lis Closer ?
— Ça laisse rêveur !
— Des malades on vous dit !
— Je dirais même de avantage : à quand la convalescence ?
— Z’ êtes deux vilaines !
— Comment tu sais ? T’es leveto ?
à plous !
(la science des pommes, aujourd’hui ?)
 Du « les » à siffler
[ telles les rôties ]« — Non, mon vieux, pas de boniment
Ne me prends pas pour une poire.
Si tu veux des sous, franchement,
Dis-moi que c’est pour aller boire…
« Et tu les auras. Les voici.
Mais, vois comme il faut que je t’aime,
Car je suis bien capable aussi
De les aller boire moi-même. » 
Extrait de Ponchon ; « La Muse au cabaret. »
Voilà ce qui me plaît ici (LSP) : j’apprends sans arrêt des trucs nouveaux (comme disait le type qui souffrait d’Alzheimer).
J’ignorais ce qu’était l’haplologie, je le sais.
J’ignorais qu’il existait un hebdomadaire religieux nommé Closer, je l’apprends ; religieux car son nom est évidemment un rappel de l’hymne Closer to you Lord et n’y est-il pas question d’anges ?
J’ignorais qu’on pouvait écrire « Sur les Anges » mais apparemment on peut.
J’ignorais qu’une demoiselle Nabilla eût une quelconque célébrité, mais la télé et moi… Quoique, vague souvenir :
Nabilla, Nabilla
Quel drôle de nom a cette fille là
Il n’a pas écrit un truc dans ce genre Allais ? Non, je dois confondre, il n’avait pas la télé.
Me reste une ignorance mais elle ne m’empêchera pas de dormir : est-ce que Nabilla rime avec babilla et torpilla ou bien avec tequila et pugilat ?
JMJ, ignorant,
Selon Wiki : “Le prénom Nabil est issu de la racine arabe nbl, signifiant habituellement « bien né », « de noble lignée », ainsi que « l’adresse, l’habilité » ou la « dextérité de l’archer ». Sa forme féminine est Nabila
Beaucoup s’accordent à dire que, dans ce cas précis, on repassera pour la « noblesse » ; la « dextérité de l’archer », en revanche, est clairement établie si l’on prend les choses dans la perspective des fifteen minutes warholiennes : tout le monde, en dehors des fans de l’émission, ignore tout des autres concurrents de l’émission Les Anges de la Télé Réalité (sic), tandis que Nabilla est désormais citée par tous, même nos politiques…
« et même une it-girl ! »
L’expression que j’ignorais totalement m’est apparue sur un fil précédent, elle signifierait _la_fille, the nana, comme la Callas.
Là et las, cher/e/s correcteur/trice permettez-moi de m’indigner, de m’insurger d’assimiler cette girl à quelques autres femmes* talentueuses.
Tout au plus concèderais-je une hit girl ou plus osé une eat girl puisqu’elle est bonne.
Après relecture je modère mon avis puisqu’elle a au moins le talent de populariser une expression qui n’était semble-t-il pas d’elle.
Par ailleurs je note, sauf erreur, que it est un pronom personnel de genre neutre pour les choses. Sous cet aspect vous êtes carrément injurieux 😉 **
* les hommes talentueux n’ont pas droit à l’article défini bien que La Repubblica s’y autorise de temps à autre.
** les qualités et quantités d’échanges neuronaux ne sont pas à prendre en compte pour définir un homme, une femme ou … une chose.
voisin: « on repassera pour la « noblesse » »
Je ne suis pas d’accord: dans toute bonne famille il y a un canard boiteux et dans le cas présent un tel prénom sauve l’honneur de ses parents.
JMJ, n’ignorera plus cet air célèbre:
Nabilla Nabilla qu’est-ce que tu fais là ?
–ici je suis telle une cobaea

En une… décorative, mais quand elle l’ouvre elle rime avec clysopompe !
> aplologie
Soignez votre préfixe copulatif, il est atteint de
psilosis !
Je ne sais pas si l’aplologie, dans mon cas, c’est une crise d’apoplexie subite, et malheureusement récidive, ou seulement une question d’ignorance.
>Voisin (phatique) & Goosse
Alors, Tragicomix, Minéralogix, Suelburnus…faut-il changer les noms des personnages ?
plus de diplo– que d'(h)aplo-, dans le dictionnaire.
(Haplous [, simple,] n’est pas associé à un mot français du langage courant, il n’est pas compréhensible immédiatement. Comme pour beaucoup de mots grecs, (…) il faut chercher du côté du langage savant pour lui trouver des descendants, (…) des mots vraiment savants : ce n’est pas tous les jours qu’on utilise l’adjectif haploïde ou le nom haplologie, à moins de s’intéresser à la biologie (…) [ou à] la phonétique.)
(pour diplo-, au moins le diplôme (mais se souvient-on du sens étymologique de "tablette (pliée) en deux" ?), diplomate, diplopie, diplodocus, …)
Des (pré)noms
Marc : « Considérez-vous qu’ un Applaus soit une haplologie de ces applaudissements nourris et triomphaux que déclenche le moindre son sorti de vos jolies lèvres ? »
Une Nabilla bilabiale ?
A quand un petit pet it-girly histoire de faire écho à celui qu’éventèrent les médias, naguère et… jadis ?
Il est d’usage de prétendre que les usagers du Loft ont le monopole de cet effluve. En vérité, qui ne se souvient de Napoléon polluant les adieux de Fontainebleau par une flatulence hors sujet ? De Jacques Anquetil empuantissant ses supporteurs au sommet du Tourmalet ? D’Albert Einstein relativisant l’exposé de sa plus fameuse théorie en l’accompagnant de ce que les scientifiques du monde entier ont coutume de dénommer prout ? Par quel ignoble réflexe de classe ne s’en prend-on qu’aux pauvres contraints d’aller à la télé ?
Quid des antonomases ?
Nabilla marquera-t-elle l’Histoire à l’instar de « La Loana (ou des) sacs-poubelle » ?
En mai 2011, [ladite Loana] participe à la deuxième saison des Anges de la télé-réalité, tournée à Miami et diffusée sur NRJ 128. Elle révèle à cette occasion à France-Soir qu’elle a connu le viol et que sa prise de poids, due à un diabète nerveux, découle de cet événement. (…) annoncée comme marraine des Anges de la télé-réalité 4, mais son état de santé ne lui permet pas de participer à l’émission (…). Elle sera finalement chroniqueuse dans la quotidienne de l’émission, diffusée sur NRJ
Energie du désespoir
«Au lieu d’être une bizarrerie, j’ai voulu être une exception. Je n’ai pas le choix»
, avouait non sans humour Michel Petrucciani *.
Allô, Loana comment ?
* La citation est de Michel Patronyme de celle
Oups. J’ai oublié d’effacer la dernière ligne !
Allô, Loana comment ?
« Fête du terme »
Cette [ange] bizarre, étrange,
Disons en un seul mot bitrange
A ceci de particulier,
Et qui fait sangloter la Muse,
Que pour un être qu’elle amuse,
Elle en mécontente un millier.
RP
voisin (dans le doute) : « Ph.H. affirme qu’il s’agirait d’un jeu de dupes »
Mais non, mais non. Tout dépend de la couleur de l’ange.
Le reste, on s’en balance.
C’est Nabila, non Nabilla. Même si vous voulez la faire voler.
J’aime bien ceux qui font semblant de ne pas connaître, genre ils ont des préoccupations supérieures. Même quelqu’un comme moi qui n’a pas la télévision n’y a pas échappé : le Monde, le Figaro, Libération…tous les journaux et toutes les radios en ont parlé. C’est quand même le summum de la cuistrerie que de prétendre qu’on ignore ce que tout le monde sait.
Hervé, la Callas une « it-girl » ? Comme vous y allez !
Une It girl ou It-girl est une charmante jeune femme sexy qui bénéficie d’une couverture médiatique sans lien ou disproportionnée par rapport à ses mérites personnels. Le « règne » d’une « It girl » est en général éphémère ; certaines des It girls montantes vont soit tomber dans l’oubli, soit voir leur célébrité ternie.
Et ne désespérez-pas, il existe Le terme « It boy » pour désigner l’équivalent masculin.
D’ailleurs, d’après Andy Warhol : « Dans le futur*, chacun aura droit à son quart-d’heure de célébrité. »
* celui de 1968, donc vous êtes en plein dedans ! In the future, everyone will be world-famous for 15 minutes. Avec le développement de la télé et d’internet cette prédiction s’est révélée juste. Dépêchez-vous donc de mettre votre vidéo en ligne, si vous arrivez à faire suffisamment de fautes de langage, avec un peu de chance LSP en parlera. Si vous voulez, je me chargerai du décryptage… 😉
Fx : « C’est quand même le summum de la cuistrerie que de prétendre qu’on ignore ce que tout le monde sait. »
Joli paradoxe : se targuer de son ignorance. Mais vous commettez une erreur : « ce que tout le monde sait » n’existe pas; ce sont les médias qui vous font croire que ce qu’ils charrient quotidiennement, cadavres, épaves et vieilles chaussures, est le fonds commun de la connaissance. Personnellement, j’ai appris l’existence* de Nabila en interrogeant mon entourage sur l’expression « allo quoi » dont je ne comprenais ni le sens ni le succès subit.
* Puisqu’il s’agit de télé-réalité, on pourra donner comme sujet de philo à la prochaine session du baccalauréat : « Nabila existe-t-elle ? »
Si vous voulez, je me chargerai du décryptage…
Repentir : en y réfléchissant bien, Leveto et Jacques C sont sûrement plus qualifiés que moi 😉 😉
> Même quelqu’un comme moi qui n’a pas la télévision n’y a pas échappé
le français est vraiment pas commode. J’aurais pourtant dit : qui n’ai pas (pour n’y a pas échappé, j’ai un doute, j’aurais plutôt laissé)
petit complément pour zerbinette 09:17
Ph.H, au téléphone,
La question « Nabila existe-t-elle ? » est déjà un cas d’école pour encyclopédistes (collaboratifs).
http://blogs.rue89.com/les-coulisses-de-wikipedia/2013/04/29/nabilla-viree-de-wikipedia-un-effet-de-looping-230237
voisin (paradoxal) citant Rue 89 : « un effet de looping »
Ou de boobing ?
Effectivement, ça fait de l’effet.
Cuistre ou non, je continue à ne pas savoir qui est Nabil(l)a.
René : ce n’est pas grave. On peut vivre sans connaître Nabil.
« Closer » lui-même ne semble pas savoir s’il faut deux ailes à Nabil(l)a. Cette dame est la nouvelle Loana de la téléréalité. Elle a l’air sot. Mais la sottise est toujours le lot des dames pour les scénaristes de la téléréalité. Il faut donc se méfier des apparences.
MartinOli : « Cette dame est la nouvelle Loana de la téléréalité. »
Merci, d’avoir « répondu » à la question que le fafasme posait hier, à 21 h 12…
Nabilla fait la une de « Sciences et Avenir » pour son QI de 145, information non confirmée encore que très crédible:
http://netinfos.fr/nabila-jai-un-qi-de-145/
Dans « Kiffe kiffe la vie » de Faïza Guène, il y a un autre personnage à lèvres et QI survitaminés qui est aimablement surnommé « Nabil le nul ». Je n’ai pas vérifié le lien de parenté éventuel, mais le roman est excellent.
Merci, correcteurs
Évidemment, téléréalité, je ne suis pas…
Je n’ai pas la télé.
Et vous avez raison, on peut vivre sans.
Je posais la question pour mieux suivre les commentaires..
@Marc Une Applaus est un bogue dans un logiciel pour téléphone malin. (App-Laus.)
> Fx :
Je reconnais votre raisonnement sur l’ignorance (simulée évidemment) et la cuistrerie.
Il y a de nombreuses années j’assistai à un cours sur le «management par la motivation» (c’était la mode à l’époque) et le type qui vendait cette soupe citait sans arrêt dans ses exemples des tas de noms que je ne connaissais pas. Je finis donc par lui demander :
– Je ne comprends pas grand-chose à vos histoires parce que je ne sais pas du tout à quoi elles se rapportent, par exemple ce Platini que vous venez de citer, c’est qui ?
J’appris donc qui était ce monsieur Platini (et depuis j’ai retenu le nom comme vous voyez) puis, dans la même tirade, que soit je faisais l’andouille pour amuser la galerie, soit j’étais vraiment une andouille pour ignorer un tel monument de la pensée contemporaine. Je n’appris plus rien d’autre dans ce cours car c’est à ce moment que je pris mes cliques et mes claques et que je sortis pour aller faire des trucs plus intéressants.
C’est comme ça : il y a des gens font la différence entre un Baskerville et un Garamond et ceux qui ne savent pas ne sont pas des crétins ; il y a des milieux où l’on aurait un sourire incrédule si vous disiez ne pas savoir ce qu’est un nabla mais l’ignorer ne fait pas de vous un imbécile.
C’est comme ça : quand je lis un journal c’est par exemple la mort de Colin Davis qui m’accroche l’œil alors que je mets à la poubelle le cahier Sports sans même l’ouvrir.
C’est comme ça : je sais faire la différence entre un guillaume et une varlope mais je ne sais pas souder à l’arc.
C’est comme ça : je ne sais pas nager ; je ne sais pas non plus faire un lomcevak mais je sais torcher un immelmann assez correctement. Vous non ? Vous ne seriez pas un peu cuistre par hasard ?
Faut acter que pour le coup c’est trop top clair à la base avec ces stars qui s’font plaisir dans la tv réalité, ça impacte
JMJ
Il semblerait que nous sommes deux cuistres ici.
Je me sens moins seul.
Mais qui est ce « Platini » dont vous parlez ?
M. Jourdain s’émerveillerait de manier aussi couramment l’haplologie. L’éventail qu’en donnent G&G est étonnant. Certaines sont, comme celle du jour, facultatives et plus ou moins regrettables*, d’autres obligatoires ( j’y irai) ; pour d’autres, c’est la classification d’haplologie qui surprend (Dans le Le Monde d’aujourd »hui). Mots composés (voir billet), dérivation (analysiste), syntaxe, il y en a pour tous les goûts.
___
* on se trouve quand même, à en user,
en compagnie de B. Constant, E. de Goncourt, Proust etc.
C’est qui « René » ?
Qui veut la peau de la Bimbo ?
Anoup : Nabilla fait la une de « Sciences et Avenir » pour son QI de 145, information non confirmée encore que très crédible:
Ah, ben ça « tombe bien », parce que « marre » des clichés * …
Cela dit, Nabilla a de la bile à se faire ; il ne faudrait pas qu’une telle « boîte crânienne » connaisse le même sort que la flavescente Star hollywoodienne :
En dépit de ce que pourraient laisser supposer ses rôles de blonde idiote, Jayne Mansfield était une femme cultivée, elle parlait cinq langues, était pianiste et violoniste classique et disait avoir un QI de 163.
(…)
Contrairement à une légende tenace, elle n’est pas morte décapitée mais d’un écrasement de la boîte crânienne.
* auxquels Warhol himself n’échappe pas ; combien savent qu’après le suicide (défenestration) de l’un de ses « protégés », Andy avait regretté de ne pas avoir été sur les lieux pour filmer la scène ?
(cf. Arte qui lui avait consacré un documentaire en deux parties, si ma mémoire ne défaille pas trop…)
Personnellement, j’ai appris l’existence* de Nabila en interrogeant mon entourage sur l’expression « allo quoi » dont je ne comprenais ni le sens ni le succès subit.
Rédigé par : Ph.H, au téléphone | le 4 mai 2013 à 9 h 18 min
Et hop ! Une pierre dans le parc des ceusses qui affirment qu’elle n’a rien inventé ! Moquerie d’autant plus coquasse qu’elle l’a déposée (Je pourrais ajouter le lien qui vous a sans doute échappé mais j’ai la rame…)
Pour le sujet du bac, c’est pas gagné. Vous souvient-il de l’ »affaire Pierre Perret » ?
Comment ne pas penser à la fameuse citation de Nizan ? Nabila n’a que vingt ans
PS : « moi personnellement je » l’ai appris en regardant le.. Zapping de Canal + —bêtisier Ô combien « jubilatoire » dont cette perle est une bien pâle illustration…

