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Alors que l’Union Européenne vient à nouveau en aide à l’Ukraine avec une enveloppe d’assistance militaire de 500 millions d’euros, le président Zelensky a évoqué les tentatives « en vain » d’Emmanuel Macron d’entretenir les pourparlers avec Moscou.
La situation sur les différents fronts ne semble pas avoir significativement évolué au 79e jour de l’invasion russe de l’Ukraine.
A l’Est, la Russie poursuit son offensive. Le ministère de la défense russe a déclaré, vendredi 13 mai, que l’armée russe avait tiré des missiles mer-sol et air-sol sur une raffinerie de pétrole dans la région de Poltava, ainsi que sur des dépôts de carburant. Le gouverneur de l’oblast de Soumy avait fait état ce même jour d’une frappe nocturne ayant visé cette région, sans faire de victimes, et l’armée ukrainienne a averti un peu plus tôt que la Russie allait « intensifier » ses attaques sur les zones de Tchernihiv et de Soumy.
Selon le ministère britannique de la défense, la Russie fait des « efforts significatifs » dans les régions d’Izioum et de Sievierodonetsk pour effectuer une percée vers Kramatorsk, la grande ville de la partie du Donbass sous contrôle ukrainien.
Le gouverneur régional, Serhi Haïdaï, a affirmé que les Russes avaient détruit le pont sur la Borova, une rivière entre Sievierodonetsk et Roubijne, deux localités dont ils essayent de prendre le contrôle.
Pertes russes sur le front maritime. De nouvelles images satellites de Maxar Technologies prises le 12 mai montrent que les Russes ont perdu une barge de débarquement de type Serna sur les côtes de l’île stratégique des Serpents, conquise au premier jour de la guerre, et que les Ukrainiens procèdent régulièrement à des frappes. Maxar a diffusé une photo des bâtiments détruits sur cette île où les Russes ont installé des systèmes de défense antiaérienne.
Voici la situation militaire dans le pays le 13 mai, à 2 heures.
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Un responsable américain de la défense, s’exprimant sous couvert d’anonymat, a confirmé que l’activité russe la plus importante actuellement se déroulait dans le Donbass. « Et, en gros, nous continuons de voir que les Russes ne font pas de prise significative » dans cette région, a-t-il indiqué. « L’artillerie ukrainienne contrecarre les efforts russes pour gagner du terrain, y compris leurs efforts pour franchir la rivière Donets, ce qui affecte leur capacité à envoyer des renforts importants dans le nord du Donbass », a poursuivi cette source.
Le ministère britannique de la défense (MoD) a précisé vendredi que les forces ukrainiennes avaient repoussé « avec succès » une tentative russe pour traverser ce cours d’eau près de Sievierodonetsk, occasionnant aux troupes de Moscou de lourdes pertes.
Cette opération illustre « la pression sous laquelle se trouvent les commandants russes pour progresser dans l’est de l’Ukraine », a estimé le MoD, soulignant que l’armée russe n’était « pas parvenue à faire des avancées importantes bien qu’elle y ait concentré ses forces après » avoir renoncé à s’imposer à Kiev.
Fin mars, quelques semaines après son invasion de l’Ukraine le 24 février, la Russie s’était retirée de la région de la capitale, changeant de « cible prioritaire » pour tenter de prendre le contrôle de l’est de l’Ukraine.
Des combats particulièrement intenses sévissent dans la région du Donbass (est de l’Ukraine), sur laquelle Moscou se concentre sans avancée significative, tandis que des négociations « très difficiles » se déroulent sur le sort des derniers défenseurs de la stratégique ville portuaire de Marioupol. « Il y a des combats nourris à la frontière avec la région de Donetsk, près de Popasna », a commenté vendredi soir sur Facebook Serhi Haïdaï, gouverneur ukrainien de la région de Louhansk, faisant état de nombreuses pertes en matériel et en personnel du côté russe.
« C’est une horreur mais ils essaient encore de parvenir à leurs fins. Mais d’après les interceptions (de communications téléphoniques), nous comprenons qu’un bataillon entier a refusé d’attaquer car ils voient ce qui est en train de se passer », a-t-il relevé.
