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Les risques causés par l’invasion russe de l’Ukraine et l’envolée des prix du gaz qu’elle provoque pèsent sur l’euro.
Le Monde avec AFP
Temps de Lecture 1 min.
La monnaie unique européenne a plongé, mardi 5 juillet, à son plus bas depuis près de vingt ans face au dollar, s’approchant de la parité, emportée par les tensions sur l’énergie en Europe provoquées par la guerre en Ukraine.
A moins de 1,03 dollar pour un euro, l’euro évolue à un niveau plus vu depuis la fin 2002, dans ses premiers jours, quand les inconnues étaient encore multiples sur la nouvelle devise. Désormais, ce sont les risques causés par l’invasion russe de l’Ukraine et l’envolée des prix du gaz qu’elle provoque, qui pèsent sur l’euro.
La banque centrale d’Allemagne a, par ailleurs, exprimé des doutes, lundi, à l’égard du projet de la BCE visant à limiter les écarts entre taux d’emprunts des différents Etats de la zone euro et ainsi le risque d’une nouvelle crise de la dette.
Sur le marché obligataire, les taux des emprunts des Etats en Europe, très volatils ces dernières semaines, restaient stables après leur forte hausse lundi.
En plus de la dette des Etats, la BCE fait face au double défi de maîtriser au plus vite la hausse des prix, tout en ne portant pas un coup fatal à l’économie de la zone euro, déjà durement affectée par la guerre en Ukraine et ses conséquences sur les matières premières.
Le prix du TTF néerlandais, référence du gaz naturel en Europe, a atteint 176 euros le mégawattheure mardi, plus du double de son niveau début juin. Avant l’invasion russe de l’Ukraine le 24 février, il évoluait bien en dessous des 100 euros le mégawattheure.
En Norvège, pays qui s’est engagé à augmenter durablement ses livraisons de gaz à l’UE en juin, une grève menace de couper de près de 60 % les exportations à partir de samedi.
La Banque centrale européenne (BCE) a peu de marge de manœuvre pour resserrer sa politique monétaire, puisqu’une hausse des taux risquerait de rendre la dette de certains pays trop lourde à supporter. Dans ce contexte, toute reprise de l’euro doit être vue « comme un rebond de court terme », explique à l’Agence France-Presse Fawad Razaqzada, analyste chez StoneX, qui craint que sans changement majeur sur le front ukrainien ou de la BCE, l’euro ne poursuive sa baisse.
A 12 h 45 (heure de Paris), l’euro se repliait de 1,16 % à 1,0299 dollar, après avoir sombré jusqu’à 1,0281 dollar. Depuis le début de l’année, il a perdu 9,4 % face au billet vert.
Le Monde avec AFP
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