voisin (dans le doute) : « Ph.H. affirme qu’il s’agirait d’un jeu de dupes »
Mais non, mais non. Tout dépend de la couleur de l’ange.

Rédigé par : Ph.H, angélique | le 4 mai 2013 à 0 h 00 min
Quelle est la couleur de l’Ange bleu ?
Top chrono !
MiniPhasme chaland joueur,
Blanc ?
L’ Ange bleu est « noir et blanc ».
Continuons le tour de la sémantique nabilléenne: cette it-personne manie fort habilement l’apostrophe en s’adressant fictivement à une personne absente (« t’es une fille et t’as pas de shampooing »), en ponctuant sa phrase d’un « allô » au lieu du « Ô ! » classique du poète s’adressant au ciel, à la terre et au genre humain, et un auditeur avisé repérerait certainement une dislocation du syntagme dans son « non mais, quoi ». Le rôle de la gestuelle dans la rhétorique n’est plus à démontrer depuis Démosthène.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Apostrophe_%28rh%C3%A9torique%29#D.C3.A9finition_rh.C3.A9torique
De la tête jusqu’aux pieds, l’Ange bleue est toute en rouge !
Noir et blanc, c’est entendu.
Rouge, à la rigueur, pourquoi pas.
Mais le it angel, féminin ou masculin ?
@ Fx
Ne vous en déplaise mais j’ai beau lire Le Monde (papier ou Poing & Fer) régulièrement, je n’ai jamais entendu parler de cette personne. Ce n’est pas une pose. Dans quelle rubrique d’ailleurs était-il parlé d’elle ?
Allô, vous ne lisez ni Le Canard Enchaîné ni Charlie Hebdo? 😆
moi, j’en ai entendu causer par un insecte, dans ses commentaires avisés.
entre deux ponchons.
primate
NAaan ? Assez pour avoir croisé ce pionnier ?
Allo ! les douches municipales ?
Envoyez l’eau !!!
et je me mets le combiné au-dessus de la tête…
Ça marche toujours cet abonnement là ? 😆
Rédigé par : Gérald | le 25 mars 2011 à 23 h 49 min
Dans ce cas, vous avez très certainement entendu :
Gus,
Allo ? Allo ? Non mais allo quoi ? T’es un gugus et tu réponds même pas ? Allo ? Allo ? tu m’reçois ? c’est comme si tu perds de l’altitude, dans le triangle des Bermudes.
Rédigé par : zerbinette | le 3 avril 2013 à 8 h 56 min
Entre deux Ponchons…
@ Fx
Ne vous en déplaise mais j’ai beau lire Le Monde (papier ou Poing & Fer) régulièrement, je n’ai jamais entendu parler de cette personne. Ce n’est pas une pose. Dans quelle rubrique d’ailleurs était-il parlé d’elle ?