Un bâtiment d’une organisation ukrainienne, la fédération nationale ukrainienne du Canada, a été vandalisé à Edmonton dans la province de l’Alberta. Des croix gammées ont été taguées sur la façade ce vendredi 13 mai au matin. Les forces de l’ordre canadiennes ont lancé une enquête.
Les forces russes ont subi de lourdes pertes dans une attaque de l’armée ukrainienne qui a détruit un pont flottant. Les soldats de Poutine traversaient justement à ce moment une rivière, le Donets, de l’est du pays. Pour des sources officielles, ukrainiennes et britanniques, c’est un nouveau signe que Moscou est à la peine dans son entreprise d’invasion.
L’armée de l’air ukrainienne a diffusé ces dernières heures des photos et vidéos, où un bataillon entier aurait été détruit.
Le ministère britannique de la défense évoque une : « perte russe significative ». Plusieurs dizaines de véhicules sont évoquées. « Se lancer dans une traversée de rivière dans une zone contestée est une manœuvre à très haut risque. Cela traduit de la pression que doivent subir les commandants russes dans leur tâche de progression. » a ajouté le ministère ?
L’opérateur du réseau électrique finlandais a assuré pouvoir se passer des importations de courant venues de Russie, suspendues à partir de samedi, au moment où la Finlande s’apprête à annoncer sa candidature à l’OTAN.
« Nous étions préparés à cela et ce ne sera pas difficile. On peut gérer avec un peu plus d’importations de Suède et de Norvège », a déclaré vendredi à l’Agence France-Presse (AFP) Timo Kaukonen, un responsable des opérations de l’opérateur Fingrid. « Un peu moins de 10 % » de l’électricité consommée en Finlande provient de Russie, avec une capacité d’importation pouvant aller jusqu’à 900 mégawatts actuellement, a-t-il expliqué.
La Russie va suspendre ses livraisons d’électricité à la Finlande à partir de samedi, en raison d’impayés, a annoncé vendredi le fournisseur RAO Nordic Oy, détenu à 100 % par l’entreprise russe InterRAO. Ce dernier affirme ne plus avoir reçu de paiement pour l’électricité fournie à la Finlande depuis le 6 mai, sans dire si ces problèmes de règlement sont liés aux sanctions européennes visant la Russie après l’invasion de l’Ukraine.
Privée de ses ennemis traditionnels à la fin de la guerre froide, écartelée entre allégeance atlantique et défense européenne, l’OTAN a retrouvé sa raison d’être initiale et son unité depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
Officiellement, la politique est interdite lors du plus grand concours de la chanson au monde. Et pourtant, elle s’invite régulièrement dans les coulisses de la compétition et même sur scène. Comme cette année avec l’exclusion de la Russie. A la suite de l’invasion de l’Ukraine, ce pays a été banni de l’édition qui se tient en Italie du 10 au 14 mai.
Dans une publication sur Facebook, le ministre ukrainien de la défense, Oleksii Reznikov, a déclaré ce matin que son pays entrait « dans une nouvelle et longue phase de la guerre ».
« Pour la gagner, nous devons planifier les ressources avec soin, éviter les erreurs et déployer nos forces [militaires] de manière à ce que l’ennemi finisse par craquer », a-t-il ajouté. Et de préciser que « les processus qui assureront l’augmentation du potentiel de défense de l’Ukraine ont été lancés. Cela concerne à la fois l’acquisition et la production de moyens de défense ». Avec un objectif clair : subvenir aux besoins de l’armée ukrainienne, mais aussi à ceux du « million de personnes qui [seront] confrontées à l’ennemi ».
Le ministre de la défense s’est montré optimiste quant aux capacités de production ukrainiennes, expliquant qu’« à la fin du mois d’avril, sur le nombre total de gilets pare-balles fournis à nos forces de défense, 50 % l’ont été par le ministère de la défense et 50 % sous diverses formes d’aide de la part de citoyens, de bénévoles et d’organisations civiques. Au 13 mai, cette proportion est déjà de 57 % à 43 %. Et nous augmentons chaque jour le volume de l’approvisionnement. »
Malgré l’armement que l’Etat ukrainien compte apporter à sa population, M. Reznikov a averti ses compatriotes que « des semaines extrêmement difficiles nous attendent » et ce malgré l’aide internationale, qu’il n’a pas manqué de saluer.
