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Le secteur touristique, source majeure de devises pour le Sri Lanka, est totalement sinistré depuis le début de la pandémie de Covid-19. Faute de devises, le pays ne finance plus ses importations.
Alors que le Sri Lanka a rouvert ses frontières et accueille à nouveau les touristes, les conséquences de la crise du Covid sont encore très lourdes pour la destination. La banque centrale du Sri Lanka a en effet annoncé lundi une dévaluation dans la limite de 15% de sa monnaie, après un appel du Fonds monétaire international (FMI) aux autorités de l’île au bord de la faillite depuis le coronavirus et l’arrêt du tourisme. 
Dans un bref communiqué inhabituellement tardif, la banque centrale a indiqué qu’elle autorisait « une plus grande flexibilité », laissant flotter la monnaie dont le taux de change était fixé à 197 roupies pour un dollar depuis avril. La banque centrale a ajouté qu’elle espérait que la roupie ne descendrait pas au-dessous de 230 roupies pour un dollar, suggérant une intervention pour limiter la dévaluation autour de 15% maximum.
Le secteur touristique, une source majeure de devises pour le Sri Lanka, est totalement sinistré depuis le début de la pandémie de Covid-19. Faute de devises, le pays ne finance plus ses importations. L’île et ses 22 millions d’habitants font face à de graves pénuries d’aliments, carburants, médicaments et à des coupures d’électricité. Les transports sont perturbés et l’attente interminable pour acheter à manger, y compris des produits de première nécessité comme le lait en poudre, le sucre, les lentilles ou la farine, ou des médicaments, avec une inflation à deux chiffres, à 16,8% en janvier, son quatrième record mensuel consécutif.
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En mars 2020, le gouvernement avait imposé des restrictions drastiques aux importations pour tenter de défendre la monnaie nationale, sans parvenir à relancer les réserves de change. Jeudi, le FMI a recommandé un retour à « un taux de change flexible et défini par le marché », autrement dit une dévaluation de la roupie, et à augmenter les impôts, notamment la TVA. Les réserves en devises du pays sont actuellement insuffisantes pour lui permettre de rembourser sa dette extérieure de 51 milliards de dollars, a prévenu le FMI. Le gouvernement assure au contraire pouvoir respecter ses obligations.
Dans son bref communiqué, la banque centrale a précisé que sa décision, prise malgré la résistance des entrepreneurs locaux, était liée à « la gravité des chocs extérieurs et aux récents développements de la situation locale ». Les données officielles montrent que le Sri Lanka a besoin de près de 7 milliards de dollars pour le service de sa dette extérieure cette année. Or, fin janvier, ses réserves étaient seulement de 2,07 milliards de dollars, soit juste de quoi financer un mois d’importations.
Sur le marché noir, il faut déjà 260 roupies pour un billet vert et cette différence avec le taux de change officiel a entraîné une baisse de plus de 50% de dépôts en devises dans le circuit bancaire officiel.
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