Rédigé par : Lo | le 5 mai 2013 à 0 h 13 min
« Il était parlé d’elle » dans cet article que je découvre tout-à-l’heure : il a généré pas moins de 224 ««« commentaires »»»…
De là à en conclure qu’il y a moins de branleurs-ses sur LSP, il n’y a qu’un pas que le fafasme s’empresse franchir…
Ange et Tigre
« Quelle est la couleur de l’Ange bleu ? »
Ont répondu :
voisin (buzzeur) : Blanc ?
Nabila 145 : L’ Ange bleu est « noir et blanc ».
daltonien : De la tête jusqu’aux pieds, l’Ange bleue est toute en rouge !
Er behält seine schöne weiße Farbe !
Car l’ « Ange bleu » est… BLANCHE !
Exit Marlene… Combien savent que la belle belle*–belle**–fille de Monet doit cet « hypocoristique » à Clemenceau ?
[Ceux qui connaissent sa biographie comprendront qu’il n’était pas immérité, tant s’en faut…]A l’heure où l’égérie du collectif la « Manif Pour Tous » n’en finit plus de battre le pavé et laver son linge sale en public (ah, le Zéro pointé) je ne peux m’empêcher de repenser à l’étrange famille recomposée Hoschedé Monet
* sa mère épousa le 16 juillet 1892 le peintre dont elle était la maîtresse depuis de nombreuses années. [
** Elle a finalement accepté d’épouser son fils Jean, en 1897.
[Cf. Wiki]@correcteurs : Pour savoir qu’il faut un seul « l », je ne me réfère pas à Closer mais au fait que le prénom Nabilla n’existe pas ; Nabila, dérivé de l’arabe nabîl, est le seul dont l’existence soit avérée. Google ne reconnait d’ailleurs le mot « nabilla » qu’en référence à la jeune fille en question du fait de sa métranscription par la plupart des médias qui le reprennent sans le connaître.
@JMJ, lo, Ph. H : J’ai d’autant plus de mal à croire ceux qui prétendent ne pas la connaître qu’ils posent la question pour demander qui elle est. Si vraiment ils ne savaient pas et voulaient la réponse à leur question pour comprendre l’article d’ici, ils auraient plus vite fait de taper six lettres dans la petite case de recherche inclue dans tous les bons navigateurs que de poser et poster leur question ici. Mais on va me dire qu’ils lisent l’article entier sans le comprendre, et ensuite prennent le temps de poser la question, puis d’attendre la réponse pour enfin avoir le contexte de ce qu’ils lisent ? J’apprécie moi-même la mauvaise foi à l’occasion, mais faut pas pousser. Pardon, faut pas poser.
Ce qui me fait donc comprendre qu’ils ne posent pas la question pour avoir une réponse mais pour faire montre d’ignorance pour quelque chose de bien trop populaire et futile à leur yeux. D’où le terme de cuistre.
@JMJ : J’ai le défaut de penser qu’il existe une culture générale, qui doit souffrir d’exceptions circonstancielles. Si je vis à l’étranger, je travaille 84 heures par semaine, je ne lis que Rustica et n’écoute que France Musique, il est très possible que je n’aie pas connaissance de cette triste histoire. Cela dit, je flaire la mauvaise foi absolue (voir la démonstration ci-dessus).
Vous semblez confondre la généralité et l’universalité de la culture dont je parle. Je prétends qu’elle est générale et qu’elle peut souffrir quelques exceptions, pas universelle. Oh, je suis persuadé que certains, comme avec la langue, aimeraient contrôler ce qui est est et ce qui n’en est pas, et son évolution. Hélas, je crois le mécanisme un peu plus complexe.
Après si vous avez un cerveau à ce point sélectif qu’il ne capte que ce qui l’intéresse, je vous envie et je vous plains tout en même temps. Personnellement, si j’ai des centres d’intérêts relativement spécifiques, il y a plein de choses sans importance dont je prends connaissance sans le vouloir. Et parfois, ces choses ont finalement une importance, mais une autre. Mais je ne vais pas vous accabler à vous démontrer pourquoi une chose qui apparemment ne nous intéresse pas peut nous intéresser. Si vous fonctionnez comme vous le prétendez, vous ne connaîtrez jamais ce plaisir « sérendipitaire ».
(Elle a fini par rencontrer le cuistre René et le supercuistre JMJ 🙂 🙂 🙂 …sur LSP)
((seront-ils dépités ?))
« À côté de tout cela son ignorance en certaines choses était aussi remarquable que son savoir. En fait de littérature contemporaine, aussi bien qu’en philosophie ou en politique, il était nul, ou à peu près. Je me souviens qu’ayant cité un jour Thomas Carlyle devant lui, il me demanda de la façon la plus naïve quel nom je venais de prononcer là et ce que ce personnage avait bien pu faire. Mais le jour où ma surprise fut portée à son comble, ce fut celui où je découvris, par hasard, qu’il était parfaitement ignorant de la théorie de Copernic et qu’il ne connaissait même pas l’explication du système solaire. Qu’il y eût en plein XIXe siècle, un être civilisé ne sachant pas que la terre tourne autour du soleil, cela me parut si extraordinaire que je ne pouvais y croire. »
avouez que le terme de dédoublement eût été plus simple, s’il n’était double (et même triple au CNRTL).
— Une énantiomachin ?
— Pas sûr, s’il y a deux entrées (et même trois au CNRTL)
Si les mots de plus de 4 syllabes n’ont aucune chance en it-poésie, haplologie garde toutes les siennes.
>FX
Précision : je n’ai pas demandé qui est cette dame ; il y a deux jours je l’ignorais totalement, aujourd’hui j’en sais forcément un peu plus mais vraiment je m’en tape comme de l’an quarante.
J’étais simplement curieux de ce nom d’origine arabe avec « ll » alors que Nabila ne m’aurait pas étonné.
Au fait, en rangeant mes tiroirs je viens de retrouver une photo où je m’esclaffe en compagnie de Whit Diffie.
Dites, j’espère que vous savez qui c’est ? Non ? Je ne peux pas le croire, vous faites forcément semblant ! Un type qui a eu plus d’influence sur votre vie que 347 ou 349* Nabil(l)a mises bout à bout !
* : Ou 809 et 811 si vous préférez.
La langue serait-elle plus naturelle et moins savante, combien plus on compterait d’haplologies, — et de céphalgies !
(le Figaro est réfractaire à l’haplologie — Yvan Rioufol : des ouiistes et des nonistes….,
l’Humanité, non : la municipalité baudisiste.
De là à conclure que l’haplologie est de gauche… un minichasme.)
((tout un monde haplologique larvaire, à l’image de féminin-iser comme masculin-iser (PR), ou fémin-iser, du lat.: femina (CNRTL) ?))
Précision : J’entends bien, c’est René qui posait la question. Et moi aussi je m’en moque, le problème n’était pas de savoir ou non qui est Nabila, mon commentaire portait sur le faire semblant de l’ignorer. C’est très différent, et pourtant vous mêlez les deux.
Dites, j’espère que vous savez qui c’est ? Non ? Je ne peux pas le croire, vous faites forcément semblant ! Un type qui a eu plus d’influence sur votre vie que 347 ou 349* Nabil(l)a mises bout à bout !
=> Du coup, ravi de savoir que vous avez des tiroirs et que vous les rangez, mais hors-sujet sur tout les tableaux. Et j’ai passé depuis peu l’âge du pissing contest. Donc, comme je ne vous crois pas assez simple pour avoir conclu de mon commentaire qu’il fallait exiger de tout le monde qu’il connaisse le plus spécifique des personnages, quand même son influence serait immense, j’en déduis que vous le faîtes exprès. Je ne vous crois pas non plus assez léger pour impliquer le personnage que vous évoquez dans une conversation sur le fait d’ignorer qui est cette jeune fille qui a fait parler d’elle depuis quelques semaines ; là aussi, je veux croire que vous le faites exprès.
« Je ne pus m’empêcher de sourire en relisant le document que j’étais arrivé à rédiger ainsi.
Le voici :
Résumé du savoir de X.
1° En littérature. Connaissances nulles.
2° En philosophie. —
3° En astronomie. —
4° En politique. Connaissances très médiocres.
5° En botanique. Connaissances variables. Très ferré sur tout ce qui concerne la belladone, l’opium et les poisons en général, complètement ignorant en horticulture pratique.
6° En géologie. Connaissances renfermées dans certaines limites bien définies ; discerne à première vue les différents terrains les uns des autres : me montre après ses promenades les taches de boue de son pantalon et m’explique comment leur couleur et leur consistance lui permettent de reconnaître dans quelle partie de Londres chacune a été faite.
7° En chimie. Connaissance approfondie.
8° En anatomie. Connaissances très grandes, mais acquises sans aucune méthode.
9° En littérature sensationnelle. Érudition incroyable selon toute apparence pas une abomination n’a été perpétrée dans le courant du siècle, sans qu’il en ait connaissance.
10° ………………… Joue bien du violon.
11° ……………………… Est très fort à la canne, à la boxe et à l’épée.
12° ……………………… A une bonne connaissance pratique de la loi anglaise.
Mais à peine ce travail terminé, je le jetai au feu avec dépit. « Décidément, pensai-je, plutôt que de chercher où peut mener un tel amalgame de connaissances et quelle est la carrière dans laquelle elles peuvent être utiles, mieux vaut y renoncer tout de suite. »
@ Jmj : « je n’ai pas demandé qui est cette dame ; il y a deux jours je l’ignorais totalement, aujourd’hui j’en sais forcément un peu plus mais vraiment je m’en tape comme de l’an quarante. »
Ah ben ça crève pas trop les yeux, mon vieux.
Ah ! ah ! Ph. H, je vois que vous revenez d’Afghanistan.
Deux minutes après, M. Dudouis explorait le tiroir. Il y trouva d’abord une liasse d’articles de journaux découpés par l’Argus de la Presse et qui concernaient Arsène Lupin, puis une blague à tabac, une pipe, du papier dit pelure d’oignon, et enfin deux livres.
Il en regarda le titre. C’était le Culte des héros, de Carlyle, édition anglaise, et un elzévir charmant, à reliure du temps, le Manuel d’Épictète, traduction allemande publiée à Leyde en 1634. Les ayant feuilletés, il constata que toutes les pages étaient balafrées, soulignées, annotées. Était-ce là signes conventionnels ou bien de ces marques qui montrent la ferveur que l’on a pour un livre ?
1940 ? 1840 ? 1040 ?
non : de l’an 2440 !
Il existait en effet, juste avant la révolution, un très populaire roman d’anticipation de Louis-Sébastien Mercier intitulé "L’an 2440, rêve s’il en fut jamais" dans lequel un monde idyllique était décrit. Cette société [utopique] aurait provoqué les sarcasmes des sans-culottes supposés amener eux-mêmes une vie bien meilleure que celle sous la royauté.
un monde où les garçons ont des abdos partout
merci Arte !
Le Monôme
Petit Parisien,11 avril 1891,p.3,c.1 :
M. Clément, commissaire aux délégations judiciaires, accompagné de 28 agents de la Sûreté, a fait avant-hier soir (9 avril), vers six heures, une descente dans un bain de vapeur de la rue de Penthièvre où se réunissaient des individus de mœurs inavouables. Seize personnes ont été arrêtées et conduites à la Sûreté où elles ont été interrogées sur-le-champ.
« La Gazette du Palais du 25 avril 1891,p. 3, établit que parmi les prévenus figuraient un Suisse, deux Américains et un baronet anglais, Gaston Cooper.»
À l’heure où les papas et mamans homophobes continuent de battre le pavé et des mains, me revient cette marche à la queu’leu leu :
Or, c’est dans ta rue, ô Penthièvre,
Et, sans doute au numéro cent :
(Je dis Penthièvre et non de Thièvre,
Remarquez-le bien en passant.)
Quelques bougres du meilleur monde
Avaient adopté là des bains,
Et s’y jouaient au sein de l’onde
Pêle-mêle avec des larbins.
Là, des étrangers dilettantes
Trouvant les hôtels hors de prix,
Fort souvent y plantaient leurs tantes,
Pendant leur séjour à Paris.
Mais se baigner était leur moindre,
Leur Coquelin cadet souci !
Leur souci ? Vous le voyez poindre,
Le voyez-vous poindre d’ici.
Je voudrais me faire comprendre
Sans en dire trop long : aussi,
Tâchez, ma chère de m’entendre
A l’aide des mots que voici :
Comme l’on fait avec les dames
Quand on se trompe de côté,
Ils jouaient donc, entr’eux, sans femmes,
A divers jeux non sans beauté ;
A riflandouille ; à : vois mon chose
Ca n’est pas un grain de millet ;
A : Si tu veux avoir ma rose,
Ne compte pas sur mon œillet…
A s’entre-polir la colonne…
Vertébrale, bien gentiment,
Ca ne fait de mal à personne
Et ça peut distraire un moment.
Or, croiriez-vous que la police
Vint troubler leurs jeux innocents ;
– Elle trouve de la malice
Partout, ç’a-t-il du bon sens ?
Quand se rua la Préfecture
Ils étaient à la queu’leu leu,
Dans le simple état de nature,
Jouant à l’on ne sait quel jeu.
Le premier qui tenait la tête
Voyant entrer l’homme de loi,
Crut fondre sur lui la tempête
Et serra les fesses d’effroi.
Le second fut pris ! le troisième
N’en mena pas large non plus ;
Le suivant fut saisi de même
Comme un oiseau pris dans des glus ;
Le dernier de ces bons apôtres
N’eut garde de se dilater,
Mais s’il serrait comme les autres
Il pouvait néanmoins péter.
« Suivez-moi chez le commissaire,
Dit l’empêcheur de…rire en rond.
– Las ! disaient-ils, quelle misère !
Nous faut-il subir cet affront ? »
Les voilà pourtant dans la rue.
On eût dit d’un vaste serpent ;
La foule bientôt accourue
Aima ce spectacle pimpant.
On trouvait bien un peu bizarre
Qu’ils fussent nus comme la main,
Mais l’étonnement le plus rare
Ne dure pas jusqu ‘à demain.
Ils allaient donc et sans pelure,
Au petit pas ou bien au trot ;
Quelquefois ils changeaient d’allure,
Et prenaient un temps de galop ;
Alors, c’était au pas de course
Que franchissaient nos voyageurs
Ta place, tour à tour, ô Bourse,
Et votre rue, ô Déchargeurs !
Les enfants disaient à leurs pères :
« Ils emboîtent vraiment le pas ;
Dirait-on pas des militaires ?
– C’en est », répondaient les papas.
Un monôme, – disait Chincholle,
C’est un monôme assurément…
Des élèves de quelque École
Centrale du gouvernement.
Parfois à cause des voitures
Le monôme se débandait,
Mais, l’homme de la Préfecture
Ouvrait l’œil et le raccordait.
« Ah ! pauvres bêtes que nous sommes !
Déploraient des chiens in petto,
Quand nous faisons comme ces hommes
On nous flanque de grands seaux d’eau !
Enfin au poste ils arrivèrent
Devant un juge sans raison ;
Et, l’un dans l’autre ils écopèrent
Plusieurs trente jours de prison.
« Fermons nos c…oeurs à l’Espérance,
Dirent-ils, autant s’en aller ;
C’en est fait de toi, pauvre France,
Si l’on ne peut plus rigoler ! »
Raoul Ponchon
Courrier Français,
3 mai 1891
► Fx : le prénom Nabilla n’existe pas
Il vous a donc échappé que cela fait quelques années que tout prénom est possible… du moment que des parents décident de l’attribuer à leur enfant. Qui êtes-vous donc, pour décréter décider de la possibilité ou non de choisir le prénom Nabilla ? Monsieur Fx est une autorité supérieure à la loi française ?
je ne vous crois pas assez simple pour avoir conclu de mon commentaire qu’il fallait exiger de tout le monde qu’il connaisse le plus spécifique des personnages, quand même son influence serait immense
Tiens donc ! Ainsi, une jeune femme dont vous avez entendu parler doit être connue, mais un homme dont vous n’avez pas entendu parler, non. Qui êtes-vous donc (bis) pour considérer votre nombril culturel comme LA référence devant s’imposer à tous ? Qu’est-ce qui vous autorise a priori à traiter Whit Diffie différemment de Nabilla ? La seule, l’unique raison qui peut justifier votre attitude est que… vous connaissez Nabilla mais pas Whit Diffie. Autrement dit, les autres doivent absolument s’aligner sur vos connaissances, mais il est hors de question que vous fassiez l’effort de vous aligner sur les connaissances des autres. Ça va, les chevilles ?
Quant à votre affirmation injurieuse selon laquelle une personne qui ne connaît pas Nabilla mentirait, elle est joliment gratinée. Au nom de quoi devrions-nous passer du temps à nous renseigner sur internet au sujet d’une personne sans aucune importance ? Pourquoi donc ceux qui n’avaient pas entendu parler d’elle devraient-ils se fatiguer à en savoir plus que le minimum nécessaire pour suivre la conversation sur LSP ? Or, pour en savoir le minimum nécessaire pour suivre la conversation sur LSP, la méthode la plus efficace est précisément… de poser la question sur LSP à ceux qui en ont parlé ! Point barre.
NB : Pour ma part, j’avais hélas entendu parler de cette demoiselle en parcourant les pages internet du monde.fr. Mais je comprends parfaitement que d’autres aient pu n’en jamais entendre parler, et je les envie !
> voisin (cambrioleur)
D’Arsène ou de (S)herlock qui est le plus savant ?
http://www.images-booknode.com/book_cover/161/arsene-lupin-contre-herlock-sholmes-161403-250-400.jpg
L’un connaît Carlyle, l’autre pas.
Une chose est sûre : ni l’un ni l’autre ne lisent Raoul Ponchon.
« C’est justement quand je ne comprends plus que je soupçonne Arsène Lupin »
Ah ! La Frânce, Monsieur Ph.H, la Frânce !…
@Jacques C Pfiou, j’ai failli commencer à répondre et vous expliquer pourquoi votre commentaire est ….. et finalement, je me suis repris à temps, sachant que de votre part, je n’aurai pas autre chose. Le manque cruel de logique de votre commentaire empêche de toute façon toute réponse raisonnée. Je viens de m’éviter une perte de temps et je n’en suis pas peu fier ! Bon dimanche !
J’ai déjà vu des prénoms arabes bizarrement orthographiés par l’état-civil français, et Nabilla avec deux L ne m’étonne pas plus que ça. Il y a bien des femmes qui s’appellent Dianne ou Roxanne.
Tout de même, une it-demoiselle effacée d’une encyclopédie virtuelle, dont l’existence est sujette à caution, qui apostrophe une interlocutrice hypothétique, en mimant un téléphone imaginaire, à propos d’un shampooing absent, le tout dans une émission qualifiée de « téléréalité », quel sujet pour le bac de philo !
Pour souffler un peu…
Le Monde papier des 5 et 6 mai, page 9, « Deal Safari à Bordeaux »
« La démarche avait défrayé la chronique il y a un mois, avant que le soufflet ne retombe… »
— Arsène ? Combien d’l à Nabil(l)la ?
— Nabi-quoi ?
— Vous ne regardez pas la télé Arsène ? Vous savez bien, la fille qui téléphone ! Le shampoing !
— Demandez à Sherlock.
— Ah non ! Vous savez bien qu’il ne s’intéresse pas aux femmes.
— Bon. Vous n’avez qu’à regarder là-dedans :
http://a401.idata.over-blog.com/1/49/87/62/POP/JST/JST75.jpg
De plus en plus absurde, cette censure qui frappe a tout bout de champ.
… « était si pénétré de sa supériorité qu’il regardait toute opposition comme un désordre et presque comme une injure »
Un de mes récents commentaires, où je posais la question philosophique de la non-existence du flacon de shampooing, semble avoir disparu.
« Je voudrais me spécialiser dans l’ontologie, c’est une maladie terrible » (Juris Podnieks, « Est-il facile d’être jeune en URSS ? », 1986)
Anoup,
commenter ici le chāmpo de Schrödinger, vous n’y pensez pas ?
L’haplologie, ses copines de plateau, elle, l’asyndète (scrupuleusement transcrite dans le billet).
Fx
Par curiosité malsaine, j’ai écouté la radio.
J’ai entendu des tas de noms de personnes qui semblent jouir d’une certaine notoriété.
Je cite :
– Keni Arcana
– Fleur Pèlerin
– Bruno Leroux
– Enrico Leta
Je ne suis pas certain de l’orthographe, n’ayant pas vu les noms écrits.
Je vais subir vos sarcasmes. Je ne connais pas du tout ces personnalités.
Et je n’ai pas envie de les connaitre.
Bonjour
Je vois qu’on n’a pas évoqué que Nabilla babilla sur la Guerre Mondiale de 78 ; c’était pourtant haploïde à donf ça.
Fx,
Ce que profère Jacques C, il refusera d’y réfléchir, car il en est bien incapable. Ses sottises succédant aux éructations malheureuses, et ses pleurnicheries aux gras silences impuissants sont connues par tous ceux qui savent vraiment lire. Jacques C demeure tant pénétré de sa sottise fort vaniteuse qu’il ressent toute opposition à ses âneries péremptoires comme une injure faite à l’humanité dont il porte la vertu à bout de bras. Par bonheur, son perroquet miauleur, Leveto, lui répétera en cadence que, grosso modo, il est d’accord. Voyons donc sa nouvelle ânerie qu’il vous adressait le 5 à 18 h 52.
Le gendarme autoproclamé de LSP vous interpellait, grossièrement comme d’habitude, en ces termes.
« Il vous a donc [sic] échappé que cela fait quelques années que tout prénom est possible… du moment que des parents décident de l’attribuer à leur enfant. »
On remarque que son interlocuteur fictif dans ce discours se voit posé péremptoirement comme un ignorant, pour nous faire accroire par contraste que Jacques C, lui, aurait une connaissance en la matière comme en toute matière — cela va de soi. Notre gendarme autoproclamé, bienfaiteur de l’humanité souffrante, n’a pourtant pas pris la peine un instant de nous exposer les raisons et les prémisses auxquelles renverrait sa conjonction « donc ».
Il commence par conclure à partir d’une chimère qui hante son cervelet. Les bains répétés dans son psittacisme lui auront sans doute enseigné qu’il suffisait de truffer ses phrases de « donc » pour impressionner son tendre perroquet.
Quant au contenu de son affirmation, il suggère plutôt que Jacques C n’est pas capable de nous citer un texte de loi sans en oublier l’essentiel : « Si le juge, qu’aura saisi le procureur de la République avisé par l’officier de l’état civil, estime que le prénom n’est pas conforme à l’intérêt de l’enfant ou méconnaît le droit des tiers à voir protéger leur patronyme, il en ordonne la suppression sur les registres de l’état civil. »
On peut donc en conclure que l’affirmation de Jacques Ctou est fausse : « tout prénom est possible du moment que les parents le décident ». Non. Ça commence plutôt mal pour ce gendarme ! Poursuivons…
« Qui êtes-vous donc [sic], pour décréter décider [charabia] de la possibilité ou non de choisir le prénom Nabilla [sic] ? [charabia pour toute la phrase, en somme] »
Ce qui se conçoit stupidement s’énonce souvent entre les lignes trop pâteuses du charabia. Quand on relit vos commentaires, Fx, on constate que vous n’avez soutenu nulle part cette volonté d’imposer à quiconque le prénom de leurs chers bambins. Jacques C vous attribue de force — et donc malhonnêtement (puisqu’il nous parlait d’homme de paille sur un autre billet, il connaît donc le sophisme qu’il emploie. Les grands adeptes du psittacisme ont tendance à vite s’arroser dès qu’ils entreprennent d’arroser autrui)  — une idée que vous n’avez jamais exprimée.
Jacques C croit ferme en son autorité divine, il peut donc vous interpeller du haut de son omniscience enragée :
« Monsieur Fx est une autorité supérieure à la loi française ? [le point d’interrogation cache en vérité le point Torquemada] »
Ladite Loi française a, d’ailleurs, exprimé son bonheur d’avoir à sortir, quoique quelque peu tordue, de la bouche d’un Jacques C.
Or, il s’avère que les parents de cette jeune femme, Nabila, n’ont jamais envoyé l’extrait de naissance de leur fille à Jacques C, dont ils ne reconnaissent ni l’autorité ni l’existence. Quel étonnant scandale, n’est-il pas ! Comment Jacques C peut-il alors connaître les désirs des parents de la jeune Nabila lorsqu’ils choisirent le prénom de leur fille qu’entérinait plus tard l’officier d’état civil ?
Réponse : Jacques C, il sait tout. Et c’est une injure que de demander une preuve à un Jacques Ctou. Son perroquet, miauleur comme un roquet, vous le direz bien mieux que moi. « Injure ! Injure ! Injure ! C’est plus fort que moi ! Injure ! Injure ! Injure ! »
Vous pouvez donc dormir tranquille, Fx, l’agressivité de Jacques C n’est que la manifestation de son impuissance. C’est de la paille, ou du foin pour bourriquot.
Les chats trublions ne regardent pas les étoiles, mais voient ce que la sottise bourgeoise fait à l’homme.
Yacedjaz, un prolétaire.
@ Fx
votre dernier et bref commentaire ne faisant qu’exprimer en termes tres courtois votre impuissance à dialoguer avec Jacques C, je m’étonne qu’il ait été censuré.
« La démarche avait défrayé la chronique il y a un mois, avant que le soufflet ne retombe… »
omer (le 5 mai 2013 à 19 h 52 min)
Sûr que quand le soufflet retombe, la démarche ne défraie plus grand-chose.
Mars et ça repart !
Lo @ Fx : Ne vous en déplaise mais j’ai beau lire Le Monde (papier ou Poing & Fer) régulièrement, je n’ai jamais entendu parler de cette personne. Ce n’est pas une pose. Dans quelle rubrique d’ailleurs était-il parlé d’elle ?
Rubrique des chiens écrasés ?
Que nenni. Il appert que Le Monde* a bien osé consacrer un article à ce « phénomène », générant pas moins de 224 « commentaires »…
Comme quoi les branleurs ne sont pas ceux qu’on croit…
* que le Vigile a coulé ereyesterday… mais bof.
> not corrective journalist
l’article du Monde en lien, malgré ses centaines de commentaires,
– ne corrige pas une 1ᵉ faute, de celle qui fleurissent de plus en plus dans le Monde…
– déforme doublement la citation : T’as une fille et t’as pas de shampoing
(c’est pas le Monde, c’est un blog !)
Devant le tour que prend la conversation, en l’absence d’une fiche Wikipolicepedia fiable et afin que nul ne puisse plus dire qu’il ne savait pas, il semblerait nécessaire de fournir à l’aimable assemblée de commentateurs un résumé succinct de ce que l’on* sait de l’affaire, et de ses deux ‘l’ :