Les autorités de la région séparatiste géorgienne prorusse d’Ossétie du Sud ont annoncé ce soir qu’elles organiseront le 17 juillet un référendum sur l’intégration à la Russie. Le « président » Anatoli Bibilov « a signé un décret sur la tenue d’un référendum dans la république d’Ossétie du Sud », ont déclaré ses services dans un communiqué, évoquant « l’aspiration historique » des habitants de cette région géorgienne à rejoindre la Russie, dont elle est limitrophe.
L’Ossétie du Sud a été au centre de la guerre russo-géorgienne de 2008, à la suite de laquelle le Kremlin a reconnu son indépendance ainsi que celle d’une autre région séparatiste géorgienne, l’Abkhazie, et y a installé des bases militaires. Les régions séparatistes ukrainiennes de Donetsk et de Louhansk, dont l’indépendance a aussi été reconnue par Moscou, ont de même fait part de leur intérêt pour leur rattachement à la Russie. L’invasion de l’Ukraine a suscité un élan de solidarité en Géorgie. Cette dernière avait déjà par le passé qualifié d’« inacceptable » le projet de l’Ossétie du Sud d’organiser un référendum sur son entrée dans la Fédération de Russie.
En août 2008, la Russie a attaqué la Géorgie, dont le gouvernement combattait des milices prorusses dans cette région après qu’elles eurent bombardé des villages géorgiens. Les combats ont pris fin au bout de cinq jours avec l’établissement d’un cessez-le-feu négocié par l’Union européenne, mais ont fait plus de 700 morts et provoqué le déplacement de dizaines de milliers de Géorgiens.
Washington « travaille à clarifier la position de la Turquie » après que le président Recep Tayyip Erdogan a menacé de bloquer l’adhésion de la Finlande et de la Suède à l’OTAN, a fait savoir la porte-parole de la Maison Blanche, Jen Psaki, vendredi. Une adhésion future de ces deux pays a reçu « un large soutien » d’autres membres de l’Alliance atlantique, a-t-elle souligné.
Hier, le président et la première ministre de la Finlande s’étaient dit favorables à une adhésion « sans délai » à l’OTAN, un immense pas vers une candidature qui doit être officialisée dimanche. Ce matin, lors d’une conférence de presse, la ministre des affaires étrangères suédoise, Ann Linde, avait quant à elle affirmé qu’une adhésion de son pays à l’OTAN réduirait le risque de conflit.
L’Ukraine se voit mal rejoindre la « communauté politique européenne » esquissée par Emmanuel Macron, lundi 9 mai à Strasbourg, sans disposer, à terme, d’une réelle perspective d’adhésion à l’Union européenne (UE). C’est du moins ce que ses dirigeants ont cherché à faire comprendre ces derniers jours.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a émis des réserves, mercredi, lors d’une rencontre à distance avec des étudiants français, insistant, depuis Kiev, sur l’importance pour son pays d’adhérer dès que possible à l’UE : « On ne peut pas rester dans cette incertitude de manière constante ; c’est comme une table où toute la famille est réunie, tu es invité, mais on ne t’a pas mis de chaise. C’est injuste. »
A Berlin, jeudi, Dmytro Kuleba, le ministre ukrainien des affaires étrangères, s’est montré plus explicite encore : « Aucune alternative à l’intégration européenne de l’Ukraine ne saurait être acceptable. » Si le projet de « communauté politique » devait tenir durablement son pays à l’écart de l’UE, « cela serait discriminatoire, déloyal et irait à l’encontre des déclarations publiques venant de France et d’autres pays selon lesquelles l’Ukraine appartient à la famille européenne », a-t-il dit.
Kiev, après avoir déposé sa demande d’adhésion en mars, espère obtenir sans tarder le statut de pays candidat à l’UE. La Commission devrait rendre un avis en ce sens dans le courant du mois de juin. La décision formelle doit être prise ensuite par les Etats membres, à l’unanimité, peut-être dès le Conseil européen de juin.
L’Ukraine a signé des contrats pour importer 300 000 tonnes de diesel et 120 000 tonnes d’essence afin de couvrir sa consommation de carburant du mois de mai, vient d’annoncer la ministre de l’économie ukrainienne, Ioulia Svyrydenko.
