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Vertement critiqué à l’étranger, le Hongrois Viktor Orban sent aussi la colère monter dans son pays, où les contestations prennent de l’ampleur contre le chef du gouvernement accusé de se comporter comme un « dictateur ». Lundi soir, les partis d’opposition et les mouvements de la société civile ont réussi à mobiliser des dizaines de milliers de personnes, descendues dans la rue pour protester contre la nouvelle constitution qu’elles jugent antidémocratique. « Jusqu’à présent, les manifestations étaient assez “cool”, avec beaucoup de bonne d’humeur. Maintenant, le ton a changé, les manifestants sont devenus plus amers, en colère et tristes », déclare Kornélia Magyar, de l’Institut progressiste hongrois.
Le rejet de cette nouvelle constitution, qui inquiète aussi à l’étranger, et du régime Orban n’a jamais été aussi fort. La veille, les manifestants ont brandi des pancartes avec les inscriptions : « Assez ! », « Dictature d’Orban », « Orbanistan ».
Le parti de Viktor Orban, le Fidesz, règne en maître sur le pays depuis sa large victoire aux élections législatives en avril 2010, qui lui a assuré une majorité des deux-tiers au Parlement.
La contestation est d’autant plus vigoureuse que les conditions de vie des Hongrois se sont nettement détériorées ces derniers mois. L’échec de la politique économique du gouvernement a conduit au plongeon de la devise locale, le forint, synonyme pour les nombreux détenteurs de crédits en devises étrangères d’une explosion de leur remboursement.
Le pays ne peut plus se refinancer sur les marchés obligataires en raison de taux d’intérêt élevés. Il a fait appel au Fonds monétaire international (FMI) et à l’Union européenne (UE) pour solliciter un crédit, mais les bravades de Viktor Orban, notamment ses attaques contre l’indépendance la banque centrale (MNB), ont fait coincer les discussions, interrompues en décembre.
La Commission de Bruxelles a annoncé hier ne pas avoir encore décidé si elle reprendrait les négociations. Une rencontre informelle est en revanche prévue avec le FMI le 11 janvier à Washington.
Difficile de savoir comment le mouvement va évoluer, mais le réseau social Facebook – via lequel sont organisées les manifestations – continuera d’y jouer un rôle clef, souligne l’experte Kornélia Magyar, car il assure « un courant de vraies informations contre une presse publique manipulée ».
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