Nabilla Benattia : « Allo, mais c’est qui cette bimbo ? » (Biographie)

On en apprend tous les jours. Ainsi :
Nabilla Benattia (alias « Nabila ») est devenue un phénomène. […] Nabilla Benattia (de son vrai nom) […] est originaire de Genève selon les présentations des candidats réalisées au début de chaque saison des émissions de télé-réalité. En 2011, rêvant déjà d’illuminer les podiums, elle a été élue « Miss Salon de l’Auto de Genève 2011 ». Une distinction importante : le salon de Genève est l’un des principaux salons automobile dans le monde et, on le sait, les hôtesses des salons auto constituent souvent une attraction
Nota : la translittération de l’arabe vers les langues latines n’étant nullement fixée (c’est qu’il n’existe pas d’académie de la traduction du monde mondial globalement globalisé), il ne faudra pas trop jeter la pierre dans le lac de l’officier d’état-civil… suisse — pour autant que les sources sont fiables —, puisque que l’on trouve aussi bien d’étranges orthographes latines de noms arabe sous la plume des autorités maghrébines.
Par ailleurs, les amateurs de carrosserie trouveront aussi quelque lien utile pour admirer tant le capot que les ailes du bolide social.
____
* oui, « on » est un c…
(c’est pas le Monde, c’est un blog !)
Rédigé par : PS rectificatif | le 6 mai 2013 à 18 h 53 min
( Pouf Pouf )
« PS »… comme Précision Superfétatoire ?
PS : (un vrai) je regrette que vous ayez fait rimer « Jaurès » avec
stratoforteresse …
(les sesquipedalianistes apprécieront peut-être)