Cette annonce intervient alors que l’armée russe cible les infrastructures de carburants ukrainiennes. Depuis le début de l’invasion, le 24 février, la Russie a détruit 27 dépôts de carburant et la raffinerie de pétrole de Krementchouk dans le centre de l’Ukraine, a-t-elle précisé lors d’une réunion gouvernementale.
Du jamais vu depuis 2002. L’inflation a encore accéléré en Russie en avril, atteignant 17,8 % sur un an, selon les données du service fédéral de statistiques Rosstat publiées aujourd’hui. Par rapport à avril 2021, les prix de l’alimentaire ont notamment flambé de 20,5 %. Les produits de base sont parmi les plus touchés : les céréales (+ 35,5 %), les pâtes (+ 29,6 %), le beurre (+ 26,1 %) et les fruits et légumes (+ 33 %). Les prix du matériel audiovisuel, comme les télévisions, ont progressé de 22,7 %, tandis que les pris des matériaux de construction ont augmenté de 27,5 %.
Par rapport au mois de mars de cette année, les prix ont progressé de 1,6 % en avril. Sur l’ensemble de l’année 2022, l’inflation annuelle pourrait atteindre 23 %, avant de ralentir l’année prochaine et de revenir à l’objectif de 4 % en 2024, selon la Banque centrale russe.
L’inflation, galopante depuis des mois, est liée à la reprise post-pandémie et à la flambée des prix des matières premières, auxquelles s’ajoutent désormais les sanctions occidentales contre la Russie et leur lot de perturbations de la logistique. La hausse de prix mine le pouvoir d’achat des Russes, qui ont peu d’épargne, et s’avère un casse-tête pour les autorités, qui ont tenté des mesures de contrôle des prix controversées. La Banque centrale russe a drastiquement augmenté son taux directeur à 20 % dans la foulée des premières sanctions après l’entrée des troupes russes en Ukraine fin février, avant de commencer une baisse graduelle. Il est actuellement à 14 %.
Le président russe, Vladimir Poutine, avait affirmé hier que l’Occident souffrait davantage que la Russie des sanctions imposées à Moscou en raison de l’offensive en Ukraine, se vantant d’une grande résistance de l’économie russe face aux « défis extérieurs ».
Le ministre des affaires étrangères italien, Luigi Di Maio, s’est adressé cet après-midi aux journalistes à Berlin, affirmant que son pays « [serait] très heureux d’accueillir ces deux pays dans cette grande alliance qui défend ses pays membres et… qui garantit la paix depuis des décennies ».
Hier, le président et la première ministre de la Finlande s’étaient dits favorables à une adhésion « sans délai » à l’OTAN, un immense pas vers une candidature devant être officialisée dimanche. Ce matin, lors d’une conférence de presse, la ministre des affaires étrangères suédoise, Ann Linde, avait quant à elle affirmé qu’une adhésion de son pays à l’OTAN réduirait le risque de conflit.
Cet après-midi, devant le Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies (ONU), l’ambassadeur russe auprès de l’instance, Vassily Nebenzia, a réaffirmé que les Etats-Unis mènent des « programmes dangereux » en Ukraine qui sont une « menace pour la Russie et les pays de la région », évoquant la découverte dans le pays de drones ayant une capacité d’emport biologique. Ils pourraient mener à « disséminer des bio-agents dangereux dans l’air », a-t-il insisté, bien que l’ONU ait de nouveau affirmé n’avoir aucune connaissance d’activités biologiques suspectes dans le pays.
Selon le diplomate russe, « il existe des preuves de l’implication directe de l’establishment politique américain dans le financement des activités liées aux armes biologiques en Ukraine par l’intermédiaire de contractants du Pentagone tels que Black & Veatch et Metabiota ». Aucune preuve n’a cependant été fournie par le gouvernement russe.
L’ambassadeur des Etats-Unis adjoint à l’ONU, Richard Mills, a répondu à la Russie de cesser ces « affirmations sans fin sur les programmes d’armes chimiques et biologiques en Ukraine qui sont catégoriquement fausses et ridicules ». Comme la France, les Etats-Unis se sont demandé si cette insistance de la part de la Fédération de Russie à tenir des réunions sur ce sujet – la troisième depuis l’invasion du 24 février – n’était pas le prélude au recours à une arme chimique en Ukraine.
Live animé par Alexandre Priam et Cécile Bouanchaud
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