Un pot, aujourd’hui, sur la terrasse ensoleillée du « Monde ». Rédaction du MIA. Tout le monde connaissait Nabilla, Mais Nikos Kazantzakis, personne. L’auteur d’ »Alexis Zorba » ! Le à la fois Zola, Hugo et Flaubert crétois !
Mais pourquoi lui en particulier ? Parce que l’on reparle de lui (un peu) à l’occasion de la sortie d’un livre écrit par sa femme, Eleni Samios, et jamais encore publié en France : La Véritable Tragédie de Panaït Istrati. A lire, ainsi que tous les livres de Kazantzakis et d’Istrati.
Tiens, après « Lecteur », « Franck » et « Clément » (tous avatars transparents de Yacedjaz/Solène), voici maintenant un « témoin » (dont la crédibilité avoisine le zéro absolu tant la « politesse » de Fx a frappé tous les lecteurs, n’est-ce pas). Cela va continuer longtemps ?
En tout cas, Yacedjaz (ou faut-il maintenant l’appeler Solène ? il y a de quoi s’y perdre) vient de faire une belle démonstration de la totale vacuité de ses élucubrations spécieuses.
En effet, voilà qu’il bâtit tout un (long) commentaire méprisant sur… son incapacité à lire un texte dans son ensemble. Démonstration amusante :
► moi-même : Fx, vous affirmez que « le prénom Nabilla n’existe pas ».
Il vous a donc échappé que cela fait quelques années que tout prénom est possible (…)

► Yacedjaz : Notre gendarme autoproclamé, bienfaiteur de l’humanité souffrante, n’a pourtant pas pris la peine un instant de nous exposer les raisons et les prémisses auxquelles renverrait sa conjonction « donc »
Impressionnant :D. Pourtant les « raisons et prémisses » n’ont pas à être recherchées bien loin : il suffit de savoir simplement lire la phrase qui précède !
Même un enfant de CM1 est capable de comprendre l’articulation évidente entre la première phrase (la citation de Fx) et la seconde.
Yacedjaz, non. C’est vrai qu’en supprimant une phrase sur deux, il est tellement plus facile de délirer sur un texte qui ne veut alors plus rien dire. Et le pire, c’est que tout en se livrant à un exemple typique de manipulation de type « homme de paille », il ose ironiser sur cette notion. Ça ose tout, c’est à ça qu’on les reconnaît…
Mais je ne me fais pas d’illusion : comme d’habitude, même pris en photo avec la main dans le pot à confiture, Solène va trouver le moyen de faire de l’esbroufe en m’insultant et en expliquant avec force syllogisme qu’il était au contraire le sauveur de la confiture… Ce n’est plus un tour de force, c’est une farce très mal scénarisée et à la mise en scène désertique.
Question délire la LSP n’a franchement rien à envier à la télérealité.
Yacedjaz, vous manqué-je à ce point que même en l’absence de tout commentaire de ma part depuis le 4 mai vous m’invitiez dans les vôtres ?
Il faut croire que je suis un os coriace à ronger puisque sans cesse vous venez y user vos quenottes jour après jour sans jamais en venir à bout. Le ixième jour, le canard « perroquet » était toujours vivant !
D’autre part, manqueriez-vous à ce point d’imagination qu’il ne vous vient à mon endroit qu’encore et toujours les mêmes « sottise », « ânerie » ou « perroquet », pour ne reprendre que les plus récents ? Ah! si! vous avez fait un effort, dernièrement: je vous ai jeté un « miaou », vous vous en êtes aussitôt emparé et me voilà promu * « perroquet miauleur ».**
Alors, tenez!, vos lecteurs risquant de se lasser, je vous en livre un autre :
« ouah ouah ». Faites-en bon usage.
* Enfin je suppose que, dans votre échelle, ce doit plutôt être une dégradation: vous me direz.
**Si j’étais taquin, je vous ferais remarquer qu’un « perroquet miauleur » imite le chat … Suis-je à ce point votre reflet pour que vous me détestiez autant ?
« correcteurs » sans précision + un auteur grec …. olihoud I presume ? c’est quoi ce MIA où personne ne connait Kazantzakis ? Parce qu’il y a au moins quelqu’un au Monde qui en a entendu parler : Jean Birnbaum, Istrati, le révolté du siècle Le Monde des Livres du 22 mars.
Question au spécialiste : pourquoi aujourd’hui écrit-on Kazantzaki ?
Ah! Au fait, Yacedjaz, vous vous laissez aller:
« Son perroquet, miauleur comme un roquet, vous le direz (sic) bien mieux que moi.»
Reprenez-vous, que diable!
Jacques C, leveto, vous me semblez connaître le règles et les usages de la blogosphère sur le bout des doigts et êtes je crois beaucoup plus rompus que moi à la joute internautique. Me permettrez-vous, à moi qui ai appris ici ce qu’est un geek et un troll , de m’étonner de vos réactions ? Si au sens ancien, l’insulte est une « attaque armée (contre quelque chose ou quelqu’un) généralement menée par surprise« , les propos de Yacedjaz-Solène-etc. ne correspondent plus depuis longtemps à cette définition. Où donc est la surprise ? pourquoi vous sentez-vous offensés par un tel délire ? Parce qu’il s’efforce d’emprunter les apparences de la raison ? Puis-je m’autoriser un conseil ? Soyez, vous, raisonnables, et tenez pour négligeable ce ce qui doit être négligé.
Que le jour qui décline vous reçoive au royaume des bienheureux.
 Ah Liban et ses drones… Nabila et ses drôles…
Eh ouais ! Je suis « diplodiptycoLOL »
(ETy maison : díptykhos, « plié en deux », « diploos, double », « lots of laughs » beaucoup de rires, donc doublement plié en deux d’être LOL)
 Z’avez réussi à me faire consultationner pour ces tacts tuent – oh ! bon sang j’ai vraiment perdu beaucoup de points de QI et QE avec c’t’affair’, donc si ça ne vous dit rien, sautez ce commentaire. Merci.
– L’émission : Les anges de la téléréalité
Le principe est faire cohabiter dans une villa aux États-Unis d’anciens candidats de téléréalité française (Nouvelle Star, Secret Story, Popstars, L’amour est aveugle, L’Île de la tentation, Star Academy, Koh-Lanta, Top Chef). Ils tentent de “s’accomplir” dans leur (? futur ?) milieu professionnel comme la chanson, la comédie, la mode ou l’animation.
Un aspect caritatif est introduit à partir de la saison 3 avec la création d’un calendrier au profit de l’association Meghanora dont Clara Morgane est la marraine. Emmanuelle Aurélie Munos, dite Clara Morgane, actrice de films pornographiques, comédienne,chanteuse, modèle et animatrice de télévision. Désignée 1ere Française et 8e femme la plus sexy de la planète par le magazine FHM et 7e par Le Nouvel Observateur pour l’année 2011. 1ere Française à avoir eu les honneurs de la couverture du magazine américain Penthouse et compte aujourd’hui plus de cinquante couvertures de magazine dont VSD, FHM, Penthouse, Playboy, Newlook et Maximal. Clara Morgane est la personnalité préférée des jeunes Français, selon un sondageIfop.

Je ne sais pas pourquoi il me vient des images de gazons ras, des boules dures, de longs manches, des trous, et « L´histoire de ce roi, mort de n´avoir pas, pu te rencontrer »… Et ploum ! le putting… « Le long des golfs clairs ».
– Une vision plus complète de l’affaire :
Nabila, son boy et leur chaperon font les courses – un budget commun – Nabila n’apprécie pas qu’il soit nécessaire d’acheter des produits « de beauté » à usage personnel pour des filles pour lesquelles l’apparence est une valeur essentielle.
La séquence
Nabila nue (mais floue), séance de body painting l’émission n’est pas recommandée aux moins de 10 ans. Sur canalplus même interdiction pour groland (pas vu) mais la miniature présentant la vidéo, présente 3 femmes entièrement et visiblement nues.
– Nabila et la prison :
Le paparazzo Elfassi défend Nabilla et assure que VSD et Le Point ont publié des informations partiellement exactes puisque la jeune femme était menacée et harcelée par une « bande organisée », et que Nabilla qui avait à l’époque 16 ans « n’avait d’autre choix que d’obtempérer aux ordres du gang ». Elfassi rajoute« Son rôle a été d’ouvrir des comptes en banque avec une carte d’identité volée. […] Nabilla n’a récolté que quelques centaines d’euros sur les 200 000 € perçus par les voyous. Ce rôle mineur ne lui a valu qu’une petite peine de prison avec sursis et contrairement à ce que dit le Point.fr, Nabilla n’a jamais été condamnée à de la prison ferme. »
source irealtv
– Nabila et les lapins
Ouest France rapporte : Après avoir planté la boîte de nuit d’Hérouville-Saint-Clair, dans le Calvados, vendredi soir 12/4/13, Nabilla (qui a été rémunéré 25 000 euros pour le tournage des Anges) en a refait de plus bel le lendemain dans le Finistère. Le gérant du club le 29 du Faou raconte avoir attendu la bimbo pendant des heures à l’aéroport. « À 22 h, nous n’avions toujours pas de nouvelles. » explique Patrick Labataille qui ajoute que 2500 euros de frais ont été engagés mais qu’heureusement, « le contrat de 3 500 euros était payable à l’arrivée ».
Maxime Posada, le gérant de la discothèque d’Hérouville-Saint-Clair a, lui, été moins chanceux puisqu’il a payé les 7000 euros (auxquels il fallait ajouter les frais de déplacement, de restauration et d’hébergement) négociés pour la venue de Nabilla en avance. « Une centaine de personnes étaient venues spécialement pour elle, en faisant parfois plus de 200 km pour la voir. » déclare le gérant bien décidé à revoir la couleur de son argent. Maxime Posada : « Comme pour toutes nos animations, on rentre en contact avec l’agent. Là, le prestataire voulait 100% du cachet avant. Habituellement, c’est 50% avant, 50% après. »

Si c’est juste la couleur de l’argent qu’il veut revoir ? Qu’il nous disent le type de billet… Les clients ont à se plaindre, pas les gérants ni Mˡˡᵉ Nabila. Les couvertures de magazines et les futures histoires d’amour-rupture-livre-scandales sont négociés très chèrement ; l’INPI explique que plusieurs autres personnes ont déposé l’expression consacrée le même jour.
source lexpress.fr
Elle gère son « flash-business ».
Qui ici peut se vanter de glaner autant de blé avec aussi peu d’effort ? On se rapproche du rendement d’un gagnant à la loterie nationale ou du footeux staRisée.
Et si j’étais né en 93 dans le 9.3.
Si elle a 21 ans, elle a du naître dans les années 1990, en 2001 à 10 ans environ c’est LoftStory (débat trashTV) et Cie qu’elle découvre avec sa génération ayant pour héros Clara Morgane, découvrant le sexe par le porno, à l’âge de l’enfant roi, l’explosion de la cellule familiale qui sous pression des crises (93) peste de plus en plus contre le modèle social, abandonne l’éducation aux enseignants (la morale à l’école ? Quel modèle on va présenter aujourd’hui pour le couple, la famille avec enfants, les carrières professionnelles)… Des groupes de jeunes errants de plus en plus nombreux ayant pour objectif de gagner des sous et devenir célèbre – sans raison ni but, mais la télé le répète, les parents, et les diplômés rament pour trouver logement, boulot… Ils se prostituent pour payer leurs études… – tentent de trouver sans guides ni exemple une place, car plus personne n’a le droit d’entrer dans cette société si vous n’avez pas de « réseaux », les places sont prises ! En 2001 les attentats, et c’est un monde liberticide qui impose ses lois, la vérité ? Elle peut bien attendre ! Le silence s’achète ! Le courage ? Il y a des intérêts supérieur ! (false flag, car la tempête gronde on nous harcèle de catastrophe de fin du monde, d’apocalypse, de crises historiques, de mensonges d’émeutes et d’élus corrompus.). La technologie est mieux maîtrisée par les nouvelles générations qui découvrent tout ou presque avec, sans le recul des vénérables sages ; doit-on tout croire ou douter de tout, dans un monde de plus en plus manichéen dualiste. La guerre ? Il n’y a que ça ! Des images de mort, de sexe, et de fausses censures hypocrites sont pléthoriques. Les dessins animés de leur enfance sont aussi violents que les images de l’actualité dans le poste de télé qui mange avec tout le monde, ça brûle comme les voitures ou les gens qui s’immolent par le feu.
La probabilité pour que sa première expérience sexuelle et non pas amoureuse se soit faite sous pression d’un de ces groupes, et puisse s’apparenter à un viol, comme l’héroïne Loana dans son enfance ou à la piscine. Maman voulait de ça, cette vie qu’elle n’a pas eu, d’hypothétiques plaisirs qui lui manquent, la Victoria de la télé qui reconnait avoir fait ce choix d’être une ravissante idiote avec la chirurgie réparatrice de la mauvaise fortune biologique, on va encore regarder quelques séries avec des serial-killers, des vampires, tiens ! Les américains vont encore sauver le monde ce soir mais plus contre les Russes ils sont marrons maintenant les méchants d’abord Arabes mais on éclaircira vers ce faux jaune; papa il n’en veut pas de cette fille là, et il est parti, encore un joli choix pour un bel exemple de résolution de conflit, on ne communique pas on ne définit pas de règles… Pour les autres, qui vivent dans d’autres milieux d’une éducation à l’ancienne… Sont-ils vraiment adaptés à l’environnement actuel ? Vous reprendrez bien un peu de binge drinking, de coco (plus très cher même la blanche), amphet’, bad trip à l’extasy ou GBL ? Herbe, résine… Même les footeux s’y sont fait prendre, dopage, corruption, triche, il n’y a pas que le cyclisme… Qui peut me citer les vrais vainqueurs des 20 derniers tours de France ? Réponse : Attendons les progrès de la science antidopage et la fin des procès !
Si j’étais né en 93, j’en voudrais aujourd’hui à qui ? Puisqu’on m’a donné ça en héritage. Merci pour le mépris ! j’ai nettoyé tes plages, quand j’étais à ton école qui m’apprenait l’écologie, les déchets nucléaires dans des bétons qui tiendront pendant quelques siècles des matières qui mettent des millénaires et beaucoup plus avant de redevenir supportable par la vie ; les pesticides, PCB, l’amiante, la pharmacopée et ses hormones qui font des poissons à la recherche de leur identité sexuelle ; moi aussi je m’adapte à cette société qui me cache/gâche la Vie.
Que ceux qui ose condamner ces enfants, fassent avant le bilan des lâchetés de leur vie.
🙂 +++
Je remarque tout de même la tendance « bas les masques » de nos très chers hôtes ; on sait maintenant qu’ils sont aussi beau physiquement, alors de là à supputer un calendrier coquin pécuniairement rentable, ou la mise à bas des fanfreluches vers le naturisme rémunérateur j’ose espérer qu’il reste un fond de pudeur social au site Le Monde pour ne pas se lancer dans la choupette attractive par ses rondeurs.
P.S. 🙂 Platini pour les nouilles : c’est le gars qui n’est pas favorable à l’arbitrage vidéo dans le foot pour permettre à la corruption et les matchs truqués de poursuivre leur commerce à gogo(s).
Salutations au monsieur du ciel (Himmel Mann), qui vraisemblablement connait des nombres premiers jumeaux , vous devez avoir aussi des cousins, sexy
Je n’aurais jamais cru qu’on se rencontrerait, le hasard est curieux , maintenant je peux me vanter de connaître un voltigeur dont les tonneaux barriqués connaissent d’autres fluides.
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Quand vous verrez Whitfield Diffie dites lui que le RSA est devenu bien fragile si un jour on veut bien suivre les résultats du grand maître Eratosthène (pour les « jumeaux » je pense pouvoir démontrer qu’ils sont en nombre infini, je pourrais alors entrer dans le wikipedialianisme non ?).
Ô Sari Marès
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Et dans la série vivement les écrans souples car moi ça irrite mon contrepoint de vue :
Le Monde diffuse une étude du think tank britannique Counterpoint financée par l’Open Society, la fondation de George Soros (USA participant au club bilderberg) faite par Joël Gombin (doctorant en sciences politiques à l’université d’Amiens).
– Pour la moitié des Français, « ce n’est pas le gouvernement qui gouverne » car « on ne sait pas en réalité qui tire les ficelles ». – Pour la première fois, une étude d’ampleur a été réalisée en France – L’étude a été lancée dans plusieurs pays – Questions posées, par Opinion Way à quelque 2 500 personnes . – Les résultats que nous publions montrent que l’adhésion aux différents énoncés conspirationnistes varie davantage en fonction de l’orientation politique – ce qui a surpris les auteurs de l’étude. –

Un unique auteur sur le document de 160 pages environ en anglais. 2500 : c’est une étude d’ampleur.
On passe sur les pourcentages non reliés à la représentation du parti dans la classe politique. (Si on les ramène aux pourcentages de voix du 1er tour de l’élection de 2012 on trouve des taux plus proches entre les partis, mais alors plus importants en nombre d’humains)
Analyse de J.Gombin : Il y a d’un côté les partis politiques présentés comme légitimes, et de l’autre ceux qui ne le sont pas. (Ah ? Et c’est légal de ne pas être légitime ?). L’électorat de Jean-Luc Mélenchon est à mi-chemin (semi-légitime), mais celui de Marine Le Pen est clairement en opposition au « système ». (Si quelqu’un comprend de quoi il parle, qu’il m’explique. Légitime ou pas ? En opposition ? Et notre légitime opposition d’après élection elle est contre quel système alors ?)
Il existe quelque chose de commun entre les théories conspirationnistes,
(à la fin on trouve :
Prochaine étape : Counterpoint envisage d’étudier les relations et les liens entre les différentes théories du complot.)
qui consistent à mettre le doute sur ce qui est communément admis, et cette opposition au système. »
S’il y a une seule chose commune, alors cela signifie mettre le doute sur ce qui est communément admis et le doute sur cette opposition au système. Elle est bizarre cette phrase non ?
wikidit :
conspirationnisme désigne une interprétation spéculative d’événements suivant un plan concerté et orchestré secrètement par un groupe malveillant.
Une conspiration est une entente secrète entre plusieurs personnes, en vue de renverser un pouvoir établi, ou une organisation en vue d’attenter à la vie d’une personne d’autorité.

Pour moi instiller le doute, ce serait plutôt faire de “l’intoxication”, comme aux USA campagne 2008 Barry Soetoro . Il reste à définir si ce qui est communément admis ne doit jamais être remis en question ? (comme un repère héliocentrique par exemple)
Ce type d’étude est monnaie courante aux Etats-Unis. Mais c’est une première en France, qui permet d’esquisser le portrait de celles et ceux qui croient en ces théories.
Une croyance ! En fait, la conclusion était faite au départ.
Les électeurs écologistes et la « finance internationale »
« Leur profil est très marqué, il ne ressemble pas du tout à celui de ceux qui croient aux autres théories ».

(cherchez la cohérence ! J’offre la camisole !)
D’après Joël Gombin, une théorie du complot met en jeu « un petit groupe secret dont les membres sont identifiés ».
(c’est secret et connu ! Après on s’étonne d’avoir besoin d’un décryptage)
Or, « la finance n’est pas personnalisée, on est davantage dans le domaine du systémique ».
(La systémique désigne une méthode scientifique. En utilisant une approche toujours globale, grâce à une vision holistique – L’adjectif « systémique » caractérise « ce qui concerne un système ou qui agit sur un ensemble organisé » – la systémique est un mode d’appréhension qui peut être considéré comme un langage, un état d’esprit ou même une philosophie.)
Alors si J.Gombin a lu et validé cet article qu’il appelle rapidement la police on lui a barboté son cerveau.
Source Le Monde
Allez encore un petit James George Janos (alias Jesse Ventura) sur le 9/11
surtout la 34eme minute (avec ClipClap rien à faire) pour le jeu de main et de jambe pendant cet échange à « double sens ».
Nabilla, qui fait la buse à l’aneth depuis moins d’un mois, a déjà 5,2 millions d’occurrences sur Google, contre 1,7 millions pour Kazantzakis. Trompettes de la renommée…
http://www.youtube.com/watch?v=gWRzopyZBSA
Anastasie est partie en vacances et mon commentaire du 5 mai 2013 à 19 h 51 minettes sur la phénoménologie du shampooing est revenu, merci aux hébergeurs.
Fx
« j’ai failli commencer à répondre et vous expliquer pourquoi votre commentaire est ….. et finalement, je me suis repris à temps […]Je viens de m’éviter une perte de temps et je n’en suis pas peu fier ! »
Et ça ça n’est pas de la pose peut-être. Que vous soyez « pas peu fier » tout court, on l’avait très bien compris, et pourtant je ne vous connais pas plus que ladite Nabila.
Bon, LSP devient insalubre ; je rajoute une couche tout en promettant de m’en tenir là.
Faut-il que certains égos soient exacerbés pour se sentir agressés par ce qui ne mérite même pas un froncement de sourcil.
Quand je mets le pied sur une merde je ne cherche pas à dialoguer avec le chien, encore moins à le convaincre…je passe mon chemin.
« Soyez, vous, raisonnables, et tenez pour négligeable ce ce qui doit être négligé.»
( Ph.H, surpris, le 6 mai 2013 à 20 h 57 min)
Vous en avez de bonnes, Ph.H! Ce n’est pas vous qui êtes la cible de ces sempiternelles invectives et qui devez supporter de vous voir dénigrer, insulter, mépriser en public même quand vous ne pipez mot ( je vous rappelle que ce blog est lu par des centaines de personnes qui souvent ne font que passer et ne sont pas forcément au courant des antécédents …). Alors, voyez-vous, je ne suis qu’un homme: j’essaie d’être patient, courtois, sociable et quand il le faut j’essaie de me contrôler, de rester zen, mais quelquefois la coupe est pleine et je réagis. Je sais bien que c’est le but qu’il recherche, et qu’il va alors se considérer victorieux d’un combat qui n’est pas le mien, mais je ne peux pas faire autrement …
Et c’est encore plus difficile quand je vois que d’autres lui répondent sérieusement et considèrent ses mauvaises manières comme des « licences poétiques »: cela ne m’aide pas à rester stoïque!
La seule motivation de Yacedjaz n’est pas ses tentatives de raisonnements prétendument irréfutables sur tel ou tel problème, mais la possibilité de placer ses invectives, injures, insultes, marques d’irrespect — appelez ça comme il vous plaira — envers une cible désignée par lui seul comme essentielle à atteindre. Il a besoin d’un punching-ball, je vous laisse deviner pourquoi.
Ah! Vous avez été nombreux à me dire, à moi comme à Jacques C, de ne pas répondre à cet énergumène, de ne pas nourrir le troll, mais je constate jour après jour, que les uns et les autres ne manquez pas de lui jeter des cacahuètes…
Arcadius, mon précédent commentaire vaut aussi comme réponse au vôtre.
« je vous rappelle que ce blog est lu par des centaines de personnes qui souvent ne font que passer et ne sont pas forcément au courant des antécédents »
Raison de plus pour vous en gausser, non? Personnellement je me contrefiche des coulisses d’un blog.
Bonne soirée
> correcteurs 19:39 : sic transit gloria mundi ! Étonnant, à moins que le MIA* ne s’intéresse qu’au monde anglo-saxon.
___
* wiki : MIA est une abréviation, qui signifie :
Missing In Action, « disparu en mission » dans le jargon militaire américain (voir aussi KIA : Killed in action) ; peut être employé en tant qu’expression lors d’un grand événement où un proche ne s’est pas rendu. « Yesterday, you were MIA! » « Hier, tu as tout raté! » ~ Les absents ont toujours tort !
Marxists Internet Archive, bibliothèque numérique de littérature marxiste
« Maitrise – Impartialité – Action » devise du Groupe Cynophile MARSEILLE-PROVENCE
Mouvement islamique de l’Azawad (Mouvement islamiste au Mali)
Jacques C me contredit…
« En tout cas, Yacedjaz (…) vient de faire une belle démonstration de la totale vacuité de ses élucubrations spécieuses. »
Je suis sacrément fortiche, n’est-il pas ? Tenez-vous bien ! Mon commentaire contient une « belle démonstration » et « des élucubrations spécieuses ». À mon avis, c’est un don. Mon commentaire est vide et plein à la fois, rigoureux et insane. J’ai démontré rigoureusement l’insanité de ma rigoureuse démonstration. Je suis fortiche.
« En effet, voilà qu’il bâtit tout un (long) commentaire méprisant sur… son incapacité à lire un texte dans son ensemble. »
Le terme « en effet » n’était qu’un effet. Il ne relie validement aucune prémisse à aucune conclusion. Jacques C introduit seulement deux nouvelles propositions à démontrer.
On résume. Jacques C a affirmé les propositions suivantes. Si elles ne sont pas des âneries péremptoires, il devra montrer leur vérité. — Mon commentaire est une belle démonstration et en même temps une élucubration spécieuse. — Mon commentaire démontre que mon commentaire est une élucubration spécieuse. — Mon incapacité à lire un texte dans son ensemble est une incapacité réelle qui se lit dans mon commentaire et non une chimère dans son imaginaire. — Mon commentaire est bâti sur cette “incapacité” réelle.
Imbriquons… Mon commentaire est le contraire de ce qu’il démontre bellement être ; en effet, il est bellement bâti sur une incapacité à lire un texte dans son ensemble. Autrement dit, il est bellement mal bâti ou il est solidement bâti sur du vide. D’où forcément il démontre bellement qu’il est vide dans sa solidité même. Je crois que Fx reprochait à Jacques C son manque de logique élémentaire. Mais à l’impossible nul n’est tenu ! Poursuivons…
 
« Démonstration amusante [je crois que l’on va s’amuser] » :
« Pourtant les “raisons et prémisses” n’ont pas à être recherchées bien loin : il suffit de savoir simplement lire la phrase qui précède ! »
Lisons bien la phrase précédente. « Vous affirmez que le prénom “Nabilla” n’existe pas »
Lisons bien la phrase qui suit. « Il vous a donc [sic] échappé que cela fait quelques années que tout prénom est possible… du moment que des parents décident de l’attribuer à leur enfant. »
Puis, il affirme : « Même un enfant de CM1 est capable de comprendre l’articulation évidente [sic] entre la première phrase (la citation de Fx) et la seconde. Yacedjaz, non. »
Imaginez la terreur que j’aurais pu être si j’avais été plus loin que le CM1. Voilà la démonstration amusante que nous avait promise Jacques C. Il se garde bien de nous montrer la vérité de ses propositions précédentes qui resteront donc à jamais des âneries péremptoires. Il a seulement ajouté une affirmation péremptoire de plus qu’il a nommée « démonstration amusante » : l’articulation entre ses deux phrases serait évidente. Mais, il se garde bien, pour changer, de nous expliciter cette évidence. Pourtant, il a dépassé l’âge du CM1. À mon avis, il ne sait pas ce que veut dire « expliciter ».
Enseignons-lui. Montrons qu’il n’y a aucune relation logique entre ces deux phrases qui puisse justifier l’emploi de sa conjonction « donc ». C’est très simple. En logique, on peut affirmer à la fois que le prénom « Tarjkjiormq454 » n’existe pas et connaître la législation sur l’attribution des patronymes ou l’ignorer, parce que ces deux phénomènes n’ont strictement aucun rapport de cause à effet. Ce n’est pas parce qu’un quidam affirme qu’un prénom X n’existe pas que l’on peut dire qu’il connaît ou ignore la loi sur le patronyme. L’erreur de Jacques C, c’est d’avoir confondu deux notions dans deux propositions : « tous les prénoms sont possibles » (proposition fausse) et « le prénom X n’existe pas ». Il confond la notion de possibilité et la notion d’existence.
Le « donc » n’a dès lors aucun autre but qu’un effet rhétorique sophistique pour dénigrer son interlocuteur, l’attaquer à défaut de pouvoir attaquer son propos, et le faire passer pour un ignorant, et ce d’entrée de jeu en se parant de l’apparence du raisonnement. Jacques C est bien un sophiste de la pire espèce. Mais, c’était une manœuvre complètement stupide, car l’existence du prénom « Nabilla » ne repose pas sur la connaissance ou l’ignorance de la fausse loi qu’il mettait en avant. Il s’est cru malin, notre Jacques C, en affirmant que puisque tout est possible, alors forcément « Nabilla » existe.
Or, 1) tout n’est pas possible et 2) ce n’est pas parce que c’est possible que ça existe. Logique élémentaire. Voilà ce qu’est « expliciter » une ânerie péremptoire. Le sophiste est détruit.
Je vous épargne donc la suite de son commentaire où bien sûr à partir de tout ce foin pour bourricot il déclame sur mon délire, ma parapsychologie, ma méchanceté ancestrale et tout le grand bazar. Remarquez que Jacques C n’a pas dit un mot sur le point central de mon commentaire : sa prétendue connaissance de l’acte de naissance de Nabila. C’était pourtant très rigolo et révélateur.
Les chats trublions ne regardent pas les étoiles, mais voient ce que la sottise bourgeoise fait à l’homme.
Yacedjaz, un prolétaire.
Ça continue, fèces en veux-tu, en voilà…Caramba caballeros, gardez-vous ( et gardez-nous ) d’ébrener le moutard ! Merci.
Si je me rappelle bien une précédente occurrence, dans le jargon des correcteurs (qui ne peuvent résister, eux aussi non plus, à sacrifier à la connivence supposée d’un vocabulaire professionnel… même s’ils le font avec auto-ironie), MIA renvoie au Monde inter-actif.
Et pour ma part, l’absence de notoriété de Panaït Istrati me désole au moins autant que celle de Kazantzakis. Je ne fais là aucun reproche : nous ne pouvons connaître que les artistes dont nos proches nous ont parlés ou, mieux, dont ils nous ont fait découvrir les œuvres. J’ai ainsi longtemps ignoré l’existence d’Istrati. Et puis je l’ai découvert. Et j’ai été désolé qu’il soit si peu cité, si peu lu. Voilà tout.
Ce soir, les étoiles sont belles. Profitons-en, comme Bobi et le vieux Jourdan.
… dont nos proches nous ont parlé.
Des étoiles éphémères
Qui profita de la Polaire * ?…
(…)Est-ce qu’il n’est pas des plus tristes
De voir cette charmante enfant
Traitée ainsi par des artistes ?
A peu que le cœur ne m’en fend.**
(…)
Elle a la peau mate et dorée,
Des yeux… tenez, vous parlez d’yeux ?
Les autres sont de la purée
A côté des siens. Ses yeux ! Dieux !
Ses yeux sont incommensurables,
Vaste comme des univers,
Dirait Montoya, formidables,
Infinis, lointains et pervers.
J’aime le métal de son rire
Et ses gestes désordonnés.
J’en sais qui se feraient occire
Pour le bi du bout de son nez.
Que vous dirai-je de sa bouche ?
Ah ! sa bouche ! Maginez-vous…
Et son pied ! C’est un oiseau mouche.
Et quant à sa taille,
c’est fou.(…)
* ne fantasmez pas trop TRS ; il ne s’agit pas de votre Lionne ni de son sosie ( et si elle a lui ce n’est pas grâce à Lui)
** Pagnol lisait-il Ponchon ou
Villon ?
Vous pourriez aussi, dans cet article, dénoncer l’usage abusif de « Sur » dans la première phrase, cette préposition ayant, semble-t-il définitivement remplacé non seulement « à » (« sur Paris »), « dans » (« sur ce film »), « à propos de » (« sur ma valise ») et une ribambelle d’explicitations permettant d’enrichir l’information et la pensée. Ce tic de langage paraît s’incruster pour de bon dans la langue, pour son appauvrissement.
Cordialement
MC
> Marc Chénetier | le 7 mai 2013 à 9 h 12
… et l’abandon de sur là où il s’impose :
Au plan de. Synon. de au niveau* de. Selon R. Le Bidois (Le Monde, 17 déc. 1969) la loc. au plan de est doublement fautive: sémantiquement et grammaticalement (d’apr. Dupré 1972).
(erreur de balisage)
Marc : vous avez raison. Et merci de revenir au sujet.
A ce propos, nous rappelons que les commentaires courts, courtois et restant dans le sujet sont les bienvenus ici. Nous nous réservons le droit de fermer la porte au nez de ceux qui l’oublieraient un peu trop.
Nous savons que la société où nous vivons est génératrice de frustrations. Nous conseillons de lire les « Chardons du Baragan », « Kyra Kyralina » ou le « Lettre au Greco ». Plutôt que de s’épuiser en querelles mesquines, il est préférable de lire les oeuvres de gens qui avaient des choses à dire, et qui les ont dites, avec talent de surcroît.
Jacques C. vous dites (0h45) «nous ne pouvons connaître que les artistes dont nos proches nous ont parlés ou, mieux, dont ils nous ont fait découvrir les œuvres». Je ne comprends pas bien pour quelles raisons vous dites cela, c’est évidemment tout à fait inexact. Il faut bien que quelqu’un trouve par lui-même qu’une œuvre est intéressante pour pouvoir ensuite en faire part à ses proches. Cette idée de propagation depuis les autres serait absolument contraire à toute évolution du goût et de la pratique culturelle.
D’accord avec vous harald, cette phrase est étrange ; mais il se peut que Jacques C compte dans ses proches, outre Arte, artpress, Radio-Fance, le Monde etc., la Providence, l’Intuition et la Curiosité. Allez savoir !
Harald, vous comprendriez sans doute bien mieux si vous cherchiez plutôt les causes susceptibles d’expliquer l’émergence de telle absurdité sur nos écrans. Je vous proposerais un manque d’intelligence doublé d’une vanité coriace exerçant une emprise sur le cerveau telle que le recul nécessaire à la réflexion devient impossible. Il ne peut pas se poser la question de savoir comment « les proches » ont connu l’artiste. Par leurs proches ? Et eux ? Par leurs proches, d’après la loi qu’il pose. Et eux ? Par leurs proches. Et eux ?… Conclusion : personne ne connaît l’artiste par lui-même. D’où, les « proches » ne connaissent pas l’artiste, puisqu’ils sont bien des « soi-même ». D’où personne ne connaît l’artiste. Absurde. Personne ne connaît rien par lui-même, à part Jacques C. qui par lui-même connaît la loi de la connaissance par les proches et qui par lui-même nous la livre. Absurde. Encore, une ânerie péremptoire. C’était plus qu’une inexactitude, c’était une absurdité.
Courtoisement vôtre.
Les chats trublions ne regardent pas les étoiles, mais voient ce que la sottise bourgeoise fait à l’homme.
Yacedjaz, un prolétaire.
P.-S. Cocasserie suprême. L’artiste lui-même ne peut connaître son œuvre (et lui-même) que par ses proches qui ne peuvent les connaître que par leurs proches qui… Mes proches m’ont fait découvrir que leurs proches leur ont fait découvrir que j’étais un artiste… Pourtant les proches de mes proches me sont fort éloignés — et leurs proches, n’en parlons pas !
Courtoisement vôtre.
Les chats trublions ne regardent pas les étoiles, mais voient ce que la sottise bourgeoise fait à l’homme.
Yacedjaz, un prolétaire.
Des cruches et des crues
[ C’est le Bon jour ! ]Je vois qu’on n’a pas évoqué que Nabilla babilla sur la Guerre Mondiale de 78 ; c’était pourtant haploïde à donf ça.
Rédigé par : Gus | le 6 mai 2013 à 14 h 40 min
Hé quoi ! Auriez-vous omis de cliquer sur le lien qu’ Anoup annonçait en ces termes ?
Nabilla fait la une de « Sciences et Avenir » pour son QI de 145, information non confirmée encore que très crédible:
Alley-oop ! Souffrez donc qu’on vous « copie-colle » l’extrait d’ un(e) interviou que lui accorde le mensuel susnommé :
« Les gens me prennent pour une cruche alors que j’ai un QI mesuré de 145. Et je vous promets que je ne confonds pas avec mon tour de poitrine. Quand je parle par exemple de la guerre de 78 personne ne fait de recherches, autrement ils trouveraient que je parle de la guerre de 778 entre le village de Borgassert et celui de Marchinet, dans le Nord de la France, guerre terrible pour avoir le droit d’utiliser en priorité l’eau de la rivière pour que les femmes puissent se doucher et trouver un beau et riche mari et s’enfuir enfin de ces lieux de désolation où tous les hommes ressemblaient à des clochards retenus pour participer à Bienvenue chez les Chtis. A la place on préfère penser que je suis une débile profonde. Les stéréotypes c’est lassant, alors plutôt que de lutter contre j’aime mieux en jour (sic) ».
( Plouf Plouf )
Au risque d’en rajouter une louche, l’insecte se demande si l’attitude qui consiste à s’acharner sur cette énergumène ne relève pas du « courant dominant » * ? …
Louche ? Vous avez dit louche ?
Allô nan mais allô quoi !
Cela dit, il ne suffit pas de porter des prothèses à l’instar d’une Fouquet’s bourgeoise ** (flanquée d’anges gardiens rouges et bleus***) pour devenir insubmersible****…
* Private joke …
** on notera toutefois la disproportion de taille desdites prothèses…
*** à mille lieues d’une Blanche rebaptisée Ange Bleu par Clemenceau…
**** L’eusses-tu-crue ?…
PS : il fallait lire « Bonjour. Je vois qu’on n’a pas évoqué que Nabilla » (dixitGus).
Dans le Le Monde d’aujourd’hui, l’un des exemples d’haplologie(s) de Grevisse, reste à préciser la définition d’« omission d’une syllabe à cause de sa ressemblance (ou, le plus souvent, son identité) avec la syllabe voisine » :
autant ce le/le et même le le/lui du billet ont une évidente similitude, autant les exemples suivants, qui ne me semblent pas irréalisables, font s’éloigner de la définition :
Je l’ai lu dans un Monde du mois dernier.
Dans quel Monde tu l’as lu ?
,
et ce dernier exemple, incontestablement correct :
Dans quel numéro du Monde tu l’as lu ?
semble montrer, dans ce cas, qu’il s’agit aussi d’autre chose, ou au moins qu’il faut préciser.

(alors que n’ose lui dire donne n’ose vous le dire)
Nabilla, avec ses implants, elle est spécialiste de roploplologie, c’est déjà pas mal.
@ Gus et harald : J’allais vous répondre, et puis… l’épouvantail m’en empêche. Tout ce que j’écrirai sera retourné contre moi par Yacedjaz (qui avoue implicitement sur le « nid » qu’il s’est bien abaissé à se se faire passer pour un(e) autre en signant Solène), et servira à engorger encore un peu ce fil.
Ceux qui ne cherchaient pas midi à 14 h ont compris (il s’agissait simplement de ne pas tomber dans l’incrimination facile des « médias » et d’en rester au constat). Ceux qui s’intéressent un peu à la transmission culturelle ont compris aussi, même hors contexte.
Les autres… eh bien, puisque, lorsque leveto ou moi-même essayons de les prendre en considération en évitant les malentendus ou manipulation (car nos réponses au troll ne s’adressent, évidemment, qu’aux lecteurs honnêtes que nous ne méprisons pas et que nous ne souhaitons pas laisser se faire abuser), ils nous le reprochent, qu’ils ne viennent pas ensuite nous demander des explications dont ils nous blâment par ailleurs.
Lorsqu’une conversation à bâtons rompus donne lieu à exégèse et pinaillage sur le moindre raccourci élémentaire, cela devient une belle entreprise de découragement. Désolé, mais lorsque j’écris un texte destiné à voir chacun de ses mots pesé et susceptible d’une analyse savante, je l’adresse à un éditeur, pas à un forum de blog. Et le pire, c’est qu’en général lorsque j’ai pris ici la peine d’être précis et d’expliquer les termes et articulations d’un argument, les mêmes m’ont reproché d’être trop long : il faudrait savoir !
Et les étoiles, à part MiniPhasme, certains ont-ils au moins pris le temps de les admirer un peu ?
Cette grande artiste qui montre ses ailes improbables, c’est un plus pour sécuriser le message: ça nous parle, c’est top. Et donc voilà
Oui. Jacques C. Nous comprenons vos difficultés. Tous ceux qui ont compris ont compris. Et, les autres, c’est regrettable, n’auront pas le bonheur de vos lumières à cause du vilain « troll » qui a l’outrecuidance de se prendre pour votre éditeur, alors que votre véritable éditeur ne vous ferait jamais injure en refusant systématiquement de cautionner vos sottises tant nous savons votre science infailliblement infuse.
Qui oserait vous contredire à part Harald et Gus ? Un « troll » à l’évidence, pinailleur de surcroît. Ce n’est pas comme si nous étions sur Langue Sauce Piquante ! Ah, si nous sommes sur LSP… où le pinaillage moqueur est un sacerdoce.
Heureusement, Jacques C. a fait court (il aurait pu nous envoyer sa pleurnicherie en quatre exemplaires), sa courtoisie laisse à désirer et le rapport avec le sujet reste largement fantomatique. Il a tout de même reconnu que ses commentaires manquent gravement d’articulation logique. Mais, ce n’est pas de sa faute, bien sûr ! C’est la faute des autres ! Quels autres ?
« Et le pire, c’est qu’en général lorsque j’ai pris ici la peine d’être précis et d’expliquer les termes et articulations d’un argument, les mêmes m’ont reproché d’être trop long : il faudrait savoir ! »
Conclusion cocasse : s’il ne peut vous répondre, c’est la faute du vilain Yacedjaz et si ses commentaires sont illogiques c’est par respect des autres qui ne savent pas ce qu’ils veulent. Par bonheur, je ne suis pas son éditeur.
Imaginez que j’explicite la définition du « troll » et que j’en arrive en toute rigueur à l’étonnante conclusion : Jacques C. est le « commentateur » qui s’en rapprocherait le plus sur ce blogue. Ce serait cocasse, non ?
La fin ne justifie-t-elle pas tous les moyens ? Jacques C. étant au service du bien et du pauvre lecteur, ne peut-il pas tout se permettre ?
« (…) nos réponses au troll ne s’adressent,
évidemment, qu’aux lecteurs honnêtes que nous ne méprisons pas et que nous ne souhaitons pas laisser se faire abuser
 ».
Ô lecteur, Jacques C. veille sur ta conscience tandis qu’un spectre hante LSP !
Courtoisement vôtre.
Les chats trublions ne regardent pas les étoiles, mais voient ce que la sottise bourgeoise fait à l’homme.
Yacedjaz, un prolétaire.
Yacedjaz, je vous remercie de m’expliquer (à 12h35 et courtoisement, tant mieux) ce que je dis.
Je me trouve un peu idiot d’être allé chercher sur google Borgassert et Marchinet. Ces villages n’existent pas. Idiot et dépité, car cela dégonfle tout à fait l’idée si satisfaisante d’une bimbo super carénée et super maline.
Jacques C, je comprends que vous préfériez être succinct… mais ce soucis tactique de concision ne doit pas conduire à un renversement de front. La façon selon laquelle se transmettent les informations culturelles est tout à fait centrale dans l’évolution du goût, même dans le cadre d’une conversation à bâton rompue comme celles qui se pratiquent ici, en général. Et sans pinaillage trop avancé. C’est bien la faculté d’avoir une expérience personnelle qui organise la perception du monde et en tout cas la fait évoluer. Admettez que l’argumentation formelle peut ne pas marcher du même pas que l’expérience sensible.
Je me dépêche d’envoyer sinon le front se sera encore déplacé.
Yacedjaz
Pour faire court, courtois et dans le sujet :
C’est point Jacques C point c’est Jacques C
(je crois que Jacques C. est un autre)
Yacedjaz, il faudra que vous m’expliquiez comment vous réussissez ce coup-là. Même si j’ai, bien sûr, quelques idées.
Correcteurs
S’il vous plait…Fermez ce billet.
Merci.
Quelle autorité, ce « René » ! Va-t-il vous demander de fermer le blogue ??
perplexe
Ce n’est qu’une prière.
Des coquilles et « licences poétiques » *
Toute étoile se meurt ; les prophètes fidèles
Du Destin vont souffrir éclipses éternelles ;
Tout se cache de peur ; le feu s’enfuit dans l’air,
L’air en l’eau, l’eau en terre ; au funèbre mêlé
Tout beau perd sa couleur ; et voici tout de mêmes
A la pâleur d’en haut tant de visages blêmes
Prennent l’impression de ces feux obscurcis,
Tels qu’on voit au fourneau paraître les transis.
* Private Joke
« PS » : tout de même (?!)
> Sur [le plateau des] Anges, tout le monde la déteste… mais personne n’ose lui dire !
Plus un simple raccourci, ce sur, qu’un usage douteux du type On est sur une alliance de salé et de sucré.
(les à preux près sont tantôt verrues tantôt nobles licences.)
Des « mêlé »
[ Et Dieu dans tout ça ? ]> voisin (cambrioleur)
D’Arsène ou de (S)herlock qui est le plus savant ?
(…)
Une chose est sûre : ni l’un ni l’autre ne lisent Raoul Ponchon.
[SIC] Rédigé par : Ph.H, élémentaire | le 5 mai 2013 à 18 h 58 min
« PONCHOLMES » !
Or Dieu, selon son habitude,
Parcourait les rangs des élus
Par le dernier bateau venus
Au séjour de béatitude,
Lorsque tout à coup son regard
Tomba sur un certain lascar
Dont l’œil inquiétait la foule.
Et vous eussiez dit d’un renard
Qui veut s’appuyer une poule.
C’était ce vieux Sherlock Holmès,
Impénétrable comme Hermès.
« Tiens ! c’est Sherlock ! dit Dieu le père.
Et pourquoi, de cet air sévère,
Regardes-tu tout un chacun ?
Est-ce que tu cherches quelqu’un ? »
« Non, non. Je ne cherche personne.
Je m’amuse à dévisager
Ces gens, qui me sont étrangers.
Et, tout d’abord, ce qui m’étonne,
C’est de voir ici rassemblé
Ce monde quelque peu mêlé.
[ to be continued ]> Harald, Vous avez touché de l’oeil les dangers de l’info sur internet. Mais je crois que la dite Nabilla n’était pas pour grand-chose dans ces infaux (information non confirmée lisait-on !), qui ont disparu du net depuis 2 jours (Sciences et Avenir ne s’y reconnaissait peut-être pas non plus ?). Et voici la couverture réelle de Sciences et Avenir n° 266 (sur laquelle vous reconnaîtrez le bandeau du haut, et celui du milieu INTELLIGENT) :
https://secure.zinio.com/magimages/318227106/2010/416146279_370.jpg
Dernier coup de fil
Allô, Théophile ?
Allons, ange déchu, ferme ton aile rose ;
Ôte ta robe blanche et tes beaux rayons d’or ;
Il faut, du haut des cieux où tendait ton essor,
Filer comme une étoile, et tomber dans la prose.
Allô, chers correcteurs
Je m’interroge sur ce titre à la Une :
« Les Pommes » de Cézanne s’arrachent à 32 millions d’euros à New York

Le singulier n’aurait-il pas été plus approprié ? C’est bien LE tableau, LA nature morte, L’œuvre qui s’est arrachée, pas les pommes que je sache. D’autant que des pommes, il en a peint des pleins paniers ; ne disait-il pas «  »Avec une Pomme, je veux étonner Paris ! » ?
Nabila, inventeuse de l’allologie.
BonJouR
Sans docte ton jussif,
personne n’ose le lui dire est grammatical et n’admet pas l’haplologie syntaxique. Il n’y a pas deux mots identiques, mais plusieurs pronoms clitiques compléments. On est « sur » des formes conjointes quoi ! 😉
A ceci près, monsieur le donneur de leçons, que Nabila s’écrit avec un seul « l ».
qu’est-ce qui vous arrive, Marat, l’eau de la baignoire est trop chaude ?
Nabilla Benattia ?
Dans les anges LL
http://lesanges.nrj12.fr/les-anges-4359/replay-4364/media/video/681997-episode-52.html
Dans l’amour est aveugle L
http://www.replay-tv.net/replay-l-amour-est-aveugle-nabila-candy-coralie